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  • Une idée comme ça, qui me vient...

    Nos pensions de retraités, nos salaires de personnes actives en entreprise, fonction publique, etc. … Ainsi que les prestations sociales que perçoivent de nombreuses personnes, enfin, autant de paiements qui nous sont faits…

    Tout cela versé sur nos comptes bancaires par internet depuis des centres de gestion automatisés… Virtuellement pourrait-on dire mais en même temps aussi concrètement comme cela se faisait jadis, du temps où il n’y avait ni internet, ni numérique, ni informatique, et où il fallait se rendre à un guichet de caisse percevoir en numéraire…

     

    Si d’un seul coup, du jour au lendemain, tout cela s’arrêtait, comme totalement grippé, gelé, par une immense panne générale, plus aucun accès à nos comptes, distributeurs automatiques d’argent liquide devenus inutilisables, plus aucune transaction financière, de paiement de quoi que ce soi !

     

    Et que néanmoins il faille par nécessité, se nourrir, se loger, s’habiller, mettre de l’essence dans sa voiture, se procurer tout ce dont on a besoin au quotidien, qui n’est aucunement gratuit et ne l’a jamais été…

    Comment ferait-on alors ? Que se passerait-il ? Avec nos cartes bancaires désormais muettes, sans liquidités, nos comptes inaccessibles ?

     

    J’imagine le chaos, la panique, le désarroi, la sidération, l’impuissance, tout cela généralisé, universel, planétaire…

    Reviendrait-on au troc ? Que signifierait « être riche ou être pauvre » ? Peut-être (c’est une idée) que cent euros, ou dix ou vingt ou mille … Se verrait remplacé par une heure, dix heures, cent heures de travail ou d’activité de service rendu, de production de quelque chose… Encore faudrait-il être en capacité de produire, de faire, d’exercer… Mais alors qu’en serait-il pour obtenir des denrées alimentaires sur des marchés, dans des boutiques, ou toutes sortes d’équipements de nécéssité, comment « retraduire » autrement qu’en argent – liquide ou par écriture ou par opération automatisée internet numérique informatique, le « paiement » qui devrait alors être fait ?

     

    Et pour les transactions achats ventes dont le montant excède la somme de ce que coûte un produit dont en a besoin et que l’on se procure  ? Par exemple pour acheter une voiture, un terrain, une maison ?

     

    Ces centres de gestion des retraites à payer aux gens, et de versements de prestations, de salaires, fonctionnent avec de la technologie de pointe automatisée, des algorythmes ; des données compilées, de l’informatique, du numérique, de l’Intelligence Artificielle, de la robotique… Et tout cela marche avec de l’électricité.

     

    Imaginons une panne électrique ou un bug gigantesque créant un dysfonctionnement majeur affectant toute la planète : tout ce qui est électrique s’arrête, les batteries ne peuvent alimenter que durant 6 à 8 heures au mieux, après plus rien, rien de rien ! Tout s’arrête !

     

     

  • Ce qui domine dans nos assiettes en France

    Importation produits alimentaires.jpg

    Toute cette part de l’alimentation que nous consommons au quotidien, vient « au mieux » pour 21 % en viande bovine et « au pire » à 89 % pour le poisson…

    À noter 42 % pour le poulet – Brésilien en grande partie…

    C’est dire de notre dépendance en matière de produits alimentaires « venus d’ailleurs qu’en France » notamment hors Union Européenne…

     

    Le « champion » si l’on peut dire, des « Grandes Surfaces commerciales alimentation » c’est – peut-être- Grand Frais à l’intérieur du quel on ne fait jamais trois mètres parcourant les rayons sans voir pour origine fruits, légumes : Ghana, Guinée Equatoriale, Chili, Afrique du Sud, New-Zeland, Madagascar, Chine, Pérou, Argentine… Et j’en passe… Quoique pour Leclerc, Intermarché, Carrefour et Discount’s, c’est quasiment pareil tout ce qui vient de l’autre bout de la planète !

     

    « Bon marché » et donc, accessible pour les « petits budgets » c’est une gageure ! De « l’attrape nigaud » ! De la foutaise ! De la tromperie ! En fait, pour chacun de tous ces produits « venus d’ailleurs » (et de loin) il y a inévitablement pour les trusts et pour les « mafias de la bouffe » cette « marge bénéficiaire » réalisée sur des ventes par milliers de tonnes…

     

    Poulet Brésilien à 6,80 euro le kilo ! Ça fait des millardaires de la volaille – Brésiliens ou autres – qui ont des propriétés et des villas de grand luxe sur la côte Basque ou d’Azur !

    Et « tout le monde ou presque » dans les Grandes Surfaces, ou au « petit épicier du coin » (quand il existe), « riche ou pauvre » - à moins d’être parmi les plus démunis – achète, remplit le caddie, entasse dans ses pacards, son frigo, son congel, chez lui !

    La provenance ? On s’en fout ! (« il faut bien bouffer, sinon, on n’achèterait plus rien on vit pas d’air seulement!)

    Et les promos, les réducs, à longueur d’année !

    Et les grattages ou tickets avec un numéro de tirage pour gagner ceci ou cela ou 50 ou 100 euro !

     

    Et Macron et la France qui ne veulent pas signer pour Mercosur ! Mais Mercosur ça fait des dizaines d’années qu’on l’a dans nos assiettes, dans les cantines scolaires, dans les restaurants de collectivités et entreprises, dans les EHPAD et les maisons de retraite, dans les Hôpitaux et les cliniques, dans les restaus à menu du jour… Et quand on invite les copains pour le barbe-cue d’une soirée de juillet…

     

    L’Ordre boustifaillien du Monde ! Avec tout le culinaire et ses recettes par milliers, livres de cuisine, marchés locaux, la moitié de toutes les discus patate-salade entre voisins et connaissances !

    Et les « écolos révolutionnaires » résistants et moralisateurs ! Ils bouffent quoi eux ? La pluie qui tombe, elle est pas bio que je sache ! Et la terre dans laquelle tu fais pousser tes salades qui seront pas bourrées de nitrate, elle est sans pesticides ?

    Et la flotte minérale ! Celle du robinet elle est pas pire ! Du coup c’est à se demander si à force de bouffer et de boire frelaté trafiqué chimiqué ogéhèmisé, ce qu’on évacue dans les cabinets peut encore sentir quelque chose !

    C’est qu’il faut « aseptiser » à tout prix ! Y compris en ammoniaquant les crevettes !