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Journal - Page 38

  • Trump et Poutine en Alaska

    Comme le dit dans son post sur Facebook, récemment, Alan Spade à propos de la rencontre en Alaska entre Donald Trump et Vladimir Poutine :

     

    « Les larrons se sont entendus, la foire peut continuer »…

     

    C’est bien cela effectivement : cette « entrevue » de « parlottes aussi vaines que puantes d’hypocrisie crasse » entre « deux Grands de ce monde » (deux « gros crétins ») dont l’un est un assassin et un criminel de guerre, fait suite à toutes les autres « parlottes » toutes censées « déboucher sur un cesser le feu sinon une paix durable »…

     

    En attendant – et l’attente s’éternise – les bombardements par drones sur les villes Ukrainiennes continuent, et sur les zones de combat, les morts se comptent par centaines de milliers – dont plus d’un million – du côté Russe… Et du côté Ukrainien la résistance ne faiblit pas puisque l’armée russe en dépit d’avancées – aléatoires- de quelques kilomètres de ci de là au-delà de la ligne de front, ne parvient pas à se rendre maîtresse des territoires qu’elle arrive à occuper…

     

    Trois ans et demi de guerre – principalement de tranchées comme lors de la 1ère guerre mondiale à Verdun et dans la Somme en France : un bilan désastreux, encore plus lourd en pertes humaines que celui de la 1ère guerre mondiale… Une économie en berne pour la Russie, uniquement centrée sur la production d’armements, un peuple Ukrainien martyrisé et toujours combattant au prix d’énormes pertes humaines…

     

    La question – pour Poutine et son armée et son Pouvoir dictatorial anti démocratique – des territoires occupés depuis 3 ans (notamment le Donbass) n’est pas négociable car nul ne peut imaginer que l’Ukraine accepterait de céder une partie de son territoire… Et d’autre part, si la Russie parvenait par la force et en dépit du Droit International, à s’imposer dans les territoires envahis et que le « concert des Nations » validerait par démission l’occupation russe d’une partie de l’Ukraine, nous aurions là un précédent qui justifierait par la suite la Loi du plus fort ( de l’attaquant, de l’envahisseur, du conquérant) et l’invalidation donc, du Droit International… L’on imagine les conséquences en matière de violence et d’agression, pour l’ensemble du monde de demain…

     

    L’Ukraine n’a pas d’autre choix que celui de se défendre jusqu’à ce que se retire entièrement l’armée russe et que la Russie toute entière finisse par devenir exsangue, économiquement, et par perdre une partie de sa population (de ses forces vives)…

     

    Comment cela se fait-il, qu’en France – dans les régions du Sud Est côte Provençale ainsi que du Sud Ouest côte Basque – il y ait autant de « belles demeures et propriétés » d’oligarques russes voire de russes aisés, et que les biens et les personnes – russes – ne soient pas mis à mal ? Saccagées, attaquées par des commandos résolus et organisés ? Et que dire des touristes russes s’il y en a cet été 2025 en France, dans nos hôtels de luxe et dans nos résidences haut de gamme ?

    « On me dira » : « c’est bon pour l’économie de notre pays, le tourisme qui rapporte, avec les dépenses par carte Gold »… Pourriture ! Hypocrisie ! À vomir d’horreur ! On accueille des Qataris, des Saoudiens avec leurs femmes en niqab… Et tout un tas de salauds « riches à crever » et les mains pleines de la sueur de milliers de miséreux voire de sang !

     

    Oui, c’est bien cela : « les larrons s’entendent et la foire continue » … Sauf que… Les larrons sont des criminels et que la foire est un bain de sang ! Et que, pendant que se vautrent les larrons dans la luxure et que le sang coule dans les foires ; eh bien, dans les fêtes, dans les manifestations sportives, dans les « festiveaux », sur les plages, dans les casinos, dans les bars, dans les restaurants, dans les galeries marchandes, partout où le tourisme de masse s’invite dans les lieux où il faut être et se montrer, se dandiner du derrière, guincher, draguer, se shooter au canabis ou à la cocaïne, se morfaler, s’ennivrer… Là on est des millions et des millions – Occidentaux ou Occidentalisés  (Occidantalisés je vous explique pas la nuance entre Occidentaux et Occidentalisés)…

     

    Tout ce qui sent l’Islam et l’anti démocratisme et qui se prétend ennemi de l’Occident, en effet, se vautre dans ce que l’Occident produit de consumériste et dont ils profitent, les islamisants, les anti blancs et les anti européens !

     

     

     

  • Le passé contient des présents qui sont chacun une "petite éternité provisoire"

    Depuis un peu plus de quatre ans, tu n’est plus dans ma vie – je précise : « dans mes relations suivies » …

    Tu as été dans ma vie - « dans mes relations- durant une vingtaine d’années…

    Et se sont envolées dans la rupture, il y a un peu plus de quatre ans, toutes tes connaissances qui étaient comme toi, les lectrices et les lecteurs de mes écrits…

    Un « trou » donc, une absence, un vide… Dans ce « désert » du monde d’aujourd’hui néanmoins parsemé de quelques « oasis de visages et de présences » sans lesquels je ne suis rien, puisque, ne croyant pas en Dieu, ce sont les Autres – enfin « certains de ces Autres » - qui, en tant qu’interlocuteurs – privilégiés quelques uns- ou simples visiteurs non réactifs, sont pour moi « quelque chose qui ressemble à Dieu » et à qui j’écris – avec des mots sur le « mur » où tout le monde va ; avec mon visage et mon regard projetés dans l’espace public…

    Je me suis fait à l’idée que depuis que tu n’es plus là, depuis un peu plus de quatre ans, tu fais partie de ce passé qui fut, à l’époque du présent vécu, un présent qui s’apparentait à une « petite éternité provisoire »… Car en effet, le matin, le soir, toute la journée dans la relation qui me liait à toi et à tes connaissances, était comme un espace de temps sans durée, sans commencement, sans fin, comme si le présent vécu avait toujours existé et existerait toujours…

    Ce qui a été ne s’efface jamais…

    Aujourd’hui, en ce mois d’août de 2025, « ça va comme ça peut » mais certainement tu t’en fous et tu ne sais plus rien de moi…

    Ma « Newsletter » est désormais pour toi, en avertissement une fois par mois dans tes mails, un couriel indésirable…

    Il est vrai que si tu l’ouvrais, cette « Newsletter », elle ferait état de plusieurs centaines voire de milliers de « posts » du « témoin de son temps » que je suis…

     

     

  • 11 avenue Alphand à Saint Mandé

    Avenue Alphand.jpeg

    C’est à cette adresse, 11 avenue Alphand à Saint Mandé, que j’ai habité entre mars 1973 et juillet 1976…

    À l’époque c’était une maison rez-de-chaussée et un étage, de construction début 20ème siècle ou seconde moitié du 19ème, ancienne donc à cette époque des années 1970, entourée d’un jardin en friche ceint d’un muret sur quatre côtés avec un portail donnant sur la rue ; la maison étant en 1973-1976, séparée des autres, voisines, plus ou moins éloignées les unes des autres…

    Aujourd’hui en 2025, cinquante ans plus tard, toutes les habitations sont « en enfilade » accollées les unes aux autres, modernisées, portes d’entrée donnant directement sur la rue et avec des voitures garées… Plus rien ne ressemble à ce que c’était, à cet endroit, en 1975…

    Dans cette maison en 1973 habitait une vieille dame proche de cent ans, madame Maurice, qui me louait pour 150 Francs des années 1970, au mois, une chambre dans cette maison…

    Je m’entendais très bien avec cette vieille dame « très classe » en bonne santé, cultivée, jouant du piano, aimant lire, et qui me gardait mon chat lorsque je partais en vélo sur les routes de France pendant mes congés…

    J’ai habité dans cette maison jusqu’au 30 juillet 1976, pour venir dans les Vosges où j’étais muté à Bruyères après 9 ans passés au centre de tri postal du PLM à Paris…

    Par la suite durant 2 ans environ après mon départ de chez cette vieille dame, j’ai correspondu avec elle par lettres, jusqu’à sa mort à 104 ans… Elle adorait mon « Fripouille » - qu’elle appelait « Frifri »- un matou tigré non coupé, très dur avec les autres matous, mais très gentil avec les humains, et que j’ai eu pendant six ans, né le mardi 20 août 1974 et mort accidentellement le lundi 8 septembre 1980…

     

     

  • Manège à Gérardmer

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    Ce manège est en place – et en fonctionnement – Place Abel Ferry en centre ville, durant toute l’année… Un manège d’antan…

    En ce 14 août 2025 avec plus de cinquante mille personnes – touristes et gens du pays- présentes à Gérardmer, ce manège accueillait de nombreux enfants mais tous les « dadas » n’étaient cependant pas occupés en permanence…

    Juste au dessus de ce magnifique cheval monté par une fillettte, dans la partie supérieure on aperçoit un « joli cochon »…

    L’on voit – soit dit en passant – sur ce genre de manège dans les villes de notre pays où il y en d’installés, assez rarement un « joli cochon » (rire)…

    L’on imagine – petite pensée iconoclaste et moqueuse avec un brin d’insolence – un « petit Mohamed » de trois ans juché sur ce « joli cochon » ! (rire)… Avec la maman voilée scandalisée de voir son petit garçon enfourcher le « joli cochon »…

     

    Cela dit, ce 14 août 2025 à Gérardmer dans les quelque 50 ou 60 mille personnes présentes, je n’ai guère vu – sauf 1 ou 2 avec foulard tête épaules – de touristes féminines maghrébines ou de pays musulmans Afrique, Moyen Orient… Ces 1 ou 2 devaient sans doute être des « Turques intégrées » … (Il y a en effet, en région Est de la France, des communautés Turques installées depuis un certain nombre d’années, qui à part le fait qu’ils votent beaucoup pour Erdogan, ne posent pas de problèmes)…

     

    Là où l’on voit des touristes – femmes en voile et ou niqab- musulmans, en une certaine quantité, c’est en été juillet août à Strasbourg quartier « Petite France » en majorité du Qatar et des Emirats et d’Arabie Saoudite…

     

     

  • Robert Ménard en croisade contre les anti corrida

    Voici un personnage, Robert Ménard, qui « a sa place sur les plateaux de télévison de débats publics » et donc « fait partie intégrante du paysage politique Français » et « a son mot à dire » dans la mesure où l’on ne peut pas lui donner systématiquement tort dans les propos qu’il tient sur bien de « sujets sensibles »…

    Je dis cela en tant « qu’homme de Gauche » ( d’une Gauche qui hélas n’existe pas, n’a jamais existé et n’existera probablement jamais à mon grand regret)…

    Je dis cela en dépit de ma détestation et de mon rejet des partis d’extrême droite…

    Je dis cela parce que la liberté d’expression est à mon sens une liberté fondamentale et inaliénable… Même lorsque ce qui est exprimé me dérange ou est contraire aux valeurs auxquelles je crois…

     

    Je ne partage pas du tout la croisade de Robert Ménard contre les anti corrida et donc sa sympathie et son adhésion manifeste à ce « fleuron de notre culture traditionnelle des villes et des pays du Midi » qu’est la tauromachie…

    Une tradition culturelle dans quelques villes du Midi telles que Bayonne, Dax, Mont de Marsan ou Nîmes ? … « Je veux bien », je ne me pose guère en « farouche, fanatique et inconditionnel opposant »…

    L’oppostion et la dénonciation de la cruauté de la corrida ? Je souscris cependant… Donc oui aux anti corridas il faut les laisser s’exprimer et manifester…

     

    Car il faut bien reconnaître que le taureau dans les conditions qui sont celles du déroulement d’une corrida, n’a quasiment aucune chance de s’en sortir, que tout est fait pour la victoire et pour la consécration du toréador, et que la conclusion inévitable est la mise à mort de l’animal par l’épée… En effet, le taureau n’a aucune chance de s’en sortir parce que progressivement et intentionnellement affaibli, privé de sa capacité de résistance et de combat, par six banderilles plantées l’une après l’autre sur son échine et perdant son sang et sa force, il ne peut qu’être terrassé et pour finir tué…

    Le combat est donc inégal…

     

    J’imagine – et « préconnserai » pour ainsi dire, une toute autre règle en matière de tauromachie :

    Plus de banderilles plantées dans l’échine du taureau, davantage de risque à prendre pour le toréador, de telle sorte que l’animal combattu puisse s’en sortir, ne pas être tué et donc rendu de nouveau en capacité de combattre dans une autre corrida ; que le toréador dans son geste à intention meurtrière ne parvienne pas à planter l’épée, l’animal esquivant le coup… Ou que tué par l’épée du toréador, il le soit après s’être défendu de toute ses forces…

    Et avec le risque accru, pour le torédor, d’être encorné, blessé, tué…

     

    C’est la raison pour laquelle, lors d’un accident dramatique de tauromachie, où le torédor perd la vie ou est blessé, vu les conditions qui sont celles de la corrida, forcément défavorables à l’animal, je ne déplore jamais la mort du toréador, ou le fait qu’il soit gravement blessé ou handicapé pour la vie…

     

    L’argument qui s’impose pour un « changement de règles » rendant le combat moins inégal, c’est celui lié au fait – à mons sens évident » - que le « spectable prendrait une toute autre dimension » vu son enjeu, vu la capacité de l’animal à se défendre sans être préalablement affaibli et conditionné pour être au final, tué…