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Journal

  • L'Occidentalisme

    Donald Trump c’est l’occidentalisme – avec la société de consommation, le pouvoir de l’argent, le culte de l’apparence, de la performance, d’une forme d’élitisme par le pouvoir que donne d’argent et la possession de biens - MAIS… Sans la démocratie et sous liberté étroitement surveillée, épiée, sériée, fichée… Et avec des murs très hauts, des clôtures électrifiées, des check-points de contrôle pour empêcher et ou filtrer les venus d’ailleurs ( que soit dit en passant, question économie de marché off shore on laisse passer )…

     

    Donald Trump c’est donc le prochain président des États Unis d’Amérique, que les ennemis de l’Occident voudraient voir élu… Lesquels « ennemis de l’Occident » sont en fait – et de fait- quasiment tous « occidentalisés » question consommation, mode de vie « à l’occidentale », pouvoir de l’argent, culte des apparences, de la performance, de l’immédiateté…

     

    Ce que les ennemis de l’Occident détestent et veulent détruire, c’est ce que l’Occidentalisme conserve encore de liberté et de démocratie, mais… Pas le mode de vie et de consommation dont ils sont friands et demandeurs…

     

    L’Amérique « non-Trump », l’Europe des « droite centre gauche bon teint – et des extrêmes droite relookées républicaines et expurgées « en principe » du nazisme – dont l’occidentalisme conserve – un peu plus, un peu mieux qu’avec Donald Trump – de liberté et de démocratie (si l’on veut)… Cette Amérique et cette Europe là, de ce qu’il reste de démocratie et de liberté donc, est haïe par les Non Occidentaux qui vivent à l’occidentale.

     

     

    L’islamisme radical vient « fausser le jeu » avec le projet qui est le sien, d’abattre totalement l’occidentalisme, les libertés, la démocratie… Et en ce sens il convient dans une certaine mesure aux contempteurs de l’occidentalisme… Mais reste à savoir, si au pouvoir, l’islamisme avec sa charia et sa police, renoncera comme il le prétend, à ce qu’apporte l’occidentalisme… Et dont leurs caïds, Imams et califes et leurs séides « ne cracheront pas dessus »…

     

     

  • L'humour du jour, 21 juillet 2024

    Il n’y a pas de minou ni de toutou musulman ou juif… Cependant un minou ou un toutou peuvent être l’un ou l’autre un animal de compagnie dans une maison musulmane ou dans une maison juive…

    Dans ce cas, donne-t-on par exemple, au minou ou au toutou, dans sa gamelle… Une saucisse – de Toulouse, de Morteau ou de Montbéliard – ou encore du jambon ou une côte de porc ?

    M’hah’med et sa femme ont pensé alors à se rendre chez un boucher Hallal – et de même Jacob et sa femme, en se disant que peut-être, ce boucher leur fournirait de la viande d’un porc tué Hallal… Afin de contenter leur toutou ou leur minou n’étant ni musulman ni juif ni chrétien mais l’un un félin, l’autre un canidé qui, soit dit en passant, ne font ni l’un ni l’autre de différence entre de la bidoche hallal ou pas…

    Seulement voilà : dans une boucherie Hallal, il n’y a pas plus de porc que dans un restaurant Mac Donald bien que chez Mac Donald on ne fasse rien de Hallal…

    Cela dit, lorsque vous apercevez dans une fête foraine, dans une ville touristique, un manège à l’ancienne, rares sont de nos jours, en notre beau pays de France, les manèges à l’ancienne avec un cochon…

    Cela dit, encore… Est-ce que chez des végétariens et chez des végans, on évite d’avoir à la maison un minou ou un toutou afin de ne pas devoir acheter de produit alimentaire contenant de la viande ?

    L’on ne trouve pas dans les supermarchés, de croquettes pour minou et pour toutou sans bœuf, sans poulet, sans poisson, sans cochon…

     

     

  • "Tout va mal"... Sans doute mais...

    L’hôpital va mal, l’école va mal, les campagnes sont sans médecins, dans les services administratifs ça va mal, le numérique et les automatismes avec la robotique déshumanisent, la polémique se substitue au dialogue ; l’orthographe, la grammaire et le sens des mots se délitent…

    Mais les personnes de bonne volonté sont bien présentes dans l’espace public, partout, à l’hôpital, à l’école, dans les services administratifs, au travail, dans les magasins, sur les aires d’autoroute, dans les trains, dans les fêtes, au bistrot du coin, dans le lotissement ou le quartier où l’on vit…

     

    L’accueil, la gentillesse, le renseignement à fournir, la volonté de « faire pour le mieux », le sourire, le regard, la considération, l’écoute… Ça existe !

    Notre pays, la France, c’est  plus, bien plus ça, que tout ce qui va mal relayé à longueur de journée par les médias, par tous les détracteurs et les pessimistes de « tout poil »…

    Et la « Résistance » c’est celle de la somme de toutes les bonnes volontés, bien plus que celle des révolutionnaires en paroles et en actes (surtout il faut dire en paroles)…

    La résistance qui est celle des personnes de bonne volonté, de la volonté d’accueillir, de renseigner, d’aider dans les démarches, d’écouter, de faire pour le mieux, de sourire, de regarder, de considérer… C’est la résistance à laquelle les puissants, les décideurs, les « maîtres du monde » avec le système et l’économie qu’ils mettent en place soutenus par la technologie… Doivent faire face, mais ignorant superbement l’existence de centaines de milliers de personnes de bonne volonté, et jusqu’à même méprisant et ou niant l’existence de ces centaines de milliers de personnes… Il ne leur vient jamais à l’esprit qu’à force de cette résistance là, ils sont condamnés à disparaître, et qu’au contraire ils persistent à croire, à tenir pour établi, qu’ils seront toujours les « maîtres du monde »…

     

    Nous n’avons plus de gouvernement, à l’Assemblée Nationale ça frite, ça se déchire, ça se crispe, ça débat sans résultat ; les Télés nous servent les mêmes daubes… Mais au quotidien, quand tu vas à l’hôpital, au commissariat de police, à la sous-préfecture, au garage, à l’épicerie, dans une boutique de galerie marchande de grande surface, quand tu fais la queue à la caisse du Leclerc géant, partout où t’as besoin d’aller pour acheter quelque chose, un produit, n’importe quoi, un service… On t’accueille, on te sourit, on te regarde – c’est peut-être que de l’apparence mais c’est pas si sûr que ça – en un mot, « ça marche quand même dans ce pays la France » (même si « ça baigne pas »)…

     

     

  • La provocation ...

    « La provocation peut être de mauvais goût, absurde, engendrer critiques et réactions, mais elle est nécessaire » [ Elisabeth Badinter ]

     

    Encore faut-il ne pas confondre provocation avec injure… Parce que, lorsque l’on parcourt ce qui s’écrit et se « poste » sur la Toile ( internet, les blogs, les forums, les réseaux sociaux les plus utilisés) nous sommes en général très éloigné de ce que produisent, dans leurs ouvrages ou de ce que disent en tant qu’invités dans une émission de radio ou de télévision, les écrivains et auteurs décriés et provocateur dans leurs propos…

    La provocation ce n’est pas l’injure, ce n’est pas le déni, ce n’est pas la haine, ce n’est pas la violence brute, ce n’est pas l’arrogance dans l’agressivité, ce n’est pas l’écrabouillement ou le piétinement ni l’humiliation de l’autre…

    La provocation est iconoclaste, irrespectueuse, et elle dénonce non pas forcément des personnes en particulier mais surtout des comportements, des manières d’agir et de penser qui sont celles les plus communes adoptées par habitude, par ignorance, par manque de réflexion et pour se conformer à une opinion dominante…

    La provocation poussée à l’extrême c’est à dire à ce qui dérange, à ce qui choque « au plus haut point » quasi unanimement, peut être le « pavé » jeté dans la mare, qui, atteignant le fond vaseux et nauséabond, projette à la surface de la mare les boues putrides et donc, expulsant ces dernières et en quelque sorte, nettoyant en partie, le fond de la mare…

    En tant que « pavé jeté dans la mare » la provocation, celle qui « fait mal », qui dérange, qui choque, qui indispose les « bien-correct-commun pensants » est donc nécessaire…

    Mais il n’est pas sûr pour autant, que la provocation « expurge » ; la provocation c’est aussi le risque pris qu’elle incite à faire, au lieu d’expurger…

     

     

  • Réflexion du jour, 20 juillet 2024

    Ce ne sont pas les gouvernants ni les élus, en France, dans les pays de l’Union Européenne et occidentaux qui sont, en tant que personnes mêmes, quoi que l’on puisse leur reprocher ; responsables, initiateurs et en cause de ce que l’on observe de déplorable dans la société…

    Ils ont pour certains d’entre eux comme on dit « quelques casseroles qu’ils traînent à leurs basques »… Mais l’opinion publique se fait telle, que les gouvernants et les élus, ainsi que les présidents et chefs d’état et personnages les plus importants de la « machinerie administrative » deviennent les « boucs émissaires » seuls responsables de la situation en laquelle se trouve le pays…

    En vérité – mais cette « vérité là » est « éclipsée » - les « vrais responsables » sont les personnes mêmes que nous sommes chacun d’entre nous, englués et conditionnés par : le consommable, le culte de l’apparence, l’obsession de l’effet immédiat, le pouvoir que donne l’argent, l’individualisme et le communautarisme exacerbés… En un mot « dans une déliquescence accélérée de la grammaire qui régit la relation humaine »…

    Cette « nouvelle grammaire » - qui « n’en est pas une – que nous avons « inventée » - ou plus précisément « mise en place par commodité, par facilité, par démission, par complaisance, par lâcheté, par tout ce que l’on veut » - a produit ce à quoi l’on assiste aujourd’hui à savoir l’Assemblée Législative que l’on a, dans une ambiance de foire d’empoigne et d’alliances « contre nature », « reflet » ou « écho » de la société dans laquelle nous vivons au quotidien…

    « Reconstruire une société, un état, une nation, une économie, cela commence par se reconstruire soi-même »… Ce qui « ne se décrète pas », que rien ni personne ne peut imposer de force ; qui est tout autre chose qu’une « affaire de morale »… Ce qui ne peut venir que d’une volonté, d’une détermination, d’une prise de conscience aiguë en soi, dans la mesure où nous vient la nécessité, comme pour l’arbre, d’avoir des racines dans le sol et des branches et des rameaux s’élevant vers le ciel…