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Quelle préoccupation de ce que l'on mange dans :

Les cantines des écoles des quartiers « multi-ethniques et défavorisés », les maisons de retraite et EHPAD, les restaurants collectifs de salariés, ouvriers ; les « fast-food » et les restaurants à « petits prix » de menu du jour , les hôpitaux ?

Le « maître mot » en ces lieux de restauration cités ci dessus, n’ est-il pas « rentabilité » ?

En ce qui concerne les cantines des écoles, certaines municipalités ont cependant le souci d’ un approvisionnement local, de bonne qualité, privilégiant des circuits courts dans une gestion et dans une organisation étudiée au mieux… Ce qui n’est absolument pas le cas dans les quartiers « multi-ethniques défavorisés » de zones urbaines et péri-urbaines…

Légumes en boîtes de conserve ou de récupération de non vendus sur des marchés parce qu’altérés en partie et ayant été délaissés par les acheteurs ; viandes provenant d’élevages outre-atlantique (Brésil, USA, Canada ou de pays en voie de développement), viandes de synthèse produites par amalgame de déchets tripiers, de farines et de gélifiants ; produits à base de céréales – maïs blé orge soja – d’importation, tous ces produits traités chimiquement et donc « bourrés de pesticides »…

Dans un EHPAD notamment de Korian, de DomusVi ou d’Orpéa (groupes privés privilégiant les actionnaires ), par exemple une « mémé » de 92 ans nourrie avec du poulet brésilien, pour le temps qu’il lui reste à vivre, ça va pas changer grand-chose !

Et dans une cantine d’école de quartier « multi-ethnique défavorisé », ou dans la « restauration rapide » genre fast-food, le « maître-mot rentabilité » exclue souverainement la lutte contre l’obésité…

 

 

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