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  • Sacralisation des vacances scolaires dans les associations

    En règle générale, dans la plupart des associations de personnes (loi 1901) en France (l’on en compte actuellement environ 1,3 million réparties dans les communes de plus de 1000 habitants)… Qui proposent toutes sortes d’activités – sportives, intellectuelles, ateliers divers… Et fonctionnant avec des bénévoles… Il est un fait « assez patent », commun à toutes ces associations : c’est celui, dirais-je, d’une « sacralisation » des vacances scolaires…

    En effet, lors de chaque période dans l’année scolaire, de deux semaines de vacances – d’automne, de Noël, d’hiver, de printemps (sans compter les vacances d’été de près de deux mois)… Bon nombre d’ateliers d’activités sont interrompus, parce que les participants et les organisateurs – souvent âgés de plus de 60 ans – ont des petits enfants en âge scolaire venus chez papy et mamy avec papa et maman qui habitent en région parisienne ou ailleurs, parfois à 1000 km…

    Bon, ça, c’est la réalité la plus « normative » on va dire… (la plus répandue)…

    Mais il y en a une autre, de réalité : tout le monde n’a pas forcément des petits enfants en âge scolaire, certains, d’ailleurs, n’ont pas de petits enfants – ou en ont mais ne les voient jamais ni leurs parents (qui n’habitent pas forcément à 1000 km)…

    Résultat : à quatre reprises durant deux semaines à chaque fois de septembre à juin, et durant deux mois d’été, plus d’activités, plus d’ateliers, et, du coup, un certain nombre de personnes sans petits enfants en âge scolaire doivent attendre la rentrée dans les classes pour profiter des activités de l’association…

    Bien sûr, les associations étant animées par des bénévoles, indéniablement, cela fait du repos pour les animateurs… Mais « il faut dire que les vacances scolaires reviennent souvent » et de surcroît selon les académies et régions de France, ne sont pas aux mêmes dates sauf celles de Noël Nouvel An…

     

     

  • Edouard Leclerc se rendra-t-il au salon de l'agriculture ?

    Ou, s’il ne s’est pas encore présenté, hier 24 février ou aujourd’hui 25 – dimanche – prévoit-il de venir ?

     

    « Tapototerait-il » comme le fit hier jour d’ouverture, Emmanuel Macron, sur la tête de la vache ?

     

    Imaginons à la venue de « Tonton Leclerc » un consommateur « un peu impertinent et iconoclaste sur les bords »… Jeter à la tête d’Edouard Leclerc, une côte de porc à 1euro 91, tenue haut levée par l’os entre pouce et index…

    À ce prix là – en « super promo » - 1,91 euro, la côte de porc en question peut-elle « être au top » en matière de qualité ? Et à combien sur 1,91 revient la part véritable à l’éleveur de porcs d’une exploitation de taille très moyenne en Bretagne, Limousin ou Périgord ?

    Sûrement ou très probablement « 0,00 quelques dizièmes de centime d’euro »… Mais vu le nombre de côtes de porc à 1,91 -en promo- chez Leclerc (550 hypermarchés Leclerc sur le territoire Français) et, en conséquence, le nombre de clients « pas forcément à budget modeste » qui achètent et consomment des côtes de porc (et bien d’autres produits) « à prix bas » ou à « prix promo »… Le bénéfice réalisé – en plus value ou profit réel – est d’autant plus important pour « Tonton Leclerc »…

    Et… La même côte de porc – mais pas du même porc – venue de Roumanie, d’Espagne, du Brésil, du Canada… N’arrive-t-elle pas sur les étals boucherie de Grand Frais ou de LIDL , à … 1,79 euro ?

     

    Cela dit… Mac Donalds qui « achète Français » a opté, afin de draîner un maximum de consommateurs « diversifiés » (donc sans risquer de s’aliéner la clientèle s’abstenant de consommation de viande de porc) pour « pas de cochon – ni de bibine » dans ses établissements partout dans le monde…