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Le monde est plein de ...

... Gens qui veulent recueillir les fruits des arbres qu'ils n'ont jamais plantés 

 

Sauf que…

Un très jeune olivier, de la taille d’un framboisier en 2011, qui avait à trente mètres de lui la même année 2011 son « frère » de la taille d’ un groseiller… En 2024, est toujours de la taille d’un framboisier alors que son « frère » depuis déjà cinq ans et grand comme un abricotier, donne plusieurs kilogs d’ olives…

Le planteur de l’ olivier demeuré treize ans plus tard à la même taille rachitique, s’ est entendu dire par une personne de ses connaissances : « parles lui, à ton olivier, tu verras, il grandira »…

Agée aujourd’hui de 76 ans, cette personne qui en 2011 avait planté le jeune olivier, a refusé un plant de figuier qu’on lui avait offert, parce que selon elle, «  attendre d’avoir 95 ans » pour manger ses propres figues, autant alors acheter des figues au marché »…

Et de surcroît, planter un figuier, un abricotier, un cerisier, un poirier, un mirabellier… À plus de 70 ans… Pour quelle génération future qu’ on n’ a point, ou pour quel fils ou fille établi à Beijing Pékin ou à Melbourne ou au Québec, qui même quand il sera à la retraite, ne viendra en France qu’une fois tous les deux ans durant un mois ? …

« Parler à un arbre » : à la limite ça vaut peut-être mieux que de parler à un mur…

Et, quinze ou vingt ans pour avoir SES cerises, SES olives, SES figues… Ça fait tout de même un peu long…

Quant aux générations futures, petits puis arrières petits enfants … Qui vivront ailleurs, auront vendu la baraque ( par notaires interposés à dix mille kilomètres et fait vider la baraque par une entreprise spécialisée vide-maison )… « Vous m’en direz tant » !



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