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  • "On est bien là"

    L’Américain Sébastien Marx, humoriste et chroniqueur radio, invité par Landes Musiques Amplifiées, et qui, le 18 avril 2025, au cinéma de Saint Vincent de Tyrosse, a présenté son spectacle « On est bien là »…

    Nous livre une image des Français en lien avec ce moment vécu ensemble qui peut être une rencontre entre amis ou proches, une fête, un événement heureux… Moment en lequel selon Sébastien Marx, l’on « profite du temps qui passe » tout en échangeant, en partageant dans la joie, dans une « convivialité ambiante »… Hors d’un autre temps que lui, l’on subit et qui est moins heureux…

    Et cette image là c’est celle du Français, de 25, de 35, de 55 ou de 70 ou de 80 ans qui tient d’une main un verre et de l’autre une cigarette…



    Soit dit en passant – dis-je pour ma part – cette image là loin s’en faut, n’est point celle que « mettent en avant  et encensent » les « donneurs de leçons de morale » qui stigmatisent ces « petits plaisirs » que l’on se donne, et dont les propos qu’ils tiennent, sont autant de coups de bâton contre productifs et « castrateurs »…



    C’est cette image là, que nous donne du Français de 25, de 35, de 55 ou de 70 ou de 80 ans, Sébastien Marx, qui reste dominante dans le paysage social de notre pays la France… Sans « verser dans un optimisme délirant », c’est bien encore en 2025, l’image, oui, dominante…



    La « France qui va mal », les voyous, les casseurs, les drogués, les agressifs, les « klaxomerdeurs » dans les rond-points… Les faits divers dramatiques, les couteaux dans les cartables, toutes les incivilités et tous les comportements les plus inacceptables aussi banalisés, aussi fréquents qu’ils soient… Certes oui, sont de l’actualité au quotidien et font de l’information… (Il faut savoir ce qui se passe tel que cela se passe sans qu’il soit nécessaire « d’en rajouter, de s’étendre, d’arranger »)…

    Mais c’est le « passage en boucle » - de ce qui vient de se passer, de dramatique, de terrifiant – sur les télés, et tout ce qui se dit et redit et se répète sur les réseaux sociaux… Qui s’impose…



    Le coup de klaxon rageur dans un rond-point, et le couteau dans le cartable, c’est pas « ça » l’image dominante du jeune Français de 15 ans, de 25 ou de 35 ans ; du Français de 55, de 70 ou de 80 ans… « Sans vouloir verser dans un optimisme délirant »…

     

    Le Mal, activé par un système éducatif défaillant, par plus de 50 ans d’idéologies « mortifères », et qui sévit dans toute sa violence au quotidien des Français – et ailleurs dans le monde – et qui multiplie les faits divers dramatiques, notamment les assassinats, les guerillas entre gangs, les incivilités et les agressions autant verbales que physiques ; qui cultive de l’indifférence et du « laisser faire » ; et génère autant d’individualismes forcenés et de communautarismes exacerbés, qui met des couteaux dans les cartables, des machettes dans les sac-à-dos… Le Mal qui isole, sépare, ou fédère dans la violence urbaine ; est « orchestré » par des influenceurs sur fond de cyberattaques, de « fake News », de nivellement des opinions…

    Le Mal cependant, n’a pas détruit tout ce qui fait davantage que de lui survivre : à savoir l’immense bonne volonté de « plus que quelques uns » qui eux sont motivés, agissants, déterminés et ne cèderont jamais …

    Il n’y a pas un seul coin de rue, un seul quartier urbain, un seul endroit en France et ailleurs, où il n’y a pas cette immense bonne volonté de quelques uns à la quelle se rallient d’autres quelques uns !







  • Le risque d'incendie des batteries...

    De smartphone, de voiture électrique, de vélo à assistance électrique, de trottinette, de tondeuse, de cigarette électronique…



    Depuis 2017 et cela, proportionnellement au nombre de véhicules, smartphones, vélos et appareils vendus dans le monde, fonctionnant avec des batteries rechargeables dont le principal composant est le lithium ; les incendies et explosions de batteries sont en 2025, de 6 fois ce qu’ils étaient en 2017…

    De manière approximative – mais sans doute assez proche de la réalité – voici ce que cela donne pour les années 2023 à 2025 :

    Les smartphones : de 10 à 20 cas par million d’appareils en utilisation.

    Les voitures électriques (risque d’incendie de batterie le plus élevé par rapport aux vélos, trottinettes, smartphones) : 20 à 30 cas sur 100 000 voitures en uilisation.

    Les vélos à assistance électrique : 20 cas pour 5 millions de vélos en utilisation.

    Les trottinettes électriques : 20 à 30 cas par million de trottinettes en utilisation.

    Les cigarettes électroniques : 30 à 50 cas par million.



    La principale cause d’incendie d’une batterie vient du fait que le temps de charge est trop souvent dépassé, par exemple du double voire du triple qu’il ne faut …

    Ainsi laisser branché toute la nuit et tous les soirs, son smartphone, vélo, trottinette, cigarette électronique ou autre appareil avec batteie, augmente le risque…

    Il est nettement préférable de ne jamais laisser dépasser le temps de charge ; soit 1h 30 à 3 h un smartphone (et l’éteindre complètement 1 fois par jour pendant 5 minutes) , 8 à 10 h une voiture, 4 à 5 h un vélo ou une trottinette électrique, 3 à 4h une cigarette électronique, 1h 30 à 2h une tondeuse…

    Une autre cause importante, aussi, de risque d’incendie d’une batterie vient de la qualité de ses composants, de la manière dont ces composants sont assemblés ( ce qui vient de Chine surtout, dont les voitures électriques, véhicules à deux roues, appareils fonctionnant avec des batteries, smartphones, jouets, etc. … À bas coût et en grande production de masse – et même soit dit en passant, des produits « haut de gamme » parfois… N’est pas forcément de bonne qualité, sans défaut…





  • Accès aux réseaux sociaux

    Interdire les réseaux sociaux Facebook, Instagram, Tik-Tok et autres, au jeunes de moins de 15 ans, oui, mais selon quelles modalités ?

    Avec à l’inscription, obligation faite de produire une copie certifiée – par la préfecture – de la carte d’identité (ou du passeport) c’est à dire une reproduction de la pièce d’identité par copie enregistrée en document PDF et portant le cachet de validation, de ce document, de la préfecture, et transmise en pièce jointe au formulaire d’inscription servi par le demandeur…

    Reste que, à partir du jour où la production de la copie de pièce d’identité devient obligatoire, en ce qui concerne tous les jeunes qui déjà, avant ce jour, sont inscrits sur un réseau social, il faudrait alors que tous ces jeunes qui déjà, postent sur les réseaux sociaux, soient tous dans l’obligation de justifier qu’ils sont âgés de plus de 15 ans.

    Mais en vérité cela implique forcément que toute personne – jeune de moins de 15 ans ou de plus de 15 ans ou adulte – au moment de l’inscription, ou qui utilise depuis x années tel ou tel réseau social, doive fournir une copie certifiée de pièce d’identité… (En effet comment différencier soit à l’inscription soit à l’utilisation depuis telle date, une personne âgée de plus de 15 ans ?… Parce que, si c’est comme dans « i-clope » c’est à dire juste dire si oui ou non on est majeur, le fait de cocher oui ne constitue aucunement une preuve !

    La solution serait d’imposer à toute personne déjà utilisatrice d’un réseau social depuis x années, la production d’une copie certifiée de pièce d’identité dans un délai imparti par exemple 1 mois… Et passé ce délai, suppression d’office du compte dans le cas de non production de justificatif d’identité, ainsi que du compte du jeune de moins de 15 ans dont la pièce d’identité indique qu’il a moins de 15 ans…



    Bien sûr une telle mesure (interdiction des réseaux sociaux aux jeunes de moins de 15 ans) peut paraître « liberticide » ou être considérée « abusivement autoritaire » … Dans la mesure où quelques jeunes de moins de 15 ans « de bonne volonté » (bien éduqués, matures, responsables, « au dessus du lot commun » n’auraient plus alors la possibilité de s’exprimer – par exemple tels des « Mozart de la littérature » ce qui serait dommageable!)…

    Mais bon, « on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs » !

    Ben oui, on raterait sans doute des « Mozart de la littérature »… Mais la médiocrité, la violence et l’agressivité, qui couvent avant 15 ans, ne pourraient plus se propager par les réseaux sociaux avant l’âge de 15 ans…