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  • C'est quoi le succès ?

    Le succès, c’est, à deux ans comme à quatre-vingts ans, de ne pas faire dans sa culotte…

    Et le succès, pour les « sans dents » ou pour les personnes dont le coefficient masticatoire est inférieur à 30 %, c’est, au restaurant, lors d’un repas familial, de pouvoir « pédaler » (« denticoter » on va dire) au même rythme que les amis ou proches âgés de 30/40 ans qui eux, ont un coefficient masticatoire supérieur à 50 %… En optant au menu du restaurant, pour des mets ne nécéssitant aucun effort masticatoire – ou en avalant sans les mâcher les morceaux d’entrecôte bordelaise, au risque de s’étrangler et de s’étouffer si « ça passe par le mauvais trou » - bonjour alors les obsèques à échéance accélérée (rire)…

    Lors du repas familial, si c’est de l’entrecôte à l’os – épaisse de 5 centimètres – c’est « dur/dur » pour le déficient de la mastication ! À moins que par déférence, les autres – aux « belles dents » ne s’impatientent pas en attendant le « retardataire » !

    Il faut être réaliste : on vit dans un monde « assez cruel » et donc, difficile pour les déficients en quoi que ce soit !

    Que de « perfide et hypocrite compassion » dans la bonté « de bon aloi » manifestée consensuellement !

    De « bons, forts et gros pavés jetés dans la mare de cette bonté de façade !

     

     

  • Les deux risques les plus élevés, d'accident de la circulation

    De plus en plus de personnes très âgées vacant « tout à fait ou à peu près normalement à leurs occupations au quotidien » et « se faisant suivre régulièrement en cardiologie » conduisent des voitures et effectuent parfois, encore, âgées d’environ 90 ans, de longs déplacements – de l’ordre de plusieurs centaines de kilomètres- en des périodes de l’année de grande circulation…

     

    En effet si « tout va à peu près bien » - la vue, l’ouie, les réflexes, la résistance, la maîtrise (si c’est le cas) de la conduite automobile en milieu urbain et péri urbain ; le « grand âge » venant, il n’y a aucune raison d’envisager pour ces personnes de cesser d’utiliser une voiture – dont elles se servent d’ailleurs tous les jours, pour leurs déplacements locaux, régionaux, et cela depuis de nombreuses années…

     

    Cependant il existe un risque d’accident, imprévisible et qui, survenant lors d’un flux de circulation sur un axe principal, une autoroute, peut avoir de dramatiques conséquences…

    Considérons par exemple le cas d’un homme de 88 ans « en relative bonne santé » et « jouissant de toutes ses capacités » (vue, ouie, réflexes, résistance) et « se faisant suivre régulièrement en cardiologie »… Au volant de son SUV sur une route à trois voies, un jour de grande circulation… Cet homme n’ayant jamais été impliqué dans un accident… Un « bon conducteur » en somme…

    Il fait un infarctus « fatal » c’est à dire que survient brutalement une thrombose coronaire de l’aorte droite ou de l’une ou l’autre des deux branches de cette aorte… Ou bien encore, survient brutalement lors d’une dysfonction aggravée du ventricule gauche, une sévère arythmie lui faisant perdre connaissance (la fraction d’éjection alors tombant très en dessous de 35%) donc plus de circulation sanguine…

    Lors d’un tel événément, le véhicule n’étant plus maîtrisé, se déporte vers la voie centrale ou la voie de gauche et heurte à près de 90 km/h, le véhicule arrivant en face…

    Le risque il faut dire, existe aussi pour des personnes moins âgées, de 50, 60 ans, voire même de 40…

     

    Et à ce risque – non négligeable – s’en ajoute un autre : celui qui est lié à la prise de stupéfiants (cocaïne et drogues dures)… Quand on sait en effet qu’un Français sur trois en moyenne actuellement, consomme de la drogue (souvent de la cocaïne) « il y a de quoi s’inquiéter ! »… Question risque d’accident de la circulation dont on peut être victime…

     

    Les deux risques les plus élevés d’accident de la circulation sont donc : une déficience cardiaque grave, et la consommation de drogue, entraînant brutalement une non maîtrise de la trajectoire du véhicule…