… Lorsqu’un intellectuel parle de solitude, il use d’un langage que l’homme (ou la femme) simple, ne comprend pas, tant la formulation pour parler de la solitude est « alambiquée », et la phrase, bien trop longue et parfois, d’une grammaire hasardeuse…
En revanche l’artiste quand il parle de solitude, il s’inspire de cette image, voire même il prend cet arbre en photo et il intitule cette vue « solitude » … Et alors tout le monde comprend…