… Ou, s’il ne s’est pas encore présenté, hier 24 février ou aujourd’hui 25 – dimanche – prévoit-il de venir ?
« Tapototerait-il » comme le fit hier jour d’ouverture, Emmanuel Macron, sur la tête de la vache ?
Imaginons à la venue de « Tonton Leclerc » un consommateur « un peu impertinent et iconoclaste sur les bords »… Jeter à la tête d’Edouard Leclerc, une côte de porc à 1euro 91, tenue haut levée par l’os entre pouce et index…
À ce prix là – en « super promo » - 1,91 euro, la côte de porc en question peut-elle « être au top » en matière de qualité ? Et à combien sur 1,91 revient la part véritable à l’éleveur de porcs d’une exploitation de taille très moyenne en Bretagne, Limousin ou Périgord ?
Sûrement ou très probablement « 0,00 quelques dizièmes de centime d’euro »… Mais vu le nombre de côtes de porc à 1,91 -en promo- chez Leclerc (550 hypermarchés Leclerc sur le territoire Français) et, en conséquence, le nombre de clients « pas forcément à budget modeste » qui achètent et consomment des côtes de porc (et bien d’autres produits) « à prix bas » ou à « prix promo »… Le bénéfice réalisé – en plus value ou profit réel – est d’autant plus important pour « Tonton Leclerc »…
Et… La même côte de porc – mais pas du même porc – venue de Roumanie, d’Espagne, du Brésil, du Canada… N’arrive-t-elle pas sur les étals boucherie de Grand Frais ou de LIDL , à … 1,79 euro ?
Cela dit… Mac Donalds qui « achète Français » a opté, afin de draîner un maximum de consommateurs « diversifiés » (donc sans risquer de s’aliéner la clientèle s’abstenant de consommation de viande de porc) pour « pas de cochon – ni de bibine » dans ses établissements partout dans le monde…