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  • Le réel, l'imaginaire

    La poésie du réel d’une part, et la poésie de l’imaginaire d’autre part… Sont-elles conciliables, compatibles ?

    Dans une œuvre littéraire diversifiée peuvent-elles coexister, être celles d’un même auteur ?

    Oui si l’imaginaire – qui n’est pas le réel – demeure crédible…

    Toutefois il n’y a pas de poésie de l’effet produit, parce que de toute une évidence qui n’est pas perçue comme telle, l’effet produit est soutenu, obtenu par la technologie – du numérique, de l’intelligence artificielle et de leurs outils mis à la disposition de chacun connecté à internet… Ou bien est le résultat de l’impact que peut avoir une « formulation de langage »

    Quelle poésie dans la production d’une image, d’une photo, d’une vidéo, fabriquée par « Photo-shop » ou autre application logicielle de traitement de l’image ?

    Quelle poésie dans une « formulation de langage » qui rejoint, quelle que soit son « originalité » un courant d’opinion générale ?

    L’écrit, l’image, aujourd’hui, ne sont plus reconnus pour leur authenticité, pour ce qu’ils ont de naturel, d’exempt de tout artifice, de tout effet du paraître (de l’imposture du paraître)…

    Dans leur inachèvement, dans leurs imperfections, dans leur forme qui n’est pas définitive, dans ce qu’il peut y avoir de malhabile dans les contours, dans les tracés… Mais avec leur devenir en formation, en évolution, et qui est perceptible ; l’écrit et l’image – qui ne font pas ou plus recette du fait de leur inachèvement et de leurs imperfections l’écrit et l’image du réel ou de l’imaginaire (de l’imaginaire « crédible ») sont oui, « œuvre poétique » (non contrefaite)…

     

  • Salon de l'Habitat et du Bois 2025 à Epinal

    Le salon de l’Habitat et du Bois se tient du 18 au 22 septembre 2025 au parc des expositions d’Epinal…

    En ce dimanche gris et pluvieux du 21 septembre il est à parier que le nombre de visiteurs sera plus important que par beau temps ensoleillé vendredi 19 (où il y avait ce jour là beaucoup de monde sur la route des Crêtes du côté du Honeck)…

     

    À mon sens, les personnes les plus intéréssées et les plus motivées pour un salon de l’Habitat sont – en priorité- les trente et quarantenaires avec enfants ayant soit un projet immobilier, soit désirant aménager l’intérieur de leur maison… Mais également les « 70/80 ans » qui ont de grands petits enfants en passe d’acquérir une maison ou envisageant de rénover, d’entretenir, d’équiper leur habitation…

     

    Mais quel intérêt pour des personnes d’autour de 80 ans qui n’ont pas un petit-fils ou une petite fille – marié(e) et avec enfants, et de surcroît peu soucieux de la valorisation de leur patrimoine immobilier ?

    Quel intérêt – de la valorisation et de l’entretien d’un patrimoine immobilier – pour ces mêmes personnes d’autour de 80 ans qui sont en désaccord avec leurs enfants ou dont les enfants ne voient plus leurs parents ?

    Qu’est-ce d’ailleurs (que vaut) la « valorisation d’un patrimoine immobilier » lorsque la descendance directe est absente, et que le fils ou la fille n’a pas de descendance ?

     

    « En principe » les « grands enfants » - âgés de 50/60 ans – eux, ont, beaucoup d’entre eux, leur maison arrangée, valorisée, entretenue, bien équipée…

     

    La « grande idée » dans les salons de l’Habitat des années présentes, c’est l’adaptation des matériaux (nouveaux) et des projets et techniques de construction au changement climatique.

    Très bien.

    Mais que dire des zones habitées et densément peuplées avec moult lotissements de maisons individuelles, inondables et encore plus qu’elles ne le sont, inondables en plus grande étendue et plus souvent ? Et des incendies, et des intempéries et des affaissements de terrain dévastateurs ?

    Et « au pire du pire » si l’on verse dans la peur d’une guerre avec la Russie, un drone de Poutine qui pulvérise la maison ?

     

    Vous me direz – et vous aurez raison - « dans ce cas on fait plus rien , on fait des habitations en algéco, on laisse passer les doigts de la main dans les fissures, on fait pas un beau jardin d’agrément, on ne met pas une belle niche pour le toutou, on se meuble chez Ikéa de tic et de toc… Et on se rend au salon de l’habitat comme on se rend au ciné ou à la plage ou dans une fête d’été – ou au mieux en tant qu’observateur curieux et désirant s’informer de l’évolution des technologies liées à l’habitat, aux matériaux de construction et aux équipements, ameublements…

     

    35 000 visiteurs tout de même pour ce salon de l’Habitat et du Bois 2025 à Epinal…