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  • Voitures électriques

    L’on voit de plus en plus, dans les parkings des supermarchés notamment, des bornes pour rechargement de voitures électriques ; ainsi que des stations sur places publiques en ville, de rechargement…

    Si le parc automobile dans les années qui viennent, se renouvelle de plus en plus en véhicules électriques… Alors que penser du parc de véhicules de transport (camions, autobus) qui lui, demeure toujours à essence ?

    En effet, pour une voiture la batterie a un poids qui varie en moyenne de 250 à 300 kilos, ce qui est déjà assez considérable et exclut, dans les stations, le remplacement de la batterie par une autre batterie (pas d’autre possibilité, donc, que le rechargement de la même batterie)…

    Un moteur de voiture à essence est d’une puissance de 100 à 130 chevaux en moyenne. Pour avoir un équivalent en puissance, une voiture électrique doit être dotée d’une batterie de 250 à 300 kilos.

    Mais pour un camion de – par exemple- 36 tonnes – le moteur diesel est d’une puissance de 700 chevaux soit 7 fois plus que pour une voiture…

    Si un camion de 36 tonnes roulait électrique, il lui faudrait alors une batterie de 2 tonnes quatre…

    « C’est pas demain la veille » que le parc des gros véhicules de transport passera à l’électrique !

    Surtout si l’on pense à la quantité énorme (indéfinissable) de « métaux rares » ( lithium, cobalt, nickel…) Qu’il faudra extraire en des endroits spécifiques de la planète…

     

     

     

  • L'indifférence et le refus de savoir

    C’est l’indifférence qui « fait le lit » de l’ignorance…

    L’on ne veut pas savoir parce que l’on s’en fout, de bien des choses qu’il serait utile – parfois vital – pour nous, de savoir…

    À commencer par d’où nous venons, par ce qui nous précède, par ce qui va nous suivre… Et par ce qui existe au-delà des apparences, au-delà des modèles qui nous sont proposés, tous réducteurs de nos interrogations, de nos pensées, de notre capacité de réflexion …

    Et, l’indifférence « faisant le lit » de l’ignorance, « fait aussi le lit » du refus de savoir, un refus de savoir que renforcent, amplifient, organisent et répandent, les dogmes, les religions, les sectes, les communautarismes, les obscurantismes, les courants d’opinions, et tout ce que véhiculent les Médias, les Télés, les réseaux sociaux, les rumeurs, les multiples dépendances auxquelles nous conditionnent les dominants et les décideurs…

    Prendre résolument le parti du refus de l’indifférence, du refus du refus de savoir ; n’est jamais « bien vu » et souvent considéré gênant (pour ne pas dire « emmerdant »)…