… Qui, depuis 1789, au fil des régimes et des gouvernements successifs jusqu’à celui de Michel Barnier, ont été établis ou votés ?
N’ont-ils pas, « un peu moins si l’on veut » que les budgets de l’Ancien Régime (de la Royauté et des nobles) favorisé, tous, certaines personnes plutôt que d’autres ; et n’ont-ils pas été, tous, aussi dépensiers pour la « Pompe », pour l’apparence, au détriment des besoins les plus élémentaires d’une population qui, dans son ensemble (classes moyennes et classes défavorisées et leurs composantes – travailleurs et entrepreneurs) a toujours supporté la charge financière du fonctionnement du pays, de l’état, de la nation ?
… Dans l’établissement d’un budget annuel – en l’occurrence celui de la France – en ce qui concerne les économies à réaliser (réduction en coût salarial, en postes de travail, équipements, gestion, etc.)…
Encore faut-il, « disons au cas par cas » décider où et comment on réduit, dans quelle branche d’activité, dans quel secteur d’activité, dans quelle situation se présentant… Et donc de déterminer au plus vrai, au plus exact, au plus juste, où il faut réduire, et ce qu’il faut réduire en fonction des besoins réels (de ce qui est nécéssaire à tous)… Ou en fonction du superflu, du « non essentiel » ou de la « pompe » et donc de l’apparence (dépenses inconsidérées ou faites afin de préserver des privilèges)…
Déjà « zéro euro » pour la « pompe », pour le superflu, pour le non essentiel, pour la préservation des privilèges… C’est bien là, oui, réellement économiser ! (De ce côté là, je pense que dans notre pays, la France, « il y aurait de quoi faire »! … Sans doute des sommes assez importantes, de l’ordre – globalement – de quelques centaines de millions d’euros…
Ce qui serait « autant de gagné » que nous m’emprunterions plus sur les marchés financiers pour « faire marcher la boutique France » !
Ainsi, un budget pour l’école, un budget pour la santé publique (l’hôpital), un budget pour la police, un budget pour l’armée, un budget pour la recherche, un budget pour chacun des rouages de fonctionnement du pays… Le tout dans un budget global… Mais dans chaque budget, une évaluation précise des besoins réels « au cas par cas » selon les situations – locales, régionales, nationales ; l’habitat, l’environnement, la démographie, les ressources de tel ou tel lieu, village, ville, canton, terroir ; les commerces, les entreprises industrielles, commerçantes, artisanales et agricoles implantées en tel lieu, ville, village, terroir…
Tant que des minorités de par leur statut social, leur influence, leur pouvoir local, leur aspiration à s’étendre, à dominer, demeureront inflexibles et « intouchables », attachées à leurs privilèges et protégées en haut lieu… Il y a aura forcément des dépenses qui ne seront jamais réduites…
Tant que des projets qui ne sont pas « d’utilité publique pour les besoins élémentaires communs à tous » continueront à être financés – notamment par de la dette – il y aura forcément des dépenses qui ne seront jamais réduites…
Tous les gouvernement qui se sont succédés en France depuis 1789, sans exception y compris les plus à gauche ; ont tous conçu et mis en place des budgets plus avantageux pour les uns que pour les autres… Autrement dit pour préserver les avantages d’une minorité possédante, dirigeante, influente… Ou encore pour « la pompe », pour l’apparence, pour le superflu plutôt que pour la nécéssité publique élémentaire…
Certes dans les budgets, il y a ce qui vient des subventions -Européennes notamment- et celles des Conseils Généraux, départementaux, de l’État… Qui sont en fait des recettes « aléatoires » (non « inscrites dans le marbre »)… Mais il n’en demeure pas moins que beaucoup de pays, dont la France, recourent à la dette, laquelle dette ne fait qu’augmenter d’année en année, et avec les intérêts à rembourser…