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  • Anecdotique ...

    « En principe » les gens âgés de – disons « autour de 70 ans » - n’ont pas besoin d’une assistante ménagère ou d’aide à domicile à la personne, dès lors que ces gens ne sont pas affectés d’un handicap sérieux… Ce qui est assez souvent le cas lorsque vient ce que l’on appelle le « grand âge » c’est à dire à partir de 85 ans environ…

    Néanmoins, à partir de 70 ans, si l’on mesure 1,70 mètre ou moins et qu’en conséquence on n’a pas le bras assez long, et que l’on peine à tenir en équilibre debout sur un tabouret, afin de changer une ampoule (plafond d’une hauteur de 2,40 mètres ou plus) ; que l’on n’a pas à côté de chez soi, un voisin jeune attentionné avec lequel on entretient une relation, que l’on vit seul ou avec son conjoint lui aussi âgé de 70 ans et pas très grand de taille ; que le fils ou la fille habite à mille kilomètres… Changer une ampoule c’est la galère !

    On ne fait pas venir un électricien (un profesionnel de métier) pour, par exemple, changer un interrupteur, rétablir un contact… Juste pour une petite intervention (l’homme de métier, artisan très sollicité, ne se déplace pas rien que pour une « bricole ») et encore moins pour venir changer une ampoule (et même 3 ou 4 ampoules dans la maison)…

    « Moralité » si je puis dire… Lorsque tu arrives à l’âge de 70 ans et que tu peines à tenir en équilibre debout sur un tabouret pour changer une ampoule, il s’avère alors autant préférable que souhaitable, de faire installer, à la place de lustres ou de luminaires avec ampoules au plafond trop haut, sur les cloisons et donc à hauteur de visage, des appliques murales. Sans doute un électricien, homme de métier très sollicité, ne « rechignera pas » alors, à un travail de pose et installation d’une dizaine d’appliques murales dans ta maison…

     

    Soit dit en passant, l’on ne trouve de nos jours plus personne – de métier – en quoi que ce soit, pour une « petite intervention » (considérée non rentable et surtout « incasable en temps à consacrer » entre deux ou trois « gros chantiers » simultanés)… C’est la raison pour laquelle se multiplient les « auto entrepreneurs à tout faire » qui eux, interviennent à la demande pour de « petits travaux »…

     

     

  • Prendre soin de sa propre lumière

    « Lorsqu’on sait prendre soin de sa propre lumière, on n’a pas le temps d’éteindre celle des autres » [ William Sinclair ]

     

    Sans doute… Ou peut – être, oui…

     

    Mais « prendre soin de sa propre lumière », à mon sens, implique de la défendre lorsqu’elle est contestée et parfois, brutalement mouchée…

     

    Car les détracteurs sont nombreux, agressifs… Encore « heureux » quand ils se contentent de passer à côté de ta lumière sans la regarder ou la considérant d’un œil sceptique et sans aucune bienveillance ou reconnaissance de son existence…

     

    Le temps d’éteindre la lumière qui aveugle, ou qui est une contrefaçon bien arrangée, de la lumière… Et qui est celle de certains – assez nombreux il faut dire – vient de lui-même sans être cherché et donc s’impose par la force des choses… Donc le temps, alors, on le prend… De moucher ce qui s’apparente à la lumière mais qui n’en est point, et nous brûlerait la peau au passage, à proximité de ceux et celles qui nous offensent, nous contestent ou nous aveuglent…

     

    Reste que, pour la lumière des autres – de certains autres aussi (mais moins présente dans le paysage que celle d’autres certains autres) – et qui peut être bleue, jaune, rouge, orange… Et donc différente de la nôtre qui est verte ou blanche – il ne nous vient pas à l’idée – en principe - de l’éteindre et encore moins de passer de notre temps à l’éteindre… À moins d’être si convaincu, si imbu de ce que notre lumière – verte ou blanche - représente à nos yeux, que nous en venions à moucher la lumière des autres – bleue, jaune, rouge, orange…