… Les puissances dominantes, en particulier celles des « géants de l’internet, des bases de données, du numérique, de l’informatique, de la gestion des données, des producteurs et concepteurs de logiciels et d’applications sur smartphone, d’utilitaires autant sur les ordinateurs que sur les smartphones et tablettes… Tout cela dans « le giron » des puissances dominantes… A deux aspects fondamentaux :
L’un qui « rend service » (un réel et indéniable service), qui harmonise, sélectionne, contribue à l’accroissement des capacités cognitives qui sont les nôtres (innées ou acquises par formation éducation), en fonction d’un « profil déterminé, personnalisé » dont l’impact dans notre vie au quotidien est positif dans la mesure où ce dont on se sert, que l’on utilise, qui est mis à notre dispostion en accès libre ou payant, est conçu à notre avantage, à notre profit, pour notre développement personnel, notre bien-être – et selon des règles précises, variables dans le temps, ou des chartes, des conditions générales d’utilisation (ces « GGU » que peu d’entre nous lisent complètement, et dans lesquelles sont spécifiés des choix que l’on peut faire et où l’on voit des listes de partenaires autorisés à partager des données)… Voilà donc pour le côté positif…
L’autre qui se caractérise et se manifeste et agit dans une pensée, dans un objectif de pure dominance, de prédation, d’asservissement, de nivellement des sensibilités… Le côté négatif…
Dans la finalité d’un projet qui est celui des dominants et des décideurs, c’est le jeu ambigu de la coexistence des deux aspects, mené par les dominants et par les décideurs, qui permet à ces derniers de péréniser et de renforcer leur pouvoir…