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  • Alexis Carrel

    Né le 28 juin 1873 et décédé le 5 novembre 1944… Auteur de « L’homme cet inconnu »…

    De la part d’un médecin et d’un scientifique, il est -à mon sens- « assez choquant pour ne pas dire purement révoltant » de lire dans son ouvrage « Réflexions sur la conduite de la vie », ce passage… « scandaleux » dis je, à propos de la Femme :

    « … En médecine, pédagogie, science, philosophie, aviation ou affaires, elle est presque toujours inférieure à l’homme »…

    Et « La faute capitale de la société moderne a été de détourner les jeunes filles de leur fonction spécifique en leur donnant une éducation intellectuelle, morale et physique semblable à celle des garçons ; et en laissant ainsi s’implanter en elles des habitudes de vie et de pensée qui les éloignent de leur rôle naturel »…

    Alexis Carrel, issu de la bourgeoisie catholique pratiquante, rejoint ainsi la vision de la société du catholiscisme dominant en France, en Europe et en Amérique des siècles précédents, dans laquelle la femme devait être soumise à son mari, faire naître des enfants et exceller en « femme au foyer »…

    C’est cette vision là, de la femme, de son statut infériorisé et de soumission, qui est celle de l’Islam… Et du Judaïsme… Et dans le Christianisme…

    De la part d’un lauréat Prix Nobel de physiologie et de médecine en 1912 « ça la fout mal un type – et un écrivain de surcroît – de tels propos au sujet des femmes » !

    « Des œufs et des tomates pourries sur sa tombe ! (Encore heureux qu’il ne soit pas au Panthéon !)… Le Panthéon soit dit en passant – réflexion purement iconoclaste et personnelle de ma part - « Panthéon rime avec pantalon, on te met sur le cul un beau pantalon ça en jette pour l’éternité » (rire)…

     

     

  • "Ma France? Quelle France?"

    Islamophobe, oui je le suis, l’affirme et le ré-exprime… Islamophobe oui, mais pas haineux pour autant à l’égard des musulmans… Islamophobe dans le sens « religion-phobe »…

    Aussi, en ce qui concerne ces Télés (BFMTV entre autres) « prônant la non interdiction du port du Burkini par les femmes en piscine ou à la plage » et dont les directeurs et « journaleux » « montent au créneau » pour dire qu’ils sont outrés d’une telle interdiction, eh bien ces Télés « me gonflent »… Ainsi d’ailleurs que tous ces « progressistes moralistes » de Gauche, de la Droite et du Centre qui tous autant qu’ils sont, « font de la laïcité à leur manière » (c’est à dire avec des entorses, des coups bas, de « nouvelles règles » tout cela au nom de la liberté, de l’écoute de l’Autre, du « multiculturalisme », du « vivre ensemble » et de tout un « marais intellectuel  dont les pestilences ne dérangent plus parce qu’elles sont aseptisées »…

    Eh bien je vous le dis, les « pestilences aseptisées » elles me « pourrissent les narines » !

    Même le Rassemblement National, qui, dans sa dernière campagne électorale, annonçait que dans son programme il interdirait le voile et le foulard islamique dans l’espace public ; depuis qu’il a 143 députés à l’Assemblée Nationale, « fait profil bas » ou se montre « plus soft » en « faisant marche arrière » sur l’interdiction du voile et du foulard islamique !

    En revanche l’antisémitisme, la haine du Juif, ça s’exprime sans vergogne et en toute liberté sur les réseaux sociaux, dans des comportements agressifs et dans des propos rappelant une époque dont je ne cite pas le nom…

    La France de la Laïcité piétinée, la France islamisée, la France qui stigmatise et insulte le Juif, la France de la violence et de l’arrogance des extrêmes et des minorités, la France des nounours et des fleurs et des bougies à chaque mort qui choque qui n’est pas un môme tué par un pédo… Cette France là, c’est pas ma France !

     

     

  • Hohneck décembre 1944

    Hohneck R.JPG

    Chaque fois que je me rends au Hohneck, un sommet Vosgien de la route des crêtes, lors d’une promenade, jamais je ne manque de m’arrêter – et de me recueillir durant quelques minutes- devant ce monument érigé en souvenir des tirailleurs tunisiens qui ont héroïquement résisté durant une semaine dans le froid hivernal, encerclés par l’armée allemande menant une contre offensive après la prise du Hohneck, et ayant péri sous les assauts au lance-flammes dans les décombres de l’hôtel du Hohneck le 14 décembre 1944.

     

    De l’âge de 9 à 14 ans – et pour être vraiment précis entre le 22 septembre 1957 et le 21 mai 1962 avec une interruption du 17 février au 12 juin 1959 – j’ai vécu avec mes parents en Tunisie puis en Algérie…

    À Blida en Algérie l’un de mes meilleurs copains au Lycée Duveyrier en classe de 6ème s’appelait Ould Druis et nous avions durant les récréations, âgés de 13 ans que nous étions, ensemble, des conversations que les « grands de Terminale » n’avaient pas. Nous nous partagions alors la 1ère place lors des compositions trimestrielles de rédaction…

    Mon copain me disait à propos des « événements d’Algérie » : « l’indépendance on l’aura, ils vont nous instaurer une République Démocratique, mais ce sont les grands chefs de l’Armée de libération et du FLN qui prendront le pouvoir et s’en mettront plein les poches ; et nous, les gens du peuple, on sera aussi pauvres que du temps où les Français ont été les maîtres durant cent trente ans »…

    Depuis l’âge de treize ans et « à plus forte raison au fil des années de ma vie jusqu’à nos jours », de la Droite, de la Gauche, des révolutionnaires, des extrêmes (droite ou gauche), des idéologies, des religions, de la politique… « j’en suis revenu »… « C’est toujours la même histoire… Avec des maîtres différents dont on change – en général dans la violence – mais les pauvres, les démunis, ceux et celles qui peinent, travaillent, sont en première ligne dans les batailles et sous la mitraille, ce sont toujours les mêmes et de ce côté là ça change pas…