… Vacanciers et touristes d’août… Plus, cette année 2024, avec le « pont du 15 août – jeudi, vendredi, samedi, dimanche soit 4 jours »… Ça fait beaucoup de monde sur les autoroutes et sur les grands axes de circulation de toutes sortes de véhicules dont camping-cars et bus ; la cohue sur les aires de repos avec boutiques, bars et restaurants et fast-foods; les Ouigo et Inoui, TER et autocars archi pleins, les gares et aéroports saturés ; tous les campings, chambres d’hôtes, hôtels, gîtes, chambres et logements en location vacances, « pris d’assaut » et donc tous occupés ; terrasses de restaurants débordant sur les rues et sur les places « en principe ombragées » ; interminables trajets en bagnoles « chargées à bloc » et embouteillages, ralentissements, déviations « par une chaleur à crever »… Même les retraités dont les enfants et les petits enfants sont en congé en août, qui eux aussi, pour un séjour en famille, circulent sur les autoroutes, prennent des trains Ouigo/Inoui…
« Il ne fait pas bon » en ces jours de pont du 15 août, de se trouver « d’aventure et impromptu » à huit heures du soir, sans réservation, quelque part où il y a du monde partout, dans une ville, une bourgade où pourtant sont nombreuses les possibilités d’hébergement en ces jours là toutes exploitées au maximum…
C’est fou, fou/archi fou – et hyper heureux… De se trouver – pas en séjour touristique du tout- mais habitant de ce village que l’on voit sur cette photo, loin de tout ce dont bruit, vrombit, s’agite, se presse, vaque le monde des vacanciers, des touristes, de l’hyper consommation loisiresque, des « tam-tamrauilles Vinci APRR », des Ouigo et des Inoui bondés, des « chek points » de contrôle robotisé des aéroports… Et… Des « lunettes de soleil dans les cheveux » de mémères, de jeunes femmes aux terrasses des cafés, de types zé de typesses en bermuda toro-piscine… Mais bon, « on est deux ans après le covid c’est déjà ça » (ouf) ! Pourvu qu’ça dure, qu’y ait pas un autre covid plus sévère, que le permafrost dégelé ne libère pas quelques saletés de virus vieux de trente mille ans prêts à se réveiller…