… Lorsque l’une ou l’autre des multiples facettes d’un prisme, dans un « registre » (registre au sens d’expression littéraire ou plus généralement de communication par l’écrit ou par la parole), « lumine » en retenant le regard de ceux et de celles qui aiment, apprécient cette facette là, ou celle qui lui est similaire… Alors « tout va bien dans le meilleur des mondes » - comme on dit…
Mais lorsque, dans un « registre » très différent, d’autres facettes du prisme produisent un « éclairage » qui rend le regard de l’autre ou des autres, plus « mitigé », voire « contrarié »… Alors « plus rien ne va dans le meilleur des mondes » (dans ce « meilleur des mondes » qui n’est autre que celui en lequel on se meut, s’agite, en général dans le courant porteur d’« air ambiant »)…
Un artiste, un écrivain, et plus généralement chacun de nous, est comme un prisme aux multiples facettes… inégales à vrai dire, le plus souvent… certaines facettes en effet, « lumi-dominent » et en conséquence, rendent les autres facettes moins visibles…
« C’est fou » ce que « dans le meilleur des mondes où tout va et sied à merveille » ce que cela peut être « confortable », « rassurant »… Et générateur d’accompagnants, d’amis et « amis », de « followers »…
Et c’est « patent »… Ce que dans le « bien moins meilleur des mondes où rien ne va plus et dérange »… C’est , au contraire, « inconfortable », « isolant »… Et, général, incite à l’invective, au coup de bâton – dont ne sait pas forcément toujours d’où il vient le coup de bâton… (ou au mieux si l’on peut dire, tu reçois, de quelque modérateur ou administrateur, un message avertisseur avant bannissement, en quelque univers d’expression sur la Toile où tu postes – à vrai dire davantage sur des forums que sur des réseaux sociaux (lesquels réseaux sociaux modèrent ou censurent grâce à des algorythmes et de l’intelligence artificielle investigatrice)…