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  • La clope plus stigmatisée et plus inconvenue que la shoote ?

    Décidément selon le ministère de la santé publique, la clope n’est pas loin s’en faut la bienvenue dans la société française aujourd’hui qui, rappellons le, dans une « majorité significative » qui en aucune façon n’est décriée du moins pas officiellement ni ne faisant l’objet de décrets limitateurs, entre dans le quotidien de vie de millions de Français, et cela d’autant plus que les « produits » sont transformés (mélangés à des substances nocives de substitution), devenus plus accessibles question coût, sont de plus en plus consommés, entretenant un marché avec dealers et bandes organisées s’entretuant pour la suprémacie dans un quartier…

    Le paquet de clopes qui va passer à 12 ou 13 euro bientôt ! La clope qu’il faudra fumer le plus discrètement possible, éloigné de son prochain, donc, plus sur le trottoir ni aux abords du bistrot du coin, du restaurant, de la porte de sortie d’une gare, d’un cinéma, d’un théâtre, d’une bibliothèque, dans les allées d’un jardin public etc. … !

    Soit dit en passant la « vape » revient beaucoup moins cher, « semblant échapper à la stigmatisation mais c’est à voir », ne sent pas comme sent le tabac, se disperse vite dans l’air sans être une source de gêne à moins de souffler sa vape à proximité de son voisin, n’empuantit pas l’haleine…

    Du coup, la vape se substitue très bien au tabac de clope, elle peut même si interdite autant que la clope, se pratiquer « dans les chiottes » d’un espace public fermé (en ouvrant la petite fenêtre d’aération)… En train mais peut-être pas en avion à cause des détecteurs de fumées…

    Ah oui, « une société d’une monumentale hypocrisie aussi crasse que scandaleuse », que les décideurs, censeurs, donneurs de leçons de morale, régentent et prétendent assainir – d’un côté- mais d’un autre côté pourrissent en acceptant des pratiques, des habitudes de consommation et de comportements « permis » ou même encouragés au nom de la tolérance et de la considération de l’autre ! (Et surtout du « pognon que ça rapporte aux pédato-profiteurs »!)…

     

     

  • Rien ne peut venir de rien

    Dans le mode de reproduction des êtres vivants – et donc de l’humain – qui est le mode sexué, soit le plus répandu chez les êtres vivants (les autres modes étant le mode asexué, le mode hermaphrodite et le mode pathénogénétique), deux gamètes l’un mâle (spermatozoïde) et l’autre femelle (ovule) se rencontrent et se fondent entre eux donnant naissance au fœtus…

     

    Un humain, ainsi que tout être dont la reproduction se fait en mode sexué, est en conséquence l’héritier de son père (l’homme, le mâle) et de sa mère (la femme, la femelle)…

     

    Ainsi la rencontre et la réunion de deux gamètes sont la rencontre et la réunion de deux « environnements » qui auparavant, étaient étrangers, séparés l’un de l’autre…

    Ainsi « traînons nous derrière nous comme des nuées d’étoiles en une sorte de « chevelure » qui de loin en loin, s’élargit et se disperse… Mais qui aussi, rejoint d’autres nuées d’étoiles…

     

    Et plus on « remonte dans le temps » - sur des millions d’années – et plus les nuées se rapprochent d’une sorte d’embranchement avec d’autres nuées, lesquelles autres nuées sont elles-mêmes issues d’embranchements… Jusqu’à ce qu’à l’origine tous ces embranchements finissent par n’être plus qu’une sorte de racine, une « racine » faite de « matériaux ou briques » du vivant…

     

    Et le vivant, « il faut bien qu’il vienne de quelque part, ne pouvant être issu de rien, de « quelque chose qui n’existe pas et n’a jamais existé »…

    Ce « quelque chose » dont l’entendement humain n’appréhende pas – ou appréhende par la science et par la connaissance qu’il acquiert en physique et chimie des éléments et particules, par les mathématiques… Ce « quelque chose là » est – peut-être - « quelque chose qui s’apparente ou ressemble à Dieu » mais sûrement pas, absolument pas le dieu de quelque religion que ce soit…

     

    Ainsi un croyant en un dieu créateur, qui ne serait pas croyant en telle ou telle religion, pourrait-il dire qu’il faudrait aller chercher Dieu dans « l’ère de Planck », cette « ère » dont la durée est indéfinie, non mesurable, ayant pour « origine » un « moment zéro » (un moment zéro inatteignable) et pour fin un moment quant à lui mesurable mathématiquement et qui est le moment où l’Univers est d’un « diamètre » d’une longueur la plus petite mathématiquement connue , de 1,616255 multiplié par dix puissance moins trente cinq mètre. (cherchez ça au microscope électronique le plus performant possible!… Ou « essayez » de l’imaginer)…

     

    Mais bon, tout cela – l’ère de Planck, la longueur de Planck, l’univers en extension, de 13,7 milliards d’années d’existence… C’est la théorie du Bing Bang, qui n’est pas tout à fait « universellement reconnue » par l’ensemble de la communauté scientifique… D’autres recherches sinon découvertes ont été faites par quelques scientifiques, astrophysiciens et font l’objet de publications d’ouvrages et de revues scientifiques…

     

    Dans « quelque chose » qui serait « d’une toute autre dimension que celle de l’entendement humain »… l’on peut considérer certain que « rien ne peut venir de rien », que ce que l’on appelle le Néant n’est pas le néant… Et ça, n’importe quel humain est en capacité de le comprendre…

     

     

  • Écoute sur smartphone

    Si en général, l’écoute lors d’une conversation entre personnes ou encore lors d’une émission en direct LCI, France Info par exemple, est excellente sur un smartphone (il n’est pas nécessaire comme beaucoup le font, de coller l’appareil à son oreille, et il vaut bien mieux d’ailleurs, tenir l’appareil devant soi à environ 30 ou 50 cm dans sa main) …

    En revanche lorsqu’il s’agit d’entendre et de comprendre un message audio envoyé par un appelant qui, n’ayant pu vous joindre, après le bip sonore, vous laisse un bref message audio… Alors là, il se trouve que le message n’est pas audible : l’on entend à peine la voix de l’appelant, l’on ne comprend donc rien de ce que dit cet appelant, même en collant l’appareil à son oreille et faisant l’effort d’essayer de comprendre !

    D’où la pertinence -évidente – qu’il y a pour l’appelant, à laisser plutôt un message bref écrit (SMS) qu’un message audio… Ce qui implique bien sûr, de la part de l’appelant, d’accepter de consacrer au moins deux minutes « de son temps précieux » afin de rédiger le message…

    Que ceux et celles d’entre vous qui privilégient l’oralité, « rechignant » à consacrer deux minutes de leur temps afin d’écrire ne serait-ce qu’une phrase de moins de dix mots… « Se le tiennent pour dit » !

    De surcroît, le message audio à peine entendu tant le son est faible et bien sûr non compris, n’est plus réécoutable, du fait qu’il est considéré écouté…

    Bon, peut-être qu’avec un smartphone à 1300 euro, les messages audio laissés par un appelant sont-ils « plus compréhensibles » ? C’est à voir…