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  • Religions et cultes

    Scientifiquement parlant l’existence de Dieu ne peut être niée, pas plus qu’humainement parlant l’existence de Dieu ne peut être démontrée…

    D’ailleurs des scientifiques, des astrophysiciens, sont croyants… Du moins quelques uns d’entre eux…

    Scientifiquement ET humainement parlant -peut-être ?- faudrait-il aller chercher Dieu… « Dans l’ère de Planck » entre une origine zéro inatteignable et l’instant où l’univers eut la taille la plus petite mathématiquement connue c’est à dire d’un diamètre de la « longueur de Planck »… Ou même encore dans la « genèse » de l’origine zéro inatteignable…

    Dans « l’ère de Planck » d’une durée indéfinie, se serait donc élaboré le Projet de la création de l’univers où déjà les composantes (particules, éléments) étaient présents afin de commencer à s’assembler dès l’instant T de la naissance de l’univers… Et, si l’on veut aller encore plus loin, dans la « genèse » même de l’origine zéro, il y aurait eu « l’intelligence » faite d’une énergie ayant la capacité de « fabriquer » de la matière, soit une « intelligence en capacité de création »…

     

    Scientifiquement ET humainement parlant donc, « l’existence de Dieu créateur de l’univers » ne peut être niée… Mais l’existence d’un Projet de création de l’univers, en préparation durant un temps indéfini avant l’instant T de la naissance de l’univers, ne peut être démontré (mais seulement « raisonnablement supposé »).

     

    L’aberration ce n’est pas Dieu, l’aberration c’est la religion et par extension ce sont aussi les cultes ainsi que les modèles présentés comme des certitudes.

    Les modèles cependant, tels ceux présentés dans la Bible, dans le Coran, dans la Torah, relatifs à la création du monde – du ciel, de la Terre, de tout ce qui vit sur Terre, de l’origine de l’Homme Adam et Eve… Sont des représentations réduites à ce qu’il y a de plus « shématique » ou de plus simple, très éloignées de la réalité scientifique… Le problème c’est lorsque le modèle est présenté comme étant une certitude imposée (c’est là où est l’aberration, pas dans le modèle lui-même qui « vaut ce qu’il vaut »…

     

    Les cultes anciens d’avant les premières « grandes civilisations », d’avant les religions monothéïstes, des peuples des Amériques, de l’Océanie (Océan Pacifique), des Celtes en Europe de fin du Néolithique par exemple, eurent leurs représentations simplifiées et imagées, de la création du monde et des phénomènes naturels tels que la foudre, de la plupart des événements climatiques ou cosmiques ayant eu un impact sur la vie quotidienne des gens de l’époque…

     

    Ainsi les modèles se substituent-ils à une Connaissance des choses et des êtres forcément et durablement très incomplète dont peu d’humains disposent – en partie…

    Il est arrivé cependant que les modèles dans des sociétés anciennes en « symbiose » avec les choses de la nature, du ciel et de l’univers, et vivant en harmonie avec leur environnement naturel, dans la connaissance des propriétés des plantes et de la relation entre les êtres et les choses… Se « rapprochent » de la Connaissance pure ou de la réalité scientifique…

     

    Ce qu’il y a – à mon sens- de « difficilement acceptable » et de « vraiment problématique » jusqu’à susciter du rejet, ou une ferme opposition, c’est :

    D’une part tout ce qui a trait au « divinatoire », qui fait appel à la magie, à la sorcellerie, au « scientisme », à l’ésotérisme, à l’astrologie, à une « symbolique des signes » (par exemple l’interprétation d’un aspect de viscères lors du sacrifice et de l’exposition des entrailles d’un animal sacrifié sur un autel, sur un bloc de pierre) dans les cultes anciens (et d’ailleurs aussi dans des cultes de nos jours, de sociétés « à l’écart du monde présent »)…

    Et d’autre part en ce qui concerne les offrandes (sous forme de biens matériels de valeur ou d’argent) dans le but de « remercier » Dieu ou quelque divinité, ou dans le but d’obtenir des faveurs de Dieu, d’une divinité…

    L’offrande souvent répétée et conséquente en valeur et en importance, prive le démuni qui, s’il recevait ce que l’on donne à un Dieu ou à une divinité, verrait s’améliorer occasionnellement ou dans une situation de détresse et de misère, son quotidien de vie…

     

     

     

    Religions, divinatoire, scientisme, ésotérisme, cultes… À partir du moment où est proposé un modèle présenté comme étant une certitude imposée en laquelle l’on doit croire, où l’on doit se conformer à des rites, à des pratiques, à des interdits… C’est tout cela l’obscurantisme…

     

     

     

     

  • Finalité d'un projet

    … Les puissances dominantes, en particulier celles des « géants de l’internet, des bases de données, du numérique, de l’informatique, de la gestion des données, des producteurs et concepteurs de logiciels et d’applications sur smartphone, d’utilitaires autant sur les ordinateurs que sur les smartphones et tablettes… Tout cela dans « le giron » des puissances dominantes… A deux aspects fondamentaux :

     

    L’un qui « rend service » (un réel et indéniable service), qui harmonise, sélectionne, contribue à l’accroissement des capacités cognitives qui sont les nôtres (innées ou acquises par formation éducation), en fonction d’un « profil déterminé, personnalisé » dont l’impact dans notre vie au quotidien est positif dans la mesure où ce dont on se sert, que l’on utilise, qui est mis à notre dispostion en accès libre ou payant, est conçu à notre avantage, à notre profit, pour notre développement personnel, notre bien-être – et selon des règles précises, variables dans le temps, ou des chartes, des conditions générales d’utilisation (ces « GGU » que peu d’entre nous lisent complètement, et dans lesquelles sont spécifiés des choix que l’on peut faire et où l’on voit des listes de partenaires autorisés à partager des données)… Voilà donc pour le côté positif…

     

    L’autre qui se caractérise et se manifeste et agit dans une pensée, dans un objectif de pure dominance, de prédation, d’asservissement, de nivellement des sensibilités… Le côté négatif…

    Dans la finalité d’un projet qui est celui des dominants et des décideurs, c’est le jeu ambigu de la coexistence des deux aspects, mené par les dominants et par les décideurs, qui permet à ces derniers de péréniser et de renforcer leur pouvoir…