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  • Dans les guerres l'attaquant envahisseur a toujours tort

    Les guerres font pleurer les mères

    Disent les anti-guerre

    Qui ne voient dans les guerres que des victimes

    Qui elles ne sont pas des soldats dans les tranchées

    Mais des femmes et des enfants dans les ruines des maisons écroulées sous les bombes

    Mais les mères qui pleurent

    Dis-je

    Et assume de le dire

    Ne sont pas les mêmes selon l’armée qui se bat

    Celle qui se défend

    Celle qui attaque

    Ainsi les mères Russes

    Ainsi les mères Nord Coréennes

    Dont la peine m’indiffère

     

    Les lois de la guerre

    Qui excluent la barbarie

    L’exécution de prisonniers

    Appliquées aux attaquants vaincus ?

    Non !

    Pas aux soldats Nord Coréens venus en appui de l’armée russe !

    L’envahisseur

    A toujours tort

    C’est lui le barbare

    C’est lui le criminel de guerre

    Pas de Loi pour limiter ou réglementer le traitement de l’agresseur mis hors d’état de nuire !

    Mais la corde pour le pendre

    Ou le fusil pour lui trouer la poitrine

    Et le poing levé à sa mère en pleurs !

    Et pas de sépulture

    Pas de stèle ni de prière à quelque dieu que ce soit

     

    Une sorte de « morale internationale » - qui, à vrai et précisément dire, est celle des pays « soi-disant moralisateurs »- prétend fixer des règles à la guerre…

    Mais la guerre, ça n’a rien à voir avec une rencontre entre deux équipes adverses de football ou de rugby : au foot et au rugby il y a des règles qui s’appliquent ; à la guerre s’il y a des règles elles ne sont que théoriques…

    Appliquer des règles pour traiter des barbares, non !

    Il y a ceux qui disent : si on traite un barbare avec les mêmes méthodes qu’utilise le barbare, on est un barbare, tout civilisé que l’on prétend être…

    Il n’y a pas de barbarie quand on se défend, quand on élimime des barbares dans la plus grande des violences … Car la cruauté avec laquelle on traite un agresseur barbare revêt un caractère de normalité, bien que cette « normalité » soit éludée…

     

    Les guerres du 21ème siècle font, en proportion du nombre d’habitants par pays d’une part, et dans le monde entier d’autre part ; beaucoup moins de morts que durant chacun des siècles précédents, avec des armes bien plus puissantes pourtant…

    Mais ce sont les Médias de l’information qui dimensionnent les guerres actuelles avec bien plus d’ampleur que jadis…

    Et – surtout – au 21ème siècle – c’est l’hypocrisie qui a atteint un niveau d’évolution et de développement qui dépasse celui qui existait par le passé… Et cette hypocrisie est « la forme la plus achevée, la plus évoluée, de la barbarie…

    Et « aussi  entrée dans les mœurs » qu’elle est, la « nouvelle barbarie  des temps présents » est qualifiée de « civilisation », elle est dans l’esprit des gouvernants, des législateurs, des dominants et des décideurs, des penseurs, des intellectuels, de toutes les catégories sociales… Elle fait ce qui se condamne, ce qui se stigmatise, elle fait les « levées de boucliers » en face de ce qui heurte l’opinion… Elle prépare aux violences, aux conflagrations à venir, celles que l’on craint le plus… Et ne manqueront pas de survenir « à force de... » !

    Tout le monde a en esprit que, du temps de Philippe le Bel fin du 13ème siècle début du 14ème, quand on décapitait à la hache, écartelait, torturait, rouait, pendait aux gibets, c’était « cruel et barbare »…

    Mais… Que dire de ce qui aujourd’hui se fait ? C’est « plus aseptisé » peut-être ?