… Ah, ces cimetières où tu n’as pas les tiens, que de temps à autre ici ou là, dans ce beau pays de France, tu visites, t’arrêtant devant une tombe abandonnée, de terre surmontée d’une croix en bois ou devant un « grand livre de pierre » sur lequel depuis bien des années, plus personne ne vient poser de fleurs… Imaginant ce que fut la vie de celui, de celle dont l’inscription sur la pierre s’est effacée… Que n’as tu, ta vie durant, rejoint par la pensée, par voie postale ou « webienne », ou en vélo, en bagnole, en train, à pied… Cet « ami ou amie sans guillemets »… Dont tu t’es éloigné au « profit sans profit » d’« amis avec guillemets »…