… Les « amis » - amis entre guillemets – ne voient de nous, que ce que nous paraissons, que ce dont on « s’existe »…
Les amis – sans guillemets – voient de nous « un peu plus que ce que l’on paraît, autrement dit ne voient qu’une partie de ce l’on est réellement – et que l’on ne montre ou n’expose pas toujours – mais peu d’entre eux nous « existent » en ce sens qu’ils ne viennent pas souvent nous chercher – parce qu’ils sont davantage préoccupés de ce qui les anime, de ce qu’ils font et qu’ils montrent ou exposent ; que de ce qui emplit notre vie, dont ils ne sont cependant pas indifférents, tout comme les « amis » - avec guillemets – qui, eux, sont indifférents ou condescendants à notre égard – ou parfois méprisants… Et le plus souvent il faut dire, silencieux de ce silence « qui en dit long »…