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  • La réflexion du jour, samedi 14 décembre

    Sept millions de personnes en France ne mangent pas à leur faim… Soit !

    Mais il y en a sûrement plus de sept millions, qui « ont les moyens » de se nourrir « au mieux » (« bio » ou du terroir local)… Mais qui, « par économie » et – il faut le dire - « parce qu’ils préférent dépenser pour une croisière, pour un abonnement à NETFIX, pour des fringues à la mode, pour une Télé écran plasma de 2 mètres en diagonale »… Achètent tout ce qu’ils bouffent en promo, au prix le plus bas, du poulet brésilien, de la vache américaine, de « la merde », du « bourré de composants et additifs chimiques et hormones » !

    Bravo les agriculteurs en colère – et quelques consommateurs les soutenant – qui investissent des supermarchés et sortent dans des caddies tout ce qui, dans ces supermarchés, vient de pays du Mercosur ! Et détruisent ensuite ces produits scélérats sur les parkings en y foutant le feu ou les aspergeant d’eau de javel !

    Ainsi, si oui, il y a quelques pauvres que l’on prive de produits alimentaires, par un tel comportement contestataire ; il n’en demeure pas moins qu’on s’attaque, de cette manière là, à ces gens qui « ont les moyens mais bouffent volontairement de la merde » ! Ceux là sont les « vrais coupables » !

    Cela dit, les agriculteurs en colère, ils devraient aussi cesser de se fournir en soja brésilien pour nourrir leurs vaches !

     

     

  • Appels indésirables

    Normalement sur un smartphone, tous les numéros en 06 et 07 de ses connaissances, amis et proches, figurent dans la liste des contacts enregistrés et mise à jour à chaque introduction d’un nouveau correspondant…

    De telle sorte qu’à chaque appel entrant, avec le numéro de l’appelant, apparaît le nom de l’appelant.

    Si ce n’est pas le cas, avec le numéro de l’appelant, apparaît cette information « non enregistré » ce qui indique un appelant inconnu et inidentifié…

     

    Avec toutes ces pubs, sollicitations, appels, de démarcheurs, d’inconnus, de personnes que peut-être on connaît mais que l’on n’a pas enregistré dans la liste de contacts, certains d’entre nous -dont je fais partie- sont, lorsque retentit l’appel, « durs à la détente » et, le plus souvent ne répondent pas, ayant lu « non enregistré »…

     

    Bon sang, pourquoi l’appelant non identifié, ne figurant pas dans les contacts, ne prend-il pas la peine en cas de non réponse, de rédiger un court message ne serait-ce que de quelques mots, afin de s’identifier et de préciser la raison de son appel ?

    Il faut à peine 30 secondes, au plus 1 minute, pour laisser un bref message… Est-ce « si contraignant que ça » ? Dans un quotidien où il ne faut pas perdre le moindre moment, où tout le monde est pressé, impatient, exigeant… Ces personnes qui appellent depuis leur téléphone portable vers un autre téléphone portable, duquel peut être rédigé un court message, et ne figurant pas en « contacts »… Me gonflent ! (un bras d’honneur à leur intention!)…

    Et après, ils s’étonnent que l’on ne réponde pas ! Merde ! Qu’ils s’identifient bon sang !

    Ah, oui, c’est vrai : il y a la possibilité de laisser un message oral (donc, à écouter)… Mais un message à écouter, souvent il est inaudible ! Même en « boostant » le haut parleur du smartphone au maximum !

    « Du coup » je me dis « est-ce que des smartphones à 1300 euros, au lieu de entre 150 et 200, permettent de mieux entendre et comprendre un message audio laissé par un correspondant ? »…

     

    Il peut cependant arriver que, n’ayant pas son smartphone à portée de main, ou s’il est en mode vibreur ou muet (cinéma par exemple), l’on rate l’appel entrant d’une personne figurant dans la liste de contacts. Mais dans ce cas, dans le courant de la journée, en consultant les appels reçus, on voit qui a appelé…

     

     

  • Ni pour ni contre ni neutre

    Être pour, être contre, être partisan, être opposant, adhérer, se démarquer… Ou être neutre…

    C’est – dans un sens ou dans un autre, en quelque nuance que ce soit – et avec tous les arguments possibles et imaginables aussi bien fondés soient-ils - « être dans l’Ordre du Monde »…

    La neutralité pouvant être une « position » - personnelle- ou un « choix » n’est pas – et ne sera jamais – de « l’indépendance et de la liberté d’esprit »… La neutralité entre elle aussi, tout comme l’adhésion à une idée, à un parti, à une opinion, et, tout comme au contraire, l’opposition et le fait d’être contre… Dans l’« Ordre du Monde »…

    Dans la pensée ordinaire et courante des gens, la neutralité est confondue avec l’indépendance d’esprit… Alors qu’à bien réfléchir la neutralité se rapproche de la démission, de l’acceptation tacite ou non avouée, d’une forme de lâcheté…

     

    Être ni pour ni contre ni neutre, implique un « mode de pensée » un « état d’esprit », des comportements et des choix en face de ceci ou de cela, un « rapport de relation à l’autre » qui n’est pas commun et qui en général suscite de l’indifférence, au mieux de l’interrogation ou interpelle…

     

    Être ni pour ni contre ni neutre, implique un travail de réflexion, d’analyse des situations, une tension toute sa vie durant vers la clairvoyance, et cela même avec des yeux en partie aveugles…

     

    Cependant, être contre ce qui détruit, contre ce qui fige, contre ce qui empêche d’avancer, contre ce qui nuit, contre ce qui déshumanise, contre ce qui sépare, contre ce qui exclut parce qu’étant inacceptable… Cela c’est « dans l’ordre naturel des choses »…

     

     

    L’aune ou l’étalon en quelque sorte, tout comme le mètre ou le kilogramme, c’est cette faculté que l’on peut avoir en soi à être ni pour ni contre ni neutre dans le plus grand nombre possible de situations les plus sensibles…