… Au premier de l’An en 2025, ce n’était point écrit sur quelque « stèle funéraire » (ou urne « en marbre de Carrare » : « Guy Sembic 1948-2024 »…
En « toute dérision » et « iconoclasterie autant de ma personne que de mes œuvres » (rire)… Je me souhaite un « relatif » « bon bourricot-à-versaire »… Et de ne pas voir écrit, au prochain premier de l’An donc en 2026 : « Guy Sembic 1948-2025 »… (rerire)…
« Si Dieu me prête vie », le 9 janvier 2048, « il me siérait fort » (j’en bande déjà de l’âme) – sous réserve que mon visage ne soit pas « trop ravagé » et que je puisse encore monter sur un vélo (un vélo « col de cygne » de préférence, parce que « lever la patte au dessus de la selle à 30 ans pas de problème mais à partir de 70 c’est « casse gueule »)…
« Il me siérait fort » dis-je… De fêter mon centenaire en terrasse d’un bistrot parisien devant un ricard « bien tassé » (ou mieux encore d’un Spritz tout aussi bien tassé), en compagnie de « quelques amis fidèles de longue date » (même s’il en serait parmi eux, 2 ou 3 par ci par là qui « auraient bien failli me lâcher pour un pèt un peu trop de traviole – et de fragrance douteuse)…
Et… Allez, je peux bien le dire… Mieux, beaucoup mieux à mon sens que le traditionnel et plantureux – et bien goûteux- gâteau d’anniversaire – assez gros pour supporter cent bougies… « Une nuée de journalistes littéraires caméra micro au poing »… (rire)…
J’aurais alors cette répartie, à la question de l’un d’entre eux, au sujet d’une « possible postérité longue comme une éternité provisoire » : « oh vous savez, la reconnaissance implique un peu trop de concessions et de compromissions à l’Ordre du Monde, entre autre celle qui vous érige en chef de file d’une nouvelle tendance, et un Ordre reste un Ordre »…
En attendant – un quart de siècle encore à traverser jusqu’au 9 janvier 2048… Juste une petite info :
Je ne suis pas gâteau, d’ailleurs je n’aime pas en langue Française le mot gâteau – ça me fait penser à gâteux (et à la part de gâteau entamée dont la crème coule dans l’assiette, au dessert, à la maison de retraite)…
En revanche, n’étant point gâteau – ni chocolats ni confiseries - je suis poule au pot, pot-au-feu, petit cochon à la broche, poulet-à-la-Mamy…