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Anilmaux familiers très vénérés au pays du soleil levant

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Des Chinois aisés vivant seuls ou en famille avec un ou deux enfants, et ayant pour compagnon un chien – ou un chat ou un lapin ou un autre animal domestique – dépensent plusieurs centaines d’euros (équivalent en yuans) par mois, pour l’entretien de leur animal familier…

Ainsi à Beijing Pékin, Shangaï et autres villes voit-on des pâtisseries, des épiceries de luxe, des boutiques de jouets, de vêtements de mode, pour chiens… Et assiste-t-on à des mariages canins avec grande cérémonie festive…

Les pâtisseries pour chiens ont même des préparateurs et des concepteurs de gâteaux formés en écoles…

Ce toutou « au regard triste » inciterait à mon sens à se dire «  nous vivons dans une société, dans un monde, dans une civilisation qui marche sur la tête »…

Bon c’est vrai « de là à lui loger une balle dans la tête à ce toutou, quand même pas ! »

De telles gâteries, de telles scènes de vénération de chiens, faisant l’objet d’un reportage télévisé au JT de 20h… C’est d’une indécence particulièrement insolente, lorsqu’on sait que des centaines de millions de personnes de par le monde vivent dans la misère et ne mangent pas à leur faim…

En revanche rares, très rares, et en l’occurrence tout à fait fugitifs et sans trop de détails, assiste-t-on à des reportages télévisés sur des élevages de « chiens de boucherie » en Chine ou ailleurs… Ou encore des reportages montrant comment sont traités des animaux dans des laboratoires de recherche…

Enfin, « confidence pour confidence » : je ne donne jamais de morceaux de vieux pain – ou d’autre produit de nourriture- à des pigeons, assis sur un banc (je leur envoie en fait un petit caillou à peine gros comme un grain de blé, et je regarde le pigeon qui, bêtement, s’évertue au moins 10 secondes à choper le petit caillou et finir par se rendre compte que c’est pas une graine!)…

Et le lapin, le « joli lapin apprivoisé  » - aux yeux totalement inexpressifs- je lui foutrais bien un coup de marteau sur la tête ! (rire)… Avant de le dépouiller, de le vider, et de le cuire sauté avec des pommes de terre, de l’oignon, de l’ail et du persil…

 

Soit dit en passant, lorsque j’entends appeler sa femme, sa compagne « poulet » ou « lapin »… C’est pas du tout dans ma culture ! … Et idem, tous ces « mamours » et autres niaiseries et discussions « patates salades » dont se gratifiaient certains membres de forums que j’ai quittés (et où d’ailleurs je n’étais pas forcément le bienvenu, « vélo à sale tête me trimballant en ces lieux conviviaux dûment chartés modérés, bien policés et bien consensuaux, que j’escagassais de mes posts iconoclastes)…

 

 

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