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  • Epizooties

    Si la plupart des épizooties (maladies mortelles des animaux d’élevage dont les bovins, les porcs, les ovins, les volailles) proviennent de pays en développement dans les régions chaudes d’Afrique et d’Asie ; il semblerait cependant que les épizooties lorsqu’ elles se répandent dans les exploitations d’éleveurs producteurs – notamment industrielles – sévissent surtout en Europe (et plus particulièrement dans les pays de l’Europe de l’Ouest : France, Belgique, Grande Bretagne, Allemagne)…

     

    Entend-on parler d’épizooties en particulier de maladies mortelles touchant les bovins et les volailles, au Brésil, en Argentine, au Canada, aux USA ?

     

    Cette question d’une présence répétitive d’épizooties de bovins et de volailles « plus fréquente et plus étendue » en Union Européenne qu’en Amérique ou ailleurs, serait-elle liée au monde des laboratoires de recherche ( étude et recherche de virus, de germes, bactéries ), au monde de l’industrie chimique et les lobbys agro-alimentaires et semenciers (Monsanto, Bayer, etc.) voire des lobbys pharmaceutiques dont les décideurs dominants et leurs assemblées d’actionnaires, protégés et soutenus par « L’Europe de Bruxelles », par les lois qui les avantagent, par les gouvernants « à leur botte »… Qui « tout ce monde là »aurait intérêt à ce que disparaissent les éleveurs et les exploitants de « dimension moyenne et à plus forte raison modeste » ?

     

    Dès lors même qu’une vache est atteinte – ou un poulet ou un canard – dans une exploitation, ce sont tout de suite des mesures « radicales » qui sont prises : abbatage de toutes les bêtes, de tout le troupeau… Et les « indemnisations » (prévues) ne suivent pas dans l’immédiat (et se font encore attendre après plusieurs mois voire années)…

     

    Ce « monde là » des lobbys agricoles, industriels, des laboratoires, de l’industrie chimique, que conforte et renforce dans sa puissance et dans sa domination, l’Europe de Bruxelles et les gouvernants, avec les « flopées d’actionnaires » qui les accompagnent… Sont directement derrière tous les drames paysans, derrière tout ce que subissent des millions de gens dans leur vie quotidienne (misère, précarité, chômage, déserts médicaux, fermeture d’usines et d’entreprises, hôpitaux et écoles et services publics à l’abandon)… Et sans doute « y sont-ils pour quelque chose » dans ces épizooties ( « vache folle » en 2001 et autres maladies bovines, successions de grippe aviaire, etc.) … C’est tout de même « curieux » que l’on n’observe pas toutes ces épizooties de bovins et de volailles – en dimension équivalente – en dehors de l’Europe et plus particulièrement au Brésil, en Argentine, aux USA, au Canada…

     

    Ce « monde là » des lobbys et des actionnaires, est un monde d’assassins, il est représentatif de la nouvelle barbarie du 21ème siècle qui, d’une manière plus hypocrite, plus pernicieuse, « vaut bien » en horreur la barbarie sanglante des siècles passés où l’on pendait, où l’on rouait, où l’on torturait, où l’on passait au fil de l’épée, où l’on affamait, où l’on massacrait, où l’on incendiait…

    À noter que la barbarie des siècles passés n’a pas, loin s’en faut, de nos jours, disparu, comme l’on peut le constater avec les guerres et les conflits qui sévissent au 21ème siècle où sont bombardées et massacrées des milliers de personnes…

     

     

     

  • Fin du moteur thermique en 2035 ?

    L’interdiction à la vente – en France et dans l’ Union Eurpéenne – en 2035, des véhicules automobiles thermiques (essence, diesel, biocarburant) étant prévue, planifiée…

    Qu’en sera-t-il alors pour les millions de camions de fort tonnage, pour les avions de passagers et de fret, pour les cargos transportant des centaines de containers sur les océans ?

    Quand on sait qu’une voiture de modeste taille et puissance doit être dotée d’une batterie d’un minimum de 160 kg – jusqu’à plus de 300 pour une voiture puissante – et qu’un semi remorque ou un camion de 38 tonnes doit être doté d’une batterie d’au moins deux tonnes… L’ on imagine la quantité « phénoménale » de minéraux à extraire du sous-sol de notre planète – en des lieux et sites d’exploitation limités et épars – pour faire tout rouler, voler et voguer, à l’électricité – avec des batteries nécéssitant l’emploi de ces « métaux dits rares »…

    Il y a bien là une disproportion manifeste et évidente entre le gigantisme démesuré des véhicules (autos, camions, navires de transport, avions) dans le monde tous pays confondus, et la quantité exploitable des gisements de minéraux dans le sous-sol de notre planète, forcément limitée…

    Peut-être… (l’on peut « tout espérer » de l’évolution de la Science et de la Technologie) que, au siècle prochain sinon dans la seconde moitié du 21ème siècle, l’on parviendra, par des sortes de « centrales satellites » en orbite autour de la Terre, à capter l’énergie produite dans le cosmos (énergie venue des étoiles proches, déjà du soleil) et à transformer cette énergie « inépuisable » en énergie électrique transportable par « centrales relais » puis par centrales construites sur la Terre afin d’ alimenter en énergie électrique tout ce qui roule, qui vole, qui vogue…

    Une « manne » d’ une « toute autre dimension » que celle, actuelle, pour les Lobby’s et Consortiums de l’ Energie dominants sur le Marché !… Et pour les quelques futurs deux cents millions de milliardaires qui eux, « ne passeront pas par des touropérators pour leurs voyages dans l’Espace » ! Ce qui n’empêchera pas pour autant dix milliards d’humains connectés, de se servir de smartphones à écran holographique trois dimensions, pour échanger, partager, diffuser sur les réseaux sociaux dont les noms sont à inventer : de nouveaux « TikTok » et « Facebook » et « Instagram » ultra sophistiqués - effets-spécialisés » !

     

     

  • L'humour... Et le pardon

    L’ humour le plus noir, le plus dérangeant, le plus iconoclaste, ne répandant pas le sang, ne demeurant que du verbe – ou du dessin – est cependant une arme à double tranchant dans la mesure où d’un côté, il expurge la violence mais où de l’ autre côté il incite à la violence…

    C’est – peut-être – une question de degré dans la noirceur, dans l’insolence, dans ce qui dérange… Qui contribue à expurger la violence : un tel degré atteint qu’il devient impossible d’accomplir le geste qui tue…

    Mais le risque d’incitation à la violence existant toujours, faut-il pour autant bannir, condamner ou empêcher d’être l’humour le plus noir, le plus dérangeant, le plus iconoclaste ?

     

    De même le pardon est une arme à double tranchant contre la perpétuation sans fin de la violence, dans la mesure où d’un côté le pardon peut contribuer à réduire la violence – comme s’ il « remettait les compteurs à zéro » façon Nelson Mandela par exemple – mais où de l’autre côté le pardon provoque, exacerbe et amplifie la violence…

    C’est peut-être là aussi, une question de degré atteint dans le pardon : un tel degré qu’il devient impossible d’accomplir le geste vengeur et meurtrier…

    Le risque encouru qu’il a à pardonner existant toujours, faut-il pour autant qualifier le pardon de faiblesse dangereuse et coupable ?