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Journal

  • Femmes musulmanes sans voile : il y en a !

    Henda Ayari, une femme musulmane qui a retiré son voile, et qu’ont vilipendé – pour ne pas dire insulté – bon nombre de musulmans « traditionalistes »… Est une femme courageuse…

    Il y a en France – il faut le savoir – une femme Imame, Kahina Bahloul, qui ne porte pas le voile et prend la défense des femmes Iraniennes qui manifestent pour leur liberté au risque de leur vie…

     

    Certaines femmes musulmanes – voilées – d’elles-mêmes revendiquent le port du voile, revendiquent leur statut infériorisé « voulu par Dieu », revendiquent leur soumission aux hommes…

    Elles-mêmes, oui, elles-mêmes…

    Mariées ou non mariées et sans que le mari, le grand frère, le père, « y soit pour quelque chose » !

    Étonnant, sidérant, mais vrai !

     

    Et « l’on prendrait ces femmes revendiquant d’elles-mêmes le port du voile en considération » ?

     

     

  • Le "vilain petit canard"

    De sa vie durant, il a d’abord été, enfant « dans la lune » en ce sens que, ratant le plus souvent la balle ou le ballon ou le lancer de quelque chose… Parce que son regard se portait dans la direction des nuages… Jamais les meneurs de jeu ne le prenaient dans leur équipe…

     

    Puis adulte, il était un « hurluberlu » parce que la plupart du temps, là où il fallait en présence d’amis, d’invités, de connaissances, faire preuve de pouvoir de décision, de maîtrise, d’observance de convenances (par exemple commencer par servir le vin aux invités à table, montrer qu’on est « l’homme de la maison ») et bien d’autres choses encore qui comptent dans l’esprit des gens en général… Il n’était jamais comme l’on doit être dans le monde…

     

    Un « hurluberlu » parfois jugé bien  sympathique , mais « en perpétuelle déconsidération »…

    L’on voulait bien l’écouter – lorsqu’il se révélait prolixe sur certains sujets, lorsque, travaillé par son imagination quasi sans limite, il vous sortait ses histoires et « brossait » à sa manière ce qu’il observait – des gens, du monde ambiant… Mais « on s’en foutait royalement » en lui laissant croire que ça avait intéressé et qu’on allait lui en redemander…

    Il n’attendait pas, et en « rajoutait »… Ce qui finissait par lasser…

     

    Cette déconsidération, c’est « le lot » des gens dont on dit qu’ils sont « à côté de la plaque » ou des « hurluberlus », et qui n’ont en eux quasiment rien de ce pouvoir de décider et de diriger (qualité » des gens « avertis »)  ; ne sont jamais des « meneurs de jeu »…

    Et s’ils n’ont rien en eux, de ce pouvoir de mener, de diriger, de décider, d’entraîner, de motiver, d’avoir par exemple « mille followers » sur les réseaux sociaux, de faire preuve de la moindre autorité… Ils sont eux-mêmes réfractaires, totalement réfractaires à toute forme d’autorité, désobéissent, contreviennent, dérogent sans cesse – et parfois quand « la moutarde leur monte trop au nez », ils « ruent dans les brancards…

     

    Ils sont, ceux là, celles là, dans les familles les « vilains petits canards »… Le frangin, la frangine, le tonton, le cousin… « Hors du sens commun » que l’on délaisse, que l’on n’invite pas… Ou que l’on fréquente tout de même de temps à autre « pour la forme »…

     

    Il va sans dire que le « vilain petit canard » dans l’intimité – en présence d’un « petit comité  de proches ou d’amis », mais aussi « dans le monde où il paraît lors de quelque activité en commun avec d’autres personnes ; « ne se met jamais en avant », ne fait jamais de « grands discours » en un mot, « reste à l’écart »… Mais ce qui ne l’empêche pas d’observer, de méditer, de se souvenir… Et qui, un beau jour, ressortira en quelque histoire, anecdote qu’il ne manquera pas de produire… À sa manière…

     

    « S’existant » davantage par défi que par inclination à se montrer, il sait qu’il ne sera jamais existé…

    Il sait qu’un jour il s’envolera au loin et que les courants qui font le tour de la Terre ne seront pas porteurs du vol qui de son vivant le soutenait…

     

     

  • Le Casino et ses "bandits manchots"

    Haine, discrimination, violence, barbarie, destruction, fanatisme, silence, indifférence, hypocrisie, empirisme, superstition, égoïsme, intolérance, orgueil, médisance, ignorance, méchanceté, domination, prédation, injustice, iniquité… Sont les « bandits manchots » d’un Casino universel qui est toujours gagnant…

    Et tout le monde ou presque dans le Casino, aux commandes de l’un ou de l’autre des « bandits manchots », abaisse et réabaisse la manivelle pour faire descendre les jetons de gain.

    Et quand tombent les jetons, l’illusion d’être gagnant s’empare de nous avec cette croyance ancrée depuis toujours d’avoir été plus fort, plus chanceux que le voisin juste à côté de nous, qui pour la Nième fois, abaisse la manivelle sans que rien ne tombe…

    Mais c’est toujours le Casino qui gagne vraiment, qui remporte le plus gros des mises du fait du nombre des « joueurs » que le Casino laisse aléatoirement gagner de temps à autre… (Ce qui « entretient et pérénise la clientèle »…

    Les jetons ont été remplacés par un ticket sur lequel est inscrit le chiffre des gains acquis après avoir décidé de quitter la « machine », dans la version 21ème siècle des « bandits manchots »…

    Ces jetons qui jadis étaient de « vrais sous »…

    La dématérialisation des pièces de monnaie d’autrefois, puis des jetons, a aussi dématérialisé le gain acquis et… Presque rendu « moral » le gain !

    Car tous ces « bandits manchots » du Grand Casino du Monde » dont nous usons plus ou moins selon les circonstances, selon les situations de rapport de relation avec les autres, nous pensons qu’ils vont soit nous protéger et nous défendre en face de l’agressivité des autres ; soit nous rendre plus forts, plus dominants et à même de gagner quelque chose au détriment des autres, et c’est bien là le gain que l’on en retire, de l’utilisation des « bandits manchots » du Grand Casino du Monde… D’autant plus que le gain est rendu « moral » dans un « Ordre du monde » auquel il sied (et il s’impose) d’adhérer…

     

     

  • Profusion de gâteaux dans la vitrine réfrigérée du boulanger pâtissier

    Notamment le dimanche…

    Où l’ on vient – assez souvent, surtout les « trente-quarantenaires » hommes et femmes qui le samedi soir ont veillé fort tard étant sortis ou ayant reçu des amis, vers 10/11h du matin…

    Le « problème » avec tous ces gâteaux, outre le prix qu’ils coûtent, c’ est que la majorité d’entre eux ont pour base de la pâte brisée décongelée ( en particulier les « Paris Brest ») laquelle pâte vient de chez le fournisseur en gros de la boulangerie pâtisserie du coin – quand ce n’est pas le gâteau lui-même qui vient de chez le fournisseur, tout prêt à mettre en vitrine…

    En effet, nul besoin d’être sorti d’une école hôtelière ou d’ avoir hérité du savoir faire de grand’Mamy, pour savoir que de la pâte brisée décongelée cuite, c’est dur comme du bois sous la dent ! (Quant à la pâte feuilletée, décongelée, cuite, elle s’effrite en mille petites miettes à peine touchée ou un peu mordue)…

    De surcroît – et ça ne date pas d’hier – dans une boulangerie pâtisserie, on utilise deux types différents de farine : la farine pour le pain, et la farine pour les gâteaux. Et quand vient à manquer la farine à gâteaux (qui est plus fine et plus onéreuse) eh bien le patron ou la patronne fait alors avec de la farine à pain pour produire le nombre de gâteaux à mettre en vitrine…

    Bah, dans la vie, quand on est pas « gâteau/gâteau » - et loin de l’ être… ça laisse indifférent, inadmiratif, tous ces gâteaux dans la vitrine réfrigérée du Boulanger Pâtissier du coin !

    Quant aux gâteaux sous emballage et cloche plastique d’Intermarché Leclerc Carrefour LIDL… N’en parlons pas ! C’est de la … !

     

     

  • "Chez Marinette à Sainte Tarte de la Midoue"

    La restauration en France, « ce n’est plus ce que c’était » … Et ça va du menu du Jour à 14 euro du petit restau du coin, à l’établissement renommé du même coin qui lui, propose des menus à la carte (produits censés être « du coin »)…

    C’est la présentation (l’art de servir un plat dans une assiette – plus souvent carrée, rectangulaire, en triangle et avec les coins recourbés, que ronde, traditionnelle et éventuellement de fleurs peintes ) qui prime et s’impose… Une présentation souvent « sophistiquée », dont le but est d’allécher, de plaire (et donc suggère au client que ce qu’il va absorber est « de qualité »…

    La qualité ? Parlons en ! Le bœuf ? Il est peut-être Argentin, Canadien… Le porc ? Français il est breton d’élevage industriel, et Allemand, encore plus d’élevage industrialisé… Le poulet ? Il est Brésilien (mais « déclaré » d’origine Union Européenne) ou, s’il n’est pas « bio » ou « élevé en plein air », et s’il est quand même Français, d’évelage industrialisé…

    Quant à la fraîcheur des produits, il faut voir depuis quelque temps le nombre d’intoxications de personnes ayant mangé dans un restaurant (en général c’est pas trop grave juste une digestion difficile et quelques désagréments sans conséquence… Mais pas toujours)…

    Dans le « menu du jour » - à moins de 20 euro – le hors d’ œuvre c’est deux demi asperges en croix avec la moitié d’une tomate cerise au milieu, de « chez Marinette à Sainte Tarte de la Midoue » (rire)…

    Bref, « tout est fait pour que ç’a ait de la gueule » question apparence et présenté dans l’assiette… Mais « ce que vaut réellement » ce qu’il y a, dans l’assiette ; ça c’est autre chose ! »

    Et le « cuisinier » ? Ce ne serait pas plutôt un préparateur ou même un employé du restau chargé de la confection des plats ? (C’est qu’ un « vrai cuistot pro » sorti d’ école hôtelière, il faut le payer!)