compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Le Sacré Cœur

    Sacré Cœur.jpg

    En 1882 sur la butte Montmartre à Paris, avait commencé la construction du Sacré Cœur, que, personnellement (et je ne me cache pas de le dire), je considère comme « l’une des plus exécrables verrues » accrochées au corps de notre pays, la France…

    Cet ignoble lieu de culte, visité depuis la fin du 19ème siècle par des millions de touristes et qui fait l’objet de représentation « emblématique » de la « plus belle ville du monde » sur cartes postales, peut-être un milliard de fois photographié et qui voit arriver en ses alentours tout au long de l’année et surtout en été, chaque jour, je ne sais combien de « cars de vieux », de cars de Japonais ou de Chinois ou d’américains ( et si ça se trouve, des cars de Qataris), et que, autant « messeux » qu’ incroyants ou non pratiquants, viennent admirer… A été édifié « sur le sang des victimes de la Commune de Paris en 1871 » lors de la semaine dite « sanglante » du 21 au 28 mai 1871… Cette Commune que toute la France à l’époque honnissait et prenait pour un ramassis de racailles avinées, que Thiers a massacré, aidé par 130 000 soldats prisonniers des allemands, libérés en l’occurrence et envoyés en renfort aux Versaillais pourfendeurs des communards…

    Le Sacré Cœur, cette « verrue », je n’y suis jamais entré dedans de ma vie ! Et chaque fois que je vois « rue Thiers » et « Place Thiers » dans une ville de notre pays, j’enrage !

    Cela dit, la République (la 2ème) – oui je dis bien la République – en juin 1848, a fait feu à balles réelles sur le peuple qui manifestait sa colère, a tué des femmes et des enfants ! Envoyé ses soldats et sa police contre le peuple !

     

  • Pensée du jour, jeudi 17 octobre 2024

    Les ennemis de l’opinion dominante, pour un certain nombre d’entre eux, sans doute – et à dessein- de plus en plus nombreux, n’ont plus ce statut d’ennemi qui était le leur lorsque la masse leur tombait dessus à bras raccourcis…

    Ils passent désormais sur scène, sont applaudis et ils bénéficient du statut d’amuseur public, de contestataire en vogue et de novateur plébiscité… Et les dominants n’ont pas de meilleurs alliés qu’eux !

    Reste que les ennemis de l’opinion dominante qui ne passent pas sur scène, ne sont jamais plébiscités – et qui deviennent de moins en moins nombreux, isolés qu’ils sont – quant à eux, lorsqu’ils ne reçoivent plus de coups, suscitent de l’indifférence, personne ne vient les chercher…

     

  • Hommage rendu à Samuel Paty

    Il y a de quoi s’interroger au sujet de la réaction à l’ hommage rendu à Samuel Paty assassiné le 16 octobre 2020 par un terroriste islamiste, dans le cas d’ une classe de collège où la quasi totalité des élèves sont des musulmans issus de l’immigration maghrébine dont les parents ne veulent pas entendre parler de laïcité (oui, il y a des classes comme ça en France dans des « banlieues difficiles »)…

    Je doute fort que ces élèves là soient sensibles à l’hommage rendu à Samuel Paty, parce qu’à mon sens – et je ne dois pas être le seul à penser ainsi – ces élèves là – du moins les plus contestataires d’entre eux, de toute leur insolence et leur irrespect pour nos valeurs républicaines » entretiennent une « vision » communautariste exacerbée fanatisée axée sur leur revendication identaire en tant que musulmans… Qui leur est inculquée par leurs parents, leur famille, leur environnement religieux…

    Le message des autorités de la République Française et de l’Enseignement, relayé dans toutes les écoles, les collèges et les lycées ; s’impose donc, avec la commémoration et l’hommage à Samuel Paty… Mais il est certain que dans les classes dont les élèves sont en majorité des musulmans, pour la minute de silence, cela ne va pas être « si évident que ça » … Et je tremble pour l’enseignant motivé et « pétri de valeurs républicaines et de laïcité » mais qui ne va pas arriver à faire vraiment passer le message, et verra se dresser en face de lui, un « agité » contestataire refusant d’observer la minute de silence…

     

    Et que dire d’un jeune non musulman, bien « blanc et baptisé catholique », qui, dans une classe de 3ème dans un collège, conteste l’hommage rendu à Samuel Paty ? Subverti qu’il est, ce jeune, par de l’idéologie d’extrême gauche mâtinée d’un islamisme anti occidentalisme ?

    Quel discours peut tenir un enseignant même formé à ce genre de situation, à un tel jeune ?

     

    « On n’apprivoise pas les hyènes et les chacals » - si ça arrivait ça se saurait…