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Journal

  • La pensée du jour, mercredi 29 octobre

    « L’ignorance- surtout lorsqu’elle est aussi entretenue que délibérée- des noms des célébrités et des marques, de ce que sont et font les célébrités… Est -dis-je- une forme d’intelligence qui est loin d’être celle de tout le monde et qui ne court pas le monde…

    En revanche, l’ignorance du nom des plantes, des animaux, des choses du ciel et de la terre, des principes de base de la relation humaine… Ça -crie-je- c’est de l’imbécilité crasse qui court le monde ! »

     

     

  • Communautés

    Le terme de « communautés » - au pluriel faut-il souligner - « à mon sens » s’applique pour définir des groupes de personnes dont la pensée, dont les idées, dont la vision du monde et de la société, dont la culture, dont les sensibilités, dont les modes de vie et habitudes – façon de se nourrir, de se vêtir, de se loger, de se déplacer, de se distraire etc. … Dont les comportements, dont leur rapport aux êtres et aux choses de ce monde, dont les croyances, dont les besoins, dont les aspirations… Sont aussi aussi différents qu’opposés à tout ce que l’on conçoit, à tout ce à quoi l’on croit, à tout ce qui fonde notre propre vision de monde et de la société, en matière de rapport aux êtres et aux choses, de mode de vie, de comportements…

     

    En somme les « communautés » ainsi définies comme nous étant « ennemies et étrangères » sont -elles ces « territoires hostiles » en lesquels l’on n’entre pas tant les habitants de ces territoires nous sont inaccueillants…

     

    La difficulté principale pour éviter d’avoir à se trouver dans ces territoires hostiles, c’est qu’il y a entre leur territoire et le nôtre, une zone de dimension mal définie (un « No man’s land » en quelque sorte) qu’il nous est impossible d’éviter de traverser… Et cette « neutralité » en fait, de par sa neutralité même, de par quoi est faite cette neutralité… Est déjà « pré-hostile » ou au mieux « floue » - comme un brouillard tantôt lumineux, tantôt gris et sombre…

     

    Dans l’optique d’une « philosophie progressiviste » axée sur la tolérance, sur la considération et l’écoute de l’Autre , sur l’ouverture d’esprit à ce qui est différent et qui serait un apport (un plus) pour notre développement… Le « ton officiel ou convenu » prétend réguler, organiser, gérer, et en conséquence fixer des limites, des contraintes… Pour ainsi dire des devoirs…

     

    Il est clair que cette « philosophie progressiviste » s’avère dans le monde tel qu’il est devenu de nos jours, contre-productive voire même dangereuse et génératrice de ces violences qu’elle croit combattre mais qu’elle attise…

     

    L’heure n’est plus, dans le monde où nous vivons présentement, à un regard de complaisance à porter à ces communautés et à ces territoires qui nous sont ennemis et étrangers… Et qui, il faut le dire parce que c’est une réalité : ont juré notre perte « déjà écrite, mise en plans dans leurs cartons »…

     

    Les algorithmes avec leurs profilages, leur exploitation des données enregistrées numérisées sériées ; qui sont en quelque sorte la « mécanique » de fonctionnement des réseaux sociaux Facebook Instagram Tik Tok et autres… Sont en fait « une arme à double tranchant » :

    D’un côté ils nous isolent et nous rendent dépendants de cette « nourriture qui nous convient parce qu’elle est cette « nourriture » la même que celle de tous ces autres qui nous ressemblent et est faite comme nous d’un même contenu et des mêmes ingrédients, et qui nous rassemble, nous conforte et nous fige dans nos sensibilités similaires…

    Mais d’un autre côté ils nous protègent des incursions, des attaques et de la pression pouvant être exercée, par ceux et celles qui veulent nous nuire…

     

    Ils créent, les algorithmes avec leurs profilages et leur exploitation des données, des mondes différents qui n’ont plus entre eux de relation – ou très peu… Sauf que… Ces mondes différents parfois, procèdent à des débordements, à des invasions, et que ce sont les mondes hostiles plutôt que les mondes de paix et de concorde, qui débordent, envahissent…

    Et là, les algorithmes se font les ingrédients qui rendent le « bouillon dans l’immense marmite » indigeste après être passé sans brûlure dans le tube digestif – tout comme l’olive bien huilée dans le fondement et la colique deux jours après…

     

     

  • De plus en plus de souvenirs année après année

    Pour autant que la mémoire – l’ensemble des souvenirs qui nous viennent- puisse être comparée à un espace, lorsque quarante ou cinquante ans de notre vie ont passé, les souvenirs, tout ce que nous avons vécu et qui surgit – et resurgit – en tel moment de notre présent, occupe un espace de plus en plus grand…

    Mais tout ne surgit jamais en même temps, seulement des séquences, comme des passages d’un très long film de cinéma…

    Pourquoi cette séquence là à tel moment, tel jour, et surgi pourquoi et comment ?

     

    Il est certain qu’au bout de la dernière heure de notre vie, la plus grande partie de tout ce qui a été vécu, tous ces souvenirs qui n’ont ni surgi ni resurgi, depuis déjà peut-être plusieurs années, tout cela n’est pas présent à l’heure du bout, et qu’ainsi nous partons sans avoir « revu » tel ou tel visage qui a pourtant tant compté durant une partie de notre vie, voire même que l’on pourrait voir encore parce qu’il est celui d’une personne vivante mais dont l’image de ce visage ne nous vient pas…

     

    Imaginons notre planète, la Terre, un être vivant âgé de 4,5 milliards d’années…

    Il vient à la Terre telle qu’elle est aujourd’hui en son présent, le souvenir de son Hadéen, de son Archéen…

    Avec sa mémoire contenant tout ce que fut chaque être vivant qu’elle a connu depuis l’apparition de la vie, dont elle se souvient ; et depuis sept millions d’années, le souvenir qu’elle a de chaque australopithèque, de chaque Erectus, de chaque Néandertalien de chaque Sapiens… Des milliards de visages de toutes les espèces humaines qui se sont succédées, aujourd’hui tous disparus, des milliards d’histoires vécues par chaque être vivant, auxquels vont s’ajouter dans cent ans les huit milliards de visages et d’histoires des humains aujourd’hui âgés de 0 à 100/110 ans ; ainsi que les vies de milliards et de milliards de mouches, de hannetons, de cochons, de poulets, d’oiseaux, de poissons, de vers de terre, de cloportes…

     

    Imaginons le cosmos, être vivant âgé de 13,7 milliards d’années, avec tous ses souvenirs…

     

     

  • Pour commencer à comprendre de quoi sont faits les êtres et les choses

    Physique quantique.png

    Dans l’état actuel des connaissances scientifiques, les quarks et les gluons sont les particules élémentaires, de base et fondamentales qui ne peuvent être décomposées en éléments plus petits…

     

    À partir de la molécule et en allant vers plus grand il y a d’une part tout ce qui procède d’un contexte biologique (lié à la vie et au vivant), et tout ce qui procède d’un contexte non biologique (non lié à la vie et au vivant) d’autre part… Par exemple les minéraux dans le non vivant…

    Encore que se pose la question que l’on peut ainsi formuler : « qu’est-ce que le vivant, qu’est-ce que le non vivant » … Et il y a aussi la question de l’énergie, du mouvement, de la densité, du poids, de la masse, de l’apparence, de la réalité de ce qui anime, de ce qui fait interagir entre eux les choses et les êtres…

    Si l’on peut percevoir la différence qu’il y a entre l’animé et le non animé, il n’en est pas tout à fait de même entre le vivant et le non vivant…

     

    Donc à partir de la molécule et dans le contexte biologique (celui des êtres vivants de toutes espèces, familles et genres et celui des végétaux)

     

    -L’organite : structure composée des éléments constitutifs de la cellule dont le noyau, la membrane…

     

    -La cellule : unité de base de tout ce qui vit…

     

    -Le tissu : un ensemble de cellules similaires…

     

    -L’organe : une structure composée de plusieurs tissus…

     

    -Le système : groupe d’organes travaillant ensemble…

     

    -L’organisme : un être vivant complet…

     

    Et à partir de la molécule mais dans le contexte non biologique :

     

    -Le complexe moléculaire : un assemblage de plusieurs molécules…

     

    -Ce qui est solide ou cristalin : une structure ordonnée, complexe, diverse, de molécules ou d’atomes (en gros tout ce qui est du monde minéral)…

     

    Toujours à partir de la molécule mais commun au vivant et au non vivant l’on trouve :

     

    La macromolécule : composée de protéïnes et de polymères entre autres… (surtout de polymères parce que les protéïnes sont plutôt parties intégrantes de structures issues du vivant animaux et végétaux)…

    Un polymère étant constitué d’unités de la macromolécule liées entre elles : par exemple la cellulose pour les végétaux, mais aussi l’ADN pour les êtres vivants…

    Il y a 3 sortes de polymères :

    Les naturels appartenant au règne du végétal et de l’animal, les artificiels et les synthétiques créés ces deux derniers, par l’Homme.

     

    Il faut également distinguer les trois états de la matière que sont le liquide (par exemple l’eau), le gazeux (par exemple l’air) et le solide (les différents corps et matières)…

     

    Et restent encore les propriétés de la matière : capacité à produire de l’énergie, à interagir dans un environnement donné entre choses et êtres, le poids, la masse, la densité, la couleur, l’aspect, la sensation au toucher (chaleur, froid)…

     

    Enfin il faut évoquer la lumière – ou la clarté diffusée et ambiante dans un environnement donné – qui est une forme d’énergie se manifestant par du rayonnement électromagnétique constitué de photons, particules sans masse et sans charge électrique se déplaçant à 299792 mètres par seconde, dans le vide cosmique faut-il préciser… (parce que dans l’eau ou dans le verre par exemple ou dans une matière d’origine planétaire de n’importe quel monde existant – planète, astéroïde etc. … (matière traversable ou susceptible de transporter de la lumière), la vitesse de la lumière est différente – plus ou moins nettement inférieure à 299792 mètres par seconde).

    Le photon est une particule différente de toutes les autres particules en ce sens qu’il se comporte à la fois comme une onde et comme une autre particule. Il n’a ni masse ni charge électrique, ne se décompose pas et ne subit aucune réaction chimique lorsqu’il est exposé à d’autres substances… Néanmoins il peut interagir au contact des électrons d’un atome en transférant son énergie aux électrons…

     

    Il existerait autrement que dans le vide cosmique mais comme « intercalé » en sortes de « bandes passantes » une matière encore inconnue (appelée ou définie « anti matière »), d’une composition totalement différente que celle de toutes les matières existantes connues et définies – sur une planète ou dans l’espace cosmique – et à l’intérieur de laquelle la lumière se déplacerait bien plus vite que de 299792 mètres par seconde – pour ainsi dire quasi illimitée… ( Théorie d’un physicien Russe Pavel Cherenkov Prix Nobel de Physique en 1958, qui a montré que la lumière ne se déplaçait pas à la même vitesse par exemple dans l’eau )…

    (Anti matière : autre forme de matière qui, dans l’état actuel des connaissances scientifiques, se manifesterait comme un miroir réfléchissant – en « image inversée »- des particules ayant des charges opposées aux charges des particules sans le miroir réfléchissant)…

     

     

     

  • Peuples, nations et territoires Amérindiens, et autres... D'avant le 16 ème siècle Chrétien

    Amérindiens.jpg

    Au « Valhala » de chacun de ces peuples en Amérique du Nord et ailleurs dans le monde, y-avait-il comme au « Valhala » des peuples d’aujourd’hui, autant de pétances empuantissantes ?

    Autant de fesses emplumées s’écartant afin de donner davantage d’allant et d’espace-sillage aux flatuances émises, lèvres anales trompettant vibrant longuement ?

    Il n’y avait avant les bâtons à feu et avant les grands navires des conquérants venus d’Europe… Tout comme du temps des tambours de brousse, des griots et des amulettes en Afrique…

    Au « Valhala » des peuples qui n’avaient pas encore connu aucun grand conquérant venu d’au delà des mers ou de par delà les forêts du milieu de l’Afrique, il devait y avoir ce que la connaissance du monde de ces peuples, faite de savoirs acquis et transmis de bouche à oreille depuis des millénaires, avait comme projeté, par le récit imagé, dans ce « Valhala » qui n’a plus rien à voir avec celui des peuples du 21ème siècle, tout empuanti à vrai dire des mêmes pétances que le quotidien de vie des « existants préoccupés de s’exister »… Car « ne nous y trompons pas » : au « Valhala » du 21ème siècle, on y retrouve toutes ces fesses emplumées, toutes ces têtes couronnées, toutes ces flatuances odorantes, toutes ces barrières séparatrices, avec des laveurs de WC partout… Qui furent la réalité de la vie au quotidien : ce « Valhala avant le Valhala » où tout le monde veut aller en pensant qu’il ne sera plus laveur de WC , qu’il aura des plumes aux fesses et qu’il « loufera » essence de lavande…

    Mais « pied-au-culté » qu’il fut de son vivant, ou passé la paluche dans le dos qu’il a été, il entrera au « Valhala » par des salles d’attente avant d’accéder aux guichets technologiques où il lui faudra remplir d’interminables formulaires alors même qu’il est déjà profilé depuis sa toute petite enfance…

     

    NOTE : « Les conquérants venus d’au delà des mers sur de grands navires et avec des bâtons à feu… Mais les conquérants tout autant avec leurs chefs de guerres, leurs cavaliers et leurs grand’tentes précédant leurs palais, venus de par delà les forêts et les savanes Africaines » …

    Les conquérants qui ont ré-inventé à leur manière le Valhala… Déjà en le pré-existant tout marchandisé de joaillerie de pacotille, de jolies plumes au cul, de jolis bibis et de boîtes à images…