compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Journal

  • Serons nous bientôt en ce siècle présent, des "consommateurs de l'Intelligence Artificielle"?

    Quels seront dans la seconde moitié du 21ème siècle, les principaux – et les plus nombreux- consommateurs de l’Intelligence Artificielle Générative ?

     

    L’on pense tout de suite aux très grandes entreprises multinationales des différents secteurs de l’économie de marché, d’industrie, d’agro-alimentaire, de commerce, du transport, des loisirs, des offres de services, de la communication, de la médecine, de la biologie… Qui vont remplacer sur des postes de travail, les salariés (les humains) par des robots… Ainsi que les postes de gestion, de ressources humaines, bureaux d’étude, informaticiens, cadres, ingénieurs, créateurs, concepteurs de projets, etc. … Par de l’Intelligence Artificielle…

    L’on pense donc à tout ce que des robots pourront réaliser à la place des humains – et qui fera entrer le monde du travail dans une dimension nouvelle…

    Et il deviendra évident qu’il ne sera plus nécéssaire de former des gens (des jeunes notamment) dans de grandes écoles, universités et centres de formation… Puisque l’Intelligence Artificielle dans ses évolutions et son développement, dans la généralisation de son utilisation en tous domaines de l’activité humaine ; fera désormais de l’humain, jadis un salarié, un travailleur, un producteur ; une « valeur inutile » (mais faite, cette valeur inutile, tout de même, de plusieurs milliards d’individus que les dominants de la société numérisée-intelligence-artificialisée devront gérer selon ce qui sera prévu à cet effet – l’on se demande bien à quoi pourrait alors ressembler le « monde et la société de demain » - c’est assez effrayant…

     

    Mais je ne sais pas dans quelle mesure se serait là le pire à venir, avec l’intelligence artificielle dans la technologie et dans la robotique, et avec comme cela est évoqué à la fin du 21ème siècle jusqu’à plus de 4 milliards de robots humanoïdes et de drones, de machines accomplissant toutes sortes de tâches et rendant de nombreux services)… 4 milliards de robots qui coexisteraient avec 9 ou 10 milliards d’humains devenus « valeur inutile mais cependant présente et ayant les mêmes besoins élémentaires de nourriture, d’habillement, de soins, d’espace, d’environnement de vie au quotidien, que du temps où les milliards d’humains étaient encore des « valeurs utiles » (ou « utilisables » ou « ajustables »)…

    Personnellement j’ai peine à imaginer un tel monde en devenir : est-ce là « enthousiasmant et heureux » et est-ce bien là un destin, une finalité, un objectif à atteindre pour l’Homme, pour la civilisation humaine ?

     

    Le pire c’est peut-être aussi à mon avis le fait que 45 % de la population américaine (USA), et autant de la population mondiale, n’ayant bénéficié que d’une instruction élémentaire, n’ayant pas été éduquée pour penser, réfléchir, mais en réalité formatée, conditionnée, lobotomisée, se verra « invitée » (en plus grand nombre possible d’individus sur cette planète) à « consommer de l’intelligence artificielle » et qu’en conséquence le « commun des mortels », utilisant les outils d’IA mis à sa disposition, aura la possibilité sans effort, sans travail, sans talent inné et ou acquis, de se promouvoir créateur, artiste, écrivain, penseur, de se « fabriquer artificiellement un statut social, une représentativité, un rayonnement…Une existence en somme, qu’il n’avait pas avant l’arrivée de ces outils de l’IA générative…

     

    Autrement dit l’ intelligence artificielle générative est comme une super béquille standardisée, conçue pour répondre et suppléer à tous les handicaps, à toutes les incapacités, selon ce que prévoient, organisent les dominants et les décideurs d’un « nouvel ordre du monde »…

     

    Et en somme – ou au final – c’est l’humain avec ses capacités et son intelligence naturelles qui disparaît – et qui devient un humanoïde robotisé…

     

    Si c’est « cela » le « Projet »… Espérons qu’il y aura des résistances, du refus… Ou alors -peut-être encore mieux – une « captation et une appropriation » de l’outil IA, du numérique, (et de ses pouvoirs) par la « force des peuples et de la démocratie » au détriment de ceux qui, actuellement, détiennent les pouvoirs et décident…

     

     

  • La traversée du monde

    La traversée du monde de Jean Claude Guillebaud né le 21 mai 1944 à Alger, journaliste, écrivain et essayiste, vingt ans de voyages et d’écriture, de 1976 à 1998…

    N’est assurément pas la même traversée du monde que celle du Pape François de 2013 à 2025…

    Même si, autant le pape François que Jean Claude Guillebaud ont été l’un et l’autre des « arpenteurs de terres et des sondeurs d’âmes » dans la marche et dans l’actualité d’un monde en évolution…

    À lire la traversée du monde de Jean Claude Guillebaud – de 1976 à 1998 – et à se livrer à cette lecture aujourd’hui en 2025, c’est prendre conscience, prendre la mesure de ce qui différencie « vertigineusement » une traversée du monde telle qu’elle fut de 1976 à 1998, et telle qu’elle devient depuis le début du 21ème siècle ( et à plus forte raison encore lors des derniers déplacements dans le monde du pape François)…

    L’arpenteur de terres et le sondeur d’âmes que fut Jean Claude Guillebaud dans l’actualité et dans l’évolution du monde du dernier quart du 20ème siècle, ne s’est pas trouvé en face des mêmes défis, des mêmes problématiques, que le pape François entre 2013 et 2025… Quoique ces défis et que ces problématiques, du temps des voyages de Jean Claude Guillebaud, « préfiguraient » ce qui allait survenir du temps du pontificat de François… Avec le numérique, la robotique, l’intelligence artificielle, l’internet, les réseaux sociaux, le nouvel ordre du monde de Trump et de Poutine et de Xi Jinping…

    Le témoignage de l’un – celui de Jean Claude Guillebaud – a porté, a impacté, s’est inscrit dans l’histoire de la pensée et des idées, a nourri des débats, contribué à encourager les « bonnes volontés »…

    Le témoignage de l’autre – celui du pape François- a lui aussi porté, impacté, et fut, ce témoignage, une parole forte…

    Mais les deux témoignages n’ont pas infléchi la « ligne (l’axe) de force » qui gouverne le monde… Cet « axe de force » qui est celui de la domination, de la prédation, de la violence, de l’iniquité, de l’hypocrisie, de la barbarie, de ceux qui détiennent et conservent le Pouvoir – et de leurs associés, collaborateurs, pourvoyeurs…

    La différence est « vertigineuse » entre la traversée du monde de 1976 à 1998 ; et la traversée du monde qui vient de commencer et sera celle d’après les années vingt du 21ème siècle…

    Mais viendront les témoins, les successeurs de Jean Claude Guillebaud, de François, et de toutes les bonnes volontés encore présentes…

     

     

     

  • Notre environnement

    Comment peut-on définir un environnement de vie ? Qu’est-ce qu’un environnement de vie pour un être vivant en particulier l’humain ? De quoi est fait un environnement de vie ; que contient un environnement de vie ?

     

    Déjà une première réponse vient à l’esprit : un environnement de vie d’un humain n’est pas le même présentement en 2025, que celui de 1950, de 1910, de 1790, de 1101, de 70 avant Jésus Christ, de telle époque de l’antiquité Égéenne, Grecque, Romaine ; ou de telle époque du Paléolithique Supérieur…

    Et non seulement un environnement de vie d’un humain n’est pas le même entre tel ou tel moment ou période de l’Histoire, entre chacune des nombreuses périodes de l’Histoire ; mais il n’est pas le même non plus d’un lieu à l’autre de la Terre – sauf dans la période de l’Histoire qui commence vers la fin du 19ème siècle et où l’environnement de vie tend de plus en plus à s’uniformiser partout sur notre planète à mesure que l’on avance jusque dans le temps présent… (Soit dit en passant, l’uniformisation dans le temps à venir est appelée à se renforcer et cela même dans un environnement de vie qui se différenciera encore davantage qu’ entre par exemple 2030 et 2080 par rapport à entre 1990 et 2020)…

    Autrement dit plus on avance dans le temps, et plus s’accélèrent les changements, les modifications de l’environnement de vie d’un humain…

     

    La réponse qui vient à l’esprit à cette question : « de quoi est fait un environnement de vie » ou « que contient un environnement de vie » peut être la suivante :

    Un environnement de vie est celui en lequel on vit en un lieu, en un habitat, dans un milieu familial, un milieu social… Un environnement de vie contient tout ce qui d’extérieur à nous-mêmes nous fait être, vivre au quotidien, nous impacte, nous fait réagir… C’est ce dans quoi on est comme « immergé »… Qui se traduit par notre mode de vie, notre manière d’appréhender le monde et la société, notre manière de penser, de se servir de ce que l’on utilise en fonction de nos besoins…

     

    L’environnement de vie d’un humain peut se définir ainsi :

    C’est l’ensemble des conditions dans lesquelles la vie se déroule : environnement familial, social, culturel ; mode vie, consommation, besoins, aspirations… Tout cela dans un rapport de relation soit fusionnel, soit conflictuel, soit de nécessité, soit de symbiose ou d’association, d’échange, de communication, de partage, d’union, de désunion…

    Le rapport de relation pouvant être émotionnel dans l’empathie ou dans la colère, et dans la violence ou dans la conciliation, dans le lien qui s’établit durablement ou occasionnellement…

     

    Nous portons en chacun de nous l’empreinte de l’environnement qui est le nôtre à tel moment et à telle époque de l’Histoire...

     

    Mais l’environnement qui est celui en lequel on est comme « immergé » à tel moment et à telle époque de l’Histoire, est lui aussi empreint de toutes les empreintes individuelles et collectives dont nous marquons cet environnement…

     

     

  • Tous disparus avant l'an 2000

    David Balavoine † 1986

    Bourvil † 1970

    Dalida † 1987

    Jacques Brel † 1978

    Edith Piaf † 1963

    Barbara † 1997

    Fernandel † 1971

    Joséphine Baker † 1975

    Yves Montand † 1991

    Serge Gainsbourg † 1991

     

    Et tant d’autres, artistes, chanteurs, auteurs compositeurs, comédiens, réalisateurs de films… Tous décédés avant l’an 2000…

     

    Jean Giono † 1970

    Jean Paul Sartre † 1980

    Louis Ferdinand Céline † 1961

    Louis Aragon † 1982

    Jean Anouilh † 1987

    André Gide † 1951

    Samuel Becket † 1989

    Marcel Pagnol † 1974

    François Mauriac † 1970

    Boris Vian † 1959

    Ernest Hemingway † 1961

    André Breton † 1966

    Thomas Mann † 1955

    Albert Camus † 1960

    Marguerite Yourcenar † 1987

    Jean Genet † 1986

    Raymond Queneau † 1976

    Marguerite Duras † 1996

     

    Et bien d’autres encore, écrivains… Tous décédés avant l’an 2000…

     

    Et qui n’ont pas connu

    L’internet

    La rédaction au clavier d’ordinateur avec Word et Open Office

    Youtube

    L’image, la photo, la séquence filmée, numériques

    Les réseaux sociaux que sont Facebook, Instagram

    Les sites

    Les blogs

    Les forums

     

    Et à plus forte raison

    Les évolutions technologiques

    Les smartphones

    Le haut débit ADSL

    La 4 et 5 G

    L’Intelligence Artificielle Générative – Copilot, Chat GPT

     

    Ayant tous vécu avant l’an 2000, ils n’ont rien connu de tout cela qui aujourd’hui est entré dans notre vie quotidienne…

    Comment auraient-ils réagi, créé, imaginé, diffusé, partagé, de leur temps, s’ils avaient connu tout cela ?

     

    Si l’internet – et tout ce dont on se sert aujourd’hui smartphones, tablettes, outils numériques, youtube, réseaux sociaux – avait existé en 1970, à quoi aurait ressemblé le monde de 1970 ?

    « J’ai dans l’idée » que « ce n’aurait pas été comme de nos jours »… Sûrement pas pire, mais différent oui…

    C’est – peut-être – ce « fond d’humanité dans la relation, dans la communication, dans le partage – et dans cette sorte de « vivre ensemble » de ce temps là d’avant l’an 2000… Qui, je crois, aurait fait la différence par rapport à ce que l’on vit – et que l’on subit – dans le monde d’aujourd’hui…

     

    Quand à ceux et à celles qui aujourd’hui en 2025, ont plus de 70 ans, et peuvent être soit réellement soit à leur façon, des artistes, des écrivains… Dont beaucoup d’ailleurs, n’ont qu’un rayonnement limité à quelques dizaines de personnes (par exemple 300 « amis » sur Facebook)…

    Ils, elles ne connaîtront pas le monde de 2040, 2050, et d’au delà… Tout ce que le monde va devenir avec des technologies à venir…

     

    Allez… Debout, et en avant, et les yeux pas dans les godaces, humains restés et non « humanuscules » en devenir… Les témoins de demain… À commencer par ces ados de 15/16 ans voire ces mômes de 10 ans ou même de 6 ans… qui « se posent quelques questions » et ne se laissent pas broyer, pétrir, investir, formater, niveler, infester…

     

     

  • La collaboration scientifique sans frontières est menacée mais entre en résistance

    Dans le domaine de la recherche scientifique, il existait avant 2025, un « modèle de collaboration sans frontières », entre chercheurs de divers pays, européens, américains, chinois, russes et autres…

    Ce modèle se trouve à présent menacé, depuis l’élection de Donald Trump aux États Unis d’Amérique, les scientifiques s’en inquiètent du fait qu’aux USA, les crédits et les budgets pour la recherche scientifique tous domaines confondus, ont été supprimés – ou « au mieux » limités ; et que de surcroît aux USA, en Chine et en Russie ainsi que dans les pays de régime totalitaire, bon nombre de chercheurs et de scientifiques n’ont pas le droit de s’exprimer, ou sont limités dans leurs travaux, ou encore doivent quitter leur pays afin de se réfugier là où ils peuvent encore exercer, s’exprimer, effectuer leurs recherches dans les conditions plus favorables dont ils peuvent bénéficier ailleurs… Mais le « champ » des possibilités se réduit cependant, dans les pays d’accueil où des contraintes budgétaires s’imposent (ou sont imposées) par des politiques économiques de développement de marché d’une part, ou par des politiques de stratégie offensives ou défensives, et d’armements, d’autre part…

    Le danger et la menace pour toute la communauté des scientifiques, n’ont jamais été aussi grands qu’en ce deuxième quart de 21ème siècle…

    Mais pour autant, la belle aventure sans frontières des chercheurs qui collaborent entre eux, faisant part de leurs découvertes et contribuant à l’avancée de la Science, risque-t-elle de s’arrêter ?

    Car toutes les personnes de bonne volonté, notamment celles qui ont encore du pouvoir et sont écoutées, luttent contre les détracteurs, défendent les chercheurs qui eux-mêmes deviennent de plus en plus soudés et déterminés à poursuivre leurs travaux…

    La Science est en effet plus grande qu’un pays, que le gouvernement de ce pays, que le mandat d’un élu (notamment d’un président), plus grande même que tout un continent (américain, africain, europe, asie) avec sa population et ses systèmes économiques et sociaux…