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  • Aux syndicats qui appellent à manifester pour les retraites

    Depuis plusieurs années, en des rassemblements dans les villes de France, des sections syndicales CGT, CFDT, FO… Convient les actifs mais aussi les retraités, à manifester leur opposition aux mesures prises pour régler le problème des retraites, notamment sur la question de l’âge de départ à la retraite…

    Est-ce que cela « vaut le coup » quand on a 65, 75 ans, ou quand on est encore actif à 50, 55 ans… De « se battre » pour un Kévin âgé de 15 ans, pour une Audrey âgée de 12 ans, tous deux collégiens -quatre heures de Tik-Tok par jour – et qui n’entreront pas dans la vie active avant 2035 ?

    Et à la vue de ces bébés nés en 2025, qui auront 25 ans en 2050 ?

    Que l’on se batte quand on a 65 ou 75 ans, en descendant dans la rue pour manifester, pensant à son fils ou à sa fille âgé(e) en 2025, de 40 ou 45 ans… Cela se conçoit…

    Mais pour ses petits – enfants ?

    Déjà, il faut dire… Des jeunes de 30 ans nouvellement propriétaires d’une « baraque de pavillonneur » en lotissement en zone rurale urbanisée, de 150 000 euro ; deux bagnoles en leasing, Koh Lanta à la télé et samedi les courses à Grand Frais… Très loin qu’ils sont de l’âge de la retraite, ne se préoccupent pas du tout dans leur vie quotidienne, du fait de leurs aspirations à aménager leur baraque, à prendre des vacances sur la côte Landaise en été (Toro piscine avec les 2 ou 3 mômes)… Des jours de leur vie où ils auront atteint 65 ans…

    On entend ça «  on va leur laisser une planète pourrie » ! À ce Kévin de 15 ans, à cette Audrey de 12 ans…

    Soit…

    Mais… Ne s’y vautrent-ils pas déjà, ces jeunes de 15 ans, pour une majorité d’entre eux, écouteurs aux oreilles et langage codé-simplifié et story’s sur Tik Tok, dans les jeux sur internet, dans les fêtes déjantées, dans les dopes, dans les fringues de marque, dans les tatoos et les piercings, et dans tout ce que vend aux jeunes – jusqu’aux très petits enfants- la société lobby-isée de consommation de masse ?





  • Le risque

    Dieu dans son immense sagesse et dans son amour pour ses enfants les hommes et les femmes qu’il a créés à son image, a donné à ses enfants le libre arbitre…

    En effet quelle preuve d’amour aussi immense, que celle, pour un père, de laisser libre de ses choix, son enfant, au risque de le voir, son enfant, suivre la voie de la violence et du mal ?

    Le libre arbitre c’est cette mariée, dans le Vaucluse, tuée en plein repas de noces…

    Le libre arbitre c’est tout le mal que fait l’Homme à l’Homme, c’est Khomenei qui veut rayer Israël de la carte, c’est Vladimir Poutine qui bombarde les villes Ukrainiennes…

    Si dans le « Grand conseil des Cieux » à l’origine, Dieu avait écouté Lucifer l’Ange de Lumière, et donc approuvé le plan de Lucifer, de ne pas donner à l’Homme le libre arbitre, est-ce que cela aurait été préférable ?

    C’est bien là la question : le risque éliminé, oui… Ou le risque assumé ?

    Le risque éliminé c’est la haine qui n’existe plus mais c’est aussi l’amour qui n’existe plus… C’est de l’existence sans existence, des crayons qui écrivent décoloré, des Hommes minéraux.

    Le risque assumé c’est la haine qui pue, c’est l’amour qui se délite en ennemour (l’ennemour étant du faux amour qui singe le vrai amour) ; c’est le Bien qui peut exister, qui existe de ci de là effectivement, mais qui n’est jamais garanti « ad vitam aeternam »…