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Passé 75 ans

Est-ce que, passé 75 ans, c’est être très limité et « défaitiste » et donc regrettable, est-ce que c’est une « vision rétrécie » à plus de 75 ans, question projets et activités dans un avenir proche ou peu lointain (2 ou 3 ans par exemple) de ne plus rêver de se rendre en Terre de Feu, en Nouvelle Zélande « par ses propres moyens » - et donc pas en « Touropérator » séjour trajet tout compris, c’est- à dire selon ce qui a pu être envisagé « quelques années plus tôt quand on avait seulement 65 ans », avec un billet d’avion Aller Retour en « vol sec », location d’un camping-car à l’aéroport d’Auckland en Nouvelle Zélande ou à Ushuaïa en Argentine, et de crapuhuter par étapes durant un mois… Ce qui « eût coûté » (ou coûterait) bien plus que le prix de 2 vélos électriques de « moyenne gamme » - un pour monsieur, un pour madame…

C’est que, passé 75 ans, le vélo électrique – autant que possible « pas trop bas de gamme », c’est disons « une option » peut-être plus « facilement envisageable » que de « se prendre la tête pendant 6 mois pour organiser un voyage par ses propres moyens en Terre de Feu ou en Nouvelle Zélande !

 

D’une manière générale, passé 75 ans, est-ce que c’est « très limité » ou « très restrictif » de ne plus avoir en perspective de projets difficiles à réaliser qui nécessitent de devoir « se prendre beaucoup la tête » pour finaliser ces projets nécéssitant une somme d’énergie, de détermination, de volonté, d’effort ? Et qui exigent de devoir souvent se déplacer loin, de se soummetre à des procédures complexes et contraignantes (souvent d’ailleurs absurdes) dans un monde hyper numérisé formaté réglementé internétisé d’une complexité sans cesse accrue ?

C’est que de nos jours (et de plus en plus d’une année à l’autre), rouler, stationner en bagnole en grande ville , prendre le train ou l’avion sur un long trajet avec des passages de frontières, réserver pour ceci pour cela, ça devient très « galère » ( de quoi s’énerver, partir en courant, abandonner, ou se révolter )… Et en plus quand il faut se heurter et subir l’agressivité, le mépris, la condescendance de gens peu disposés à te venir en aide… ça rend la galère encore plus insupportable (et l’on ne rêve plus alors que de l’éviter cette galère qui te pourrit la vie et ne t’apporte rien, rien de rien en ce sens que ça te grandit pas, ça te rend pas plus fort ! Au contraire ça te casse !)

 

Résultat : le jour (chaque jour qui passe) où il n’y a pas un train, un avion à prendre, à aller dans une grande ville en bagnole, à se prendre la tête pour une réservation, pour suivre une procédure complexe, pour « batailler »… Juste à prendre son vélo pour une virée de 40 bornes dans la nature, ou lire un bon bouquin, ne pas être emmerdé par quoi que ce soit qui te pourrit la vie, c’est un jour heureux !

 

Conclusion qui s’impose : ce monde numérisé, hyper règlementé, de procédures complexes, de contraintes, d’obligations, où il faut savoir faire, maîtriser, réagir très vite… N’est pas fait pour les « vieux »… Ni d’ailleurs pour les malhabiles de 25, 30, 40 ans…

D’autant plus que les « ceu’s zé celles qui savent faire », te « snobent », te méprisent, te prennent pour un demeuré (et te le font savoir à leur manière et dans une agressivité manifeste ! Et t’éliminent de leurs relations )!

Et c’est pour ça que, quand leur toiture s’envole ou que leur bagnole est écrabouillée sous un arbre qui tombe, dans une tempête, je ne les plains pas ces enfoirés !

 

 

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