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  • Dégâts causés à de nombreuses habitations lors des derniers orages survenus

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    À la vue de cette maison quasiment devenue inhabitable parmi des centaines d’autres dans toutes les régions de notre pays, suite aux évéments climatiques – orages violents, pluies diluviennes, ouragans tempêtes et tornades, inondations, glissements et effondrements de terrain avec coulées de boue et de blocs rocheux, arbres abattus etc. …

     

    Comment ne pas se sentir démotivé en ce qui concerne des aménagements intérieurs et extérieurs, des travaux d’entretien et de rénovation… (Ce qui est et demeure encore il faut dire l’une des préoccupations principales – et considérées prioritaires- d’une majorité de personnes de notre entourage et cela partout dans notre pays) ?

     

    Pour certains d’entre nous (peu nombreux à vrai dire), parce que les aménagements intérieurs, les rénovations et les travaux d’entretien ne sont pas la priorité dans la vie, déjà naturellement démotivés en partie… Ceux et celles là – d’ailleurs assez souvent âgé(e)s de plus de 70 ans et qui, avant 70 ans n’étaient pas non plus de « grands entrepreneurs soucieux d’aménagements intérieurs et extérieurs »… Comment face à la multiplication et à la fréquence des intempéries dévastatrices, ne peuvent-ils pas être encore plus démotivés et enclins à ne plus rien entreprendre, à envisager de continuer à vivre au quotidien dans une habitation en l’état où elle se trouve (et cependant « habitable » malgré tout) ?

     

    Quand on voit dans les grandes enseignes, magasins, grandes surfaces de bricolage, de matériaux pour aménagements intérieurs et extérieurs, de peinture, de revêtements, de tapisseries etc. … Sans compter le mobilier, les « cuisines intégrées » enfin tout ce que l’on achète pour le confort… Et, sans oublier non plus les agences immobilières avec toutes leurs annonces, leurs offres, leurs prix indiqués en fonction de la valeur locale ou régionale du mètre carré constructible ; tout ce qui se propose sur le marché de l’habitation, des jardins, des équipements et du mobilier (intérieur et extérieur), un immense marché démesurément diversifié de la consommation à vrai dire… L’on peut s’interroger pour les années qui viennent sur l’avenir, sur le développement, sur les perspectives d’un tel marché, dans un environnement de plus en plus impacté par les catastrophes naturelles que sont ces intempéries dévastatrices à répétition qui vont finir, à force, de survenir partout un jour à tel endroit, un jour à tel autre endroit !

     

    Car c’est bien cela la réalité : du jour au lendemain, la maison que tu habites – que tu entretiens, rénove ou pas – peut être inhabitable !

     

    Et, vu le nombre de sinistres, d’entreprises de menuiserie, de couverture, de maçonnerie, d’équipementiers sollicités, et d’assureurs devant réaliser des expertises avant réparations, la réalité c’est que ta toiture va rester six mois voire un an ou plus avec la bâche des pompiers ; que la fissure le long de ton mur de façade va s’élargir, que ton plafond risque de s’affaisser… Et bien d’autres désagréments…

     

    Et, tiens, rien qu’un «détail » qui « en dit long » au sujet de l’ensemble des dégradations de biens que l’on possède : le dernier orage de grêle survenu dans le secteur de Gérardmer dans les Vosges le soir du 31 juillet 2024, des grêlons de la taille d’abricots qui ont endommagé des centaines de voitures en circulation et en stationnement – je ne vous dis pas les garagistes sollicités devant faire face à un afflux considérable de propriétaires de véhicules endommagés par la grêle ! « Ta bagnole mon pote, eh bien elle va rester cabossolotée de partout un sacré bout de temps ! »

     

    Ah, tes rêves, tes aspirations à une « baraque qui en jette » - autant extérieurement qu’intérieurement - ! « Dame nature avec ses colères répétitives et de plus en plus violentes et dévastatrices, va te botter les fesses carabiné » !

     

    Bah, si tu en réchappes et tant que tu es dans des « vieux jours assez potables » le plus longtemps possible pour continuer à vivre dans une baraque non entretenue restée en l’état ; le jour où tu te retrouveras en EHPAD, eh bien tes héritiers si tu en as, ils feront raser ta baraque après avoir fait vider par une entreprise spécialisée dans le débarras, tout le contenu ! De toute manière quand tu quittes ce monde, t’emportes rien, tout ce à quoi tu as tant tenu « part en javel » !

     

    Merde à tout l’orgueil du monde et des gens !