… Être « quelque chose phobe » n’est pas forcément « avoir de la haine pour ce quelque chose » ni « vouloir que soit éradiqué par la violence ce quelque chose »…
Il ne faut donc pas confondre ni « amalgamer » : « être quelque chose phobe » et « avoir de la haine pour ce quelque chose »…
Si la haine et l’éradiction par la violence, exprimés – de vive voix ou par écrit – sur les réseaux sociaux, dans l’espace public, c’est un délit ; en revanche « être quelque chose phobe » n’est pas un délit…
On a donc le droit d’être « quelque chose phobe » et de l’exprimer ! Et que les « neunœils investigateurs censureurs modérateurs dopés aux algorythmes » « prennent de la graine » de cette vérité selon laquelle « être quelque chose phobe » n’est en aucune façon un délit !