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brutalité

  • Au comble de la brutalité et de l'ignominie

    L’on n’avait pas encore atteint un tel niveau de brutalité, d’ignominie et d’ingérance scandaleuse : un président des États Unis d’Amérique, Donald Trump, qui exige que Volodymyr Zelenski démissionne pour être remplacé par un « plus favorable au dialogue » dans la négociation pour une paix en Ukraine au bénéfice de la Russie… Et des intérêts américains !

    Et ce concert d’injures ordurières de la part de Poutine et de l’état major de l’armée russe à l’égard de Zelenski, pour accompagner la brutalité de Trump !

    Et le monde entier qui assiste médusé – et impuissant- à la « Loi du plus fort et du plus brutal » !

    Avoir vécu depuis le 9 janvier 1948 dans le monde que j’ai connu – qui n’a pourtant pas été loin s’en faut un monde de bizounours – et assister à « ça » à l’âge de 77 ans, c’est désespérant, c’est inqualifiable !

    Qu’un gigantesque ouragan accompagné de mille tornades dévastatrices, que les pires catastrophes naturelles balayent la Russie toute entière… Et les États Unis avec (surtout le Montana, le Wyoming et le Texas représentatifs de cette Amérique que je hais, dont j’exècre les fanfaronnades et folklore country rodéo église le dimanche prière à table, matcho – raciste pro Trump pro América over all en casquette rouge ou chapeau de cow boy!)…