compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Le patrimoine financier et immobilier du Français moyen

    Pour environ 10 millions de Français, s’évalue ainsi, d’une part, le patrimoine financier qui est celui de l’ensemble des liquidités disponibles sur un compte courant, sur deux livrets A et sur deux livrets de développement durable, et sur éventuellemnt, un ou deux plans épargne logement, et un produit d’assurance vie épargne…

    Le tout représentant en général une somme globale souvent largement inférieure à 100 000 euros… En effet, un compte courant de 3 à 4 mille de moyenne, deux livrets 44 000, deux livrets de développement durable 22 000… Sans compter le plan épargne logement et le compte d’assurance vie qui sont moins disponibles… Cela fait autour de 70 000 de liquidités, et même avec en plus un PEL et un produit d’assurance vie, l’on reste en dessous de 100 000 euros…

     

    Et d’autre part le patrimoine immobilier qui est celui, en général et pour l’essentiel, la maison ou l’appartement dont on est propriétaire soit l’habitation principale de résidence… Bien immoblier, maison ou appartement, dont la valeur est variable…

    En effet, si la maison ou l’appartement dans une résidence est aménagé et équipé selon les normes actuelles du 21ème siècle, son prix sur le marché de l’immobilier, si cette maison ou cet appartement est vendu, varie entre 250 000 et 500 000 euro, et peut monter plus haut encore en fonction du lieu – de la situation, de la région, en mileu urbain ou rural…

    Mais si la maison ou l’appartement est ancien, et surtout ni aménagé ni équipé selon les normes actuelles du 21ème siècle, et de surcroît nécéssitant de gros travaux de rénovation, alors si cette maison ou cet appartement est vendu, son prix sur le marché de l’immobilier est le plus souvent inférieur à 100 000 euro – à moins que le terrain attenant ait de la valeur (plus de valeur que la seule maison)…

     

    Il est évident que la majorité des acheteurs d’une maison sont soit des couples avec 2 ou 3 enfants, soit de « jeunes retraités », et qu’en conséquence ces acheteurs là, en couple avec des enfants ou « jeunes retraités », ne feront jamais le choix d’acquérir une maison ancienne dont l’aménagement intérieur ne correspond plus du tout aux besoins de la vie d’aujourd’hui, n’est pas équipée dans les normes actuelles du 21ème siècle…

     

    Il est clair qu’avec un patrimoine financier inférieur à 100 000 euro, si l’on est propriétaire d’une maison ancienne, mal aménagée, mal équipée, et dans laquelle de gros travaux de rénovation sont à réaliser ; la maison ne pourra être vendue qu’en l’état où elle se trouve et que le « champ » des acheteurs potentiels sera réduit car dans ce cas, c’est le terrain qui fait la valeur et la demande, et, quant à la maison elle n’intéresse alors que des gens qui sont disposés à rénover -souvent par eux-mêmes et en capacité de rénover…

     

    D’autre part il est évident aussi, que, passé 70 ans et à mesure que l’on avance en âge, et que de surcroît l’on n’est plus en bonne santé ; la motivation à entreprendre ou à faire entreprendre des travaux importants de rénovation, diminue considérablement…

     

    Enfin il y a aussi le problème des risques naturels que sont – de nos jours de plus en plus fréquents – les inondations, les incendies, les tempêtes, tornades, ouragans, violents orages, occasionnant d’importants dégâts, dégâts en face desquels 100 000 euros de liquidités disponibles ne représentent plus grand’chose… Et que les assureurs vont bien finir par ne plus être en capacité d’indemniser – à moins d’augmenter considérablement les cotisations des gens qu’ils assurent contre les risques…

     

     

  • Corruption et trafic d'influence

    Nos élus – les personnages que nous élisons pour nous représenter, et que nous envoyons à l’Assemblée Nationale, ainsi que les ministres constituant le Gouvernement de notre pays la France – Qu’ils soient « de droite ou de gauche ou de tel ou tel parti », pour quelques uns d’entre eux, poursuivis par la Justice, soupçonnés de trafic d’influence et de corruption, font la Une des médias, des télés, des radios et de la presse, et sont considérés comme des personnages à abattre, honnis, vilipendés, abondamment critiqués…

     

    Mais le faux autant que le vrai – pour autant que l’on parvienne à démêler le vrai du faux – s’invite dans les débats, dans d’épuisantes polémiques sur les réseaux sociaux, dans les propos que l’entend, partout dans l’espace public, des uns et des autres…

    Comme si un « ordre de médisance » systématique, orchestré, organisé, devenu « monnaie courante » s’instaurait dans la société…

    Un « ordre de médisance » qui est « un ordre de puanteur », de discrédit, de démolition automatique, obligé, exacerbant les passions, tout ce qu’il y a d’émotionnel, d’épidermique, de brutal, de vulgaire, d’irréfléchi, de tout un chacun, pris dans le courant de l’opinion dominante…

     

    À chaque fois que l’un ou l’autre de nos élus, de nos ministres, de nos gouvernants, se trouve impliqué dans une affaire de corruption et ou de trafic d’influence, soupçonné de détournement de fonds publics ou privés… Qu’il soit de gauche ou de droite ou même du RN… Je me refuse à entrer dans un « débat nauséabond », à « mettre mon grain -de sel ou de poivre- dans la « sauce »… Non pas que je soutienne ou excuse la personne incriminée et ciblée, mais je me refuse à aboyer avec les chiens, à hurler avec les coyotes, à systématiquement démolir la personne concernée dans l’affaire !

     

    En revanche – et c’est là un « fait de société » (celui là passé à la trappe)- personne ne s’élève avec la vigueur qui s’imposerait, contre les Grands et dominants et décideurs de ce monde, tous multi milliardaires qui eux, pratiquent sans vergogne l’« art » de tromper, d’abuser, de s’enrichir au détriment du plus grand nombre, et dont certains d’entre eux, très et tout puissants qu’ils sont à la tête d’empires commerciaux et industriels, où à la tête de grands États, se livrent bel et bien à des crimes contre l’humanité, aux pires des exactions et des violences et qui eux, ne sont jamais poursuivis par la Justice… Il y a en effet une disproportion manifeste entre les actes nuisibles aux populations, de ces gens là les plus puissants du monde, et ce que l’on peut reprocher à un élu local, à un membre de tel ou tel parti politique qui a ou aurait quelque peu fauté…