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  • La prédominance de l'idée reçue

    Dans la vision ou l’idée ou la version de l’un ou de l’autre – du monde, de la société, de tel ordre des choses - notamment lorsque ces dernières sont opposées et ne peuvent s’accorder ; il y a cette part de vérité liée à des faits, des actes, des comportements, à la réalité de ce qui s’est effectivement passé… Et qui est soit méconnu, soit occulté…

    Cette part de vérité, de réalité, de quelque côté que ce soit… Méconnue, occultée, déformée…

    Mais il y a aussi la dimension qui est celle, prise aux yeux de l’un ou de l’autre, par la part de vérité et de réalité…

    Et il y a toujours dans la dimension que l’on fait prendre à la part de vérité, ce qui fonde une opinion majoritaire, et qui trompe…

    Nous sommes plus que jamais, au 21ème siècle, dans le dimensionnement non seulement du vrai mais du contrefait et du déformé…

    Il arrive qu’un « esprit éclairé », libre, indépendant et informé de ce qui est occulté ou méconnu ; s’exprime et témoigne de ce qu’il sait et dont on n’a pas parlé… Et cela dérange tous ceux et celles qui se sont fait de l’idée reçue une vérité incontestable…

     

  • Religions et laïcité

    Les religions en France, se sont fondues dans la laïcité, à savoir, le catholiscisme, l’évangélisme, le protestantisme – c’est à dire toutes les religions chrétiennes… Et cela depuis 1905 l’année de la séparation de l’église et de l’état…

    Il n’en demeure pas moins en France que même encore aujourd’hui, l’on voit dans des chambres au dessus du lit, un crucifix… Et que presque tout le monde se marie et s’enterre à l’église… Et que la religion notamment « catholique apostolique et romaine », si elle n’est plus aussi présente dans la vie des gens comme elle l’était avant 1950 surtout dans les campagnes, est toujours là en « arrière plan » dans le « paysage social »…

    Si les religions chrétiennes se sont fondues dans la laïcité, il n’en est pas de même de l’Islam qui s’invite dans l’espace public de manière invasive…

    Et il n’est pas « de bon ton » aujourd’hui de désigner en le stigmatisant, un Islam trop visible dans l’espace public … Selon cette idée qui s’impose de ne pas faire d’amalgame, c’est à dire ne pas confondre le « bon musulman respectueux des valeurs de la République, qui ne fait de mal à personne ; avec le fanatique, l’intégriste, le radical, le jihadiste, et qui pose problème…

    Sauf que… Le « bon musulman », sa femme porte le voile ou le foulard jusqu’autour des épaules dans l’espace public, veut qu’à la cantine scolaire pour ses gosses on ne serve pas de cochon, veut des horaires aménagés au travail, pour le ramadan…