… Sans intranquilité, il n’y a peut-être pas d’intériorité…
Mais cette intranquilité, au mieux gérée, difficile à vivre en soi – et cependant nécéssaire quoique cela puisse se discuter – rend l’intériorité, aussi paradoxal que cela paraîsse, « confortable » voire « heureuse »…