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canicules

  • Régions du Globe devenant inhabitables

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    D’aucuns parmi nous, notamment de ceux et de celles des nés autour de 1950, pensent que les étés caniculaires ont toujours existé, et font état de quatre étés entre 1945 et 1999, qui furent vraiment des étés caniculaires – qu’ils qualifient de « beaux étés »… Ces étés là furent ceux de 1947, de 1976, de 1983 et de 1994… Les records de température (dépassant les 40 degrés Celsius, ayant été atteints entre le 28 juillet et le 5 août en 1947, dont 40,4 degrés à Paris, 41 à Tours)…

     

    Soit…

     

    Mais cela ne fait jamais que quatre étés sur une période de 50 ans, et sans aucun doute, de l’an mille jusqu’au 20ème siècles, la fréquence des étés caniculaires était de l’ordre de 4 à 6 par périodes de 50 ans…

     

    Or, depuis le début du 21ème siècle, jusqu’à l’été que nous connaissons en 2025, ce sont 12 étés en 25 ans qui furent caniculaires et faisant état de températures en France proches de 40 degrés ou dépassant 40 degrés…

     

    "Selon les trajectoires actuelles, les vagues de chaleur pourraient atteindre et dépasser ces limites physiologiques et sociales au cours des prochaines décennies, notamment dans des régions telles que le Sahel, l'Asie du Sud et l'Asie du Sud-Ouest", écrivent-elles. Une telle situation va se traduire par "des souffrances et des pertes de vies humaines à grande échelle, des mouvements de population et une aggravation des inégalités", avertissent les deux organisations : L’organisation des nations unies et la fédération internationale des sociétés de la croix rouge…

     

    Le changement climatique – avec des phénomènes météorologiques dévastateurs, n’est donc pas un « fantasme », c’est une réalité !

     

    Si la « décroissance » - mode de vie, habitudes, économie de marché- n’est absolument pas comme certains le prônent, une « philosophie »… (loin, très loin s’en faut – et personnellement je n’adhère aucunement à cette « philosophie »)… Il n’en demeure pas moins que, dépendants que nous sommes devenus de la technologie, de nos modes de vie et d’habitudes, de nos besoins énergétiques et de communication, et de déplacements ne serait-ce que pour se rendre au travail ; dépendant que nous sommes des normes de logement actuelles – maisons, appartements, équipements électro ménager et autres – (la configuration et l’agencement des habitations aujourd’hui n’a plus rien à voir avec ce qui se faisait en 1950)… Forcément, l’impact de nos activités sur l’environnement va s’accroître et peser de plus en plus lourd…

    Il y aura juste « quelques aménagements, quelques choix meilleurs que les autres, quelques décisions suivis d’effets et d’agissements réels – d’une minorité il faut dire- qui « retarderont » la dégradation de l’environnement et sa principale conséquence : la viabilité de certaines régions de la Terre…

     

    Dans la mesure où les nés entre 1950 et 1970 seront encore en vie en 2040, ils seront les « vieux témoins » de cette réalité du changement climatique et de ses conséquences… Ils ne diront plus alors que « c’est du fantasme » , pris qu’ils seront dans l’étau de la réalité !