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Bateau pirate

  • Ça vœu Ryad dit maison sans fous

    Harcel’ mini-artorix bachibou zouqu’en foutre imperméabilis talbot monkiki laminabourrique balance-moissac danlé zortie’s là où verre cingé tabulle empeste lanchoi équipementerre dans la vapeure babeurre çavon riendoure à kar’four-les-égoûts des rats s’emboitent désembrochés du mine-arrêt tordu yavhé la buse Oulmane péroreuse de cons fêtés quat’ mois après la pente à crotte hérissée de raves à tatars bouceculés d’emmermelades poilues vérolées qu’ailes asseticotent sous la ver’min hélas piss’ de crabe deuballe danledada au beau milieu des falles balades et des zourses en pelle huche quand des vaux et tous les maux de la candureyaton obscurcissoussent la mélasse ponctuée d’armaguedons en couches- bonnets pèredû les coccyx carrés et les pierres-à-cingue métastasés ganglionnant autour des veaux et des tours en Arts philandreux ça s’arrêto-articulera jamais hanulatory-vécé-cireur

     

     

  • De l'autre côté du monde

    Les événements brutaux les plus actuaux

    Qui font crier haut et fort haro sur le baudet

    Ce baudet sur lequel on nous fait monter

    Et cheminer tout au long de prés aux fleurs de cire

    Et aux herbes de synthèse

    Ne font le monde que d'un seul côté

    Et de ce côté là c'est vrai le baudet est si commun

    Que dans les écuries

    Les écuries royales et de cour

    Les écuries de cirque à trois ou six mâts

    Les écuries de manèges boueux ou sablonneux

    L'on n'y voit pas d'autres montures

    Que ce baudet

    Dans toutes ces écuries d'incurie

    Les événements qui pètent sont actuaux

    Il leur faut des tambours dont on nous fait entendre le tam tam

    Dans les brousses et dans les cités

    Pour pas qu'on écoute les cymbales et les guitares des musiciens poètes

    Les paroles les cris du cœur des témoins de leur temps

    Pour pas qu’on raconte les générosités les accueils chaleureux le verre pris ensemble au café du coin

    Tout cela venu de l'autre côté du monde

    Mais en avant la mise en scène des foules et de leurs pétarades qui battent coeur de pieuvre

    En avant la rappe qui vitriole qui incendie qui injurie qui antisémite qui antiblancque

    En avant les enchanteurs patentés autorisés appelés sur les plateaux-télé

    Actuaux chaque jour les beaux derrières des enchanteurs à plumes haut hissés

    Paraphrasant sur les podiums et pondant des bouquins

    Actuaux les derrières à plumes des sorciers que sont les marchands opulents

    Et en files folohouérantes les légions de chalands suçeurs gouailleurs glouglouteurs

    C'est de l'autre côté qu'il faut tous aller chalander

    Là où l'on retrouve le goût du pain

    Là où les regards se touchent et où on se sent

    Un peu moins seul dans sa peau

     

     

  • C'est l'Avîn't !

    C’est l’ Avîn’t…

    Vingt-quatre jours de grande consommation de masse…

    Noëlleries…

    Un monde fou dans les galeries marchandes…

    Au Leclerc Géant Multimédia Livres Jeux CD Musique Films Video Patétèque Créativité, le bouquin de Jordan Bardella « Ce que veulent les Français » bien en vue on peut pas le manquer…

    Et d’autres bouquins qui viennent de sortir – à la pelle – dont certains, achetés 25 euros qui finiront en vide grenier ou dans des boîtes à livres… Dont celui ci qui parle de l’hexane ce poison à base de pétrole que l’industrie alimentaire utilise pour extraire des huiles végétales et que l’on retrouve partout infiltré dans les huiles les produits laitiers les plats cuisinés sans aucune mention de la présence de cet hexane sur les étiquettes des produits qu’on achète et qu’on bouffe…

    À perte de vue l’espace des noëlleries – des gadgets et bimbelocheries noëlliques- au Leclerc Géant, des pèrnohaux touréfféilisés un mètre de haut bougie sur le crâne, et inutileries toutes plus ahurissantes les unes que les autres…

    C’est l’Avîn’t …

    Au moins le sapin, lui, même en plastok, et avec de jolies guirlandes électriques qui clignotototent il fait symbole et il a un lien avec la relarion familiale et donc c’est plus tout à fait de la pure consommation de masse gadgétique dans l’inutilité absolue comme dans tant de bimbelocheries à mille lieues de tout utilitaire courant…

    C’est l’Avîn’t… Et le temps des crèches qui ne sont pas que dans les églises mais aussi dans les mairies et sur les marchés de l’Avîn’t…

    C’est pas le temps de la Buse Uhlémane mais va-t’en savoir…

    D’ailleurs M’hâh’mèd il couscousse en famille à deux pas du Sapin multi boulibougi-isé…

    À l’Intermarché en sortant, un samedi des restos du cœur, tu files avec 1kg de lentilles et un grand nesquik et trois paquets de biscuits, une boîte de thon Alabacore… un magnum de pinard et la gentille dame bénévole de la collecte te dit « on a pas le droit d’accepter des boissons alcoolisées »… Comme si quand on est trop pauvre on pouvait pas avoir un verre de pinard… Soit dit en passant, le clodo du coin à l’entrée d’intermarché, si avec mes 2 balles d’euro – et même jusqu’à un billet de 10- il se paie un magnum de Blanc et s’il s’achète un paquet de clopes ça me gêne aucunement ! Il a le droit ! Au cul les leçons de morale !

    C’est l’Avîn’t que diable !

    Mais merci à la France qui va bien et par extension au monde qui va bien, qui vit, parle et écrit pas pareil, et qui se laisse pas bouffer par les télés et qui septicise à la vue du bouquin de Jordan Bardella ou de Raphaël Glucksman bien en évidence dans les Multimédias géants de France et de Navarre ; France qui va bien, de personnes ouvertes d’esprit, accueillantes et généreuses…

     

     

  • New Errance Littératoque

    Autour du grand méchoui s’articulent des ailes effilées et de la glu à la menthe empapaoute des serins congestionnés qu’Ali de surcroît gâte de croquettes canaillou broyées alors même que des mots d’on ne sait où venus, amènent, en appels qu’ils sont ces mots scandés, la buse Uhlémane tenant entre ses pattes griffues le joystick du gosse joufflu de Tarik le raccomodeur de vieilles dames évadées de laids pandétariums mais infoutues de s’entendre entre elles sur la manière de se choufleurder en bleu ou en vert – bleu ou vert fluo ; et accroché au joystick un lombric en polystyrène expansé

    Cocotte de porque, seau six et gens bons au regard dénoiré , vocifère Kader slalomant sur son vélo moteur entre les groupes d’ amis assis parterre couscoussant autour du méchoui cuit avec la tripe…

    Des sourr’ues à museaux carrés mordillent les cubes de vache-qui-rit qu’avaient été prévus pour le Grantapérogéant qui se tiendra peut-être pas, le chat Pito ayant été déprogrammé ; à défaut de vache-qui-rit les sourr’ues rongeront sans doute les ongles chic de jeunes demoiselles ou les talons carrés mi-haut de Suzan et d’Agathou les administratrices modératrices rassies du Forum Bleu Gazette où l’on se mamourise patate-saladise mais où l’on maudit Pètedevanlefrigokibaye pour ses élucubres iconoclastosalaces…

    Hardi le motocycliste funambule sur son câble d’acier au dessus de quatorze bûchers où achèvent de se consumer onze pédophiles et trois popes orthodoxes pro Poutine !

    Il sait Dieu qu’il a créé le monde mais le singe lui, il a crée le songe à défaut de créer le rêve… Et le rêve c’est Allons à la selle plein de musc autour du trou de bale qui l’a créé !

    Et Hememene l’ennemi intime modérateur coud’batonique de Pètedevanlefrigokibaye, sort son flingue à punaises, sa trompette de Jericho et son tahouel trucideur de moines haut juchés au dessus du p’tit orgue cristallin et, avant de percuter, de toute sa hargne contestataire, la prose encanaillée, biscornue, olfactive et loufolotante de Pètedevanlefrigokibaye arc-bouté en face de ses minous errants alléchés de croquettes canaillou ensaucées de foutre de cloportes ; canarde, flingue pointé, Pètedevanlefrigokibaye, d’une nuée de punaises vertes en mal de baise récemment cueillies entre les plis de longs et hauts rideaux…

     

     

  • Le monde tel qu'il va aller ...

    ... En faisant croire qu'il va en dépit de son inerrance orchestrée par les Maestrios 

     

    L’ Avîn’t, nahouel, Jour de l’An qui inspire les insolents, crèches dans les mairies, couscous de l’amitié avec nos amis musulmans, Poutine à cheval patinant sur ses sabots ferrés sur un lac gelé, Elon Musk niant les fours crématoires d’Auschwizt et de Ravensbruck, pèrnohaux de GIFI et bouboules chinetoques, slips et lotos bingo, grand’messes de cons s’il y a bulles mais y’a jamais bulles des G7 G20 à Acapulco ou à Copa Cabana, ventrèche moutardée aux épices et poulet portugais de stand-restos de festivaux non débudgétés because économie locale de marché, ballet des algorithmes sur les pages des résalsociolots, Koh Lanta qui se rencorse et barde les poitrails de ferrures hérissonnées, diminue et étroitise les planches formant chemins au dessus de marais bouillonnant cent degrés celsius, éléphants et hippopotames nains se balançant sur des toiles d’araignées géantes carnivores, Harry Potter et sa lunette visant le trou de bale de la sorcière, hardi vélo à sale tête qui nique d’un regard assassin le gros toutou Je monte la garde autour du pavillon du trader reconverti en éleveur de canaris, Mac Do et ses triple-burgers pour fours-buccaux de crapaud buffle, passeport Cuhercodé reconnaissance faciale digicode mot de passe renforcé 2 caractères spéciaux 1 icône animée 1 mini logo 2 lettres grec ancien 1 caractère Thaï, chou bleu pommelé et haricots nains bi ventriculaires avec de l’osso bucco aux litchis de Madagascar, pété dans le seau à champagne et roté arc-bouté dans le bidet, fermé le robinet d’amour mais pas d’ennemour, 2 balles d’euro dans la fente du Dada mais le pt’it gosse fait branler le Dada sans pièce, et enfin des suppositoires pour musaraignes de compagnie !