… Ce que certains humains, privilégiés qu’ils sont, du fait de ce qu’ils possèdent, de ce dont ils bénéficient ; ont acquis ce qu’ils possèdent et ce dont ils bénéficient grâce au travail souvent forcé et très peu payé de millions d’autres humains… « savent sans le savoir » ou « comprennent sans le comprendre » que tous ces autres, qui ne possèdent rien, ne bénéficient de rien, de quelque pays lointain ou à deux pas de là où ils vivent… Peuvent, par ce qu’il est convenu d’appeler « une meilleure répartition des richesses », acquérir…
Et, oui effectivement, ce que chacun des huit milliards d’humains est – ne serait-ce déjà que par le visage qui est le sien et à plus forte raison par sa personnalité, aucun autre humain ne l’est à l’identique (il n’y a que des ressemblances, des similitudes, des caractères communs – notamment si l’on regarde un humain homme ou femme, de dos et de fesses et nu-) …
Il en est de même de chaque être vivant de chaque espèce, que ce soit un chat, un chien, une vache, un porc, un crapaud, une abeille, une fourmi…
Nous sommes tous, humains et autres êtres vivants sur cette planète, des êtres « d’une seule fois dans l’éternité, ce qu’ils sont et qui, au-delà de caractères et d’apparences communs, est unique, absolument unique »…