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  • Quelle population mondiale en 2100 ?

    La diminution de la fécondité humaine, déjà observée depuis 1950, s’avère plus rapide que prévue à mesure que l’on s’avance dans le 21ème siècle…

    En l’espace de 75 ans, entre 1950 et aujourd’hui en 2025, le taux moyen de natalité pour l’ensemble des pays et peuples de notre planète, qui était de 4,8 enfant par femme en 1950, n’est plus en 2025 que de 2,2 enfant par femme…

    L’on se rapproche donc du seuil de renouvellement de la population, c’est à dire du maintien du niveau actuel atteint par la population humaine soit 8,1 milliards…

     

    Le seuil de renouvellement ayant été évalué à 2,05 enfant par femme – mais plus exactement en fait, à 2,1 puisque la population masculine est légèrement supérieure à celle des femmes ( 102 hommes pour 100 femmes)…

    Bientôt, passé 2030 et avant 2040, peut-être vers 2032-2033, va-t-on atteindre ce seuil de 2,1 qui est celui d’une population mondiale qui ne diminue pas encore mais n’augmente plus et se stabilise au niveau atteint…

    À l’échelle de la planète toute entière tous pays et peuples confondus, en 2050, le taux moyen de natalité sera de 1,8 enfant par femme, puis passera à 1,6 à la fin du 21ème siècle.

    Ce qui signifie qu’à partir du milieu des années 30 du 21ème siècle, une fois le seuil de 2,1 franchi, la population va diminuer peu à peu après avoir été à son maximum vers 2035-2040 soit jusqu’à 8,5 milliards d’humains…

     

    Cependant, il est observé aussi que la diminution de la fécondité humaine n’est pas la même selon les pays, les continents, les peuples…

    Ainsi la seule partie du monde où le taux de natalité est supérieur à 3 enfants par femme ( jusqu’à même 4,8 ou passé 5) est le continent Africain dans son ensemble à l’exception des pays du Maghreb… Le taux le plus élevé, plus de 4 enfants par femme, étant celui des populations des pays du Sahel entre l’Atlantique et la Mer Rouge, ainsi que toute la partie centrale de l’Afrique dont le Congo…

    Les deux pays les plus peuplés – la Chine et l’Inde – avaient en 2022, l’un la Chine un taux de natalité de 1,18 enfant par femme, et l’autre l’Inde, 2,01… Ces deux pays voient donc déjà leur population diminuer…

     

    La conséquence de la différence qu’il y a a entre les taux de natalité d’une part du bloc Amérique-Europe-Asie et d’autre part du bloc Africain, c’est qu’à partir de 2050 la proportion d’Africains sera beaucoup plus importante en rapport avec la population mondiale totale…

     

    Pour résumer donc, avec en 2025, 2,2 enfant par femme, on continue d’augmenter jusque vers 2040…

    Mais en 2050 avec 1,8 enfant par femme, on repassera en dessous de 8 milliards…

    Et ce n’est qu’à partir d’en dessous de 0,8 enfant par femme qu’alors, tous les 30 ans, la population diminue du tiers…

     

    Comme vers 2100 on en sera encore à 1,6 ; l’on peut en déduire qu’entre 2100 et 2130, la diminution sera d’environ 15 % de ce qu’elle sera en 2100 ; et qu’entre 2050 et 2100 elle sera d’environ 5 à 10 % de ce qu’elle est actuellement 8,1 milliard…

    Nous aurions donc en 2100 une population mondiale de 7,3 à 7,7 milliards d’humains…

     

     

     

    Et que, franchi le seuil de 0,8 enfant par femme dans la seconde moitié du 22ème siècle, là, diminuera drastiquement et rapidement la population de l’ordre du tiers tous les 30 ans… Jusqu’à finir par disparaître…

     

    Rappelons que toutes les espèces vivantes dont les espèces humaines avant Sapiens , ont toutes disparues par déficit progressif ou parfois accéléré de reproduction…

    C’est ce qui se passe actuellement dans le monde du vivant avec la disparition de nombreuses espèces animales (mammifères, oiseaux, insectes, poissons) qui elles, sont beaucoup plus affectées que l’espèce humaine des Sapiens et donc, disparaissent en plus grand nombre et en plus accéléré que les humains…

     

    La cause principale de la disparition des espèces vivantes sur Terre, est liée à un environnement qui devient moins favorable au maintien et à l’évolution des êtres vivants ( les glaciations et les changements climatiques du passé de millions d’années, les événements cosmiques genre chute de météorites, d’astéroïdes, bouleversements de l’écorce terrestre séismes, éruptions de volcans ; et de toute évidence aussi les activités humaines qui épuisent les ressources naturelles de la Terre, et ont des effets nocifs sur l’environnement)…

     

     

     

  • Un rêve bizarre, nuit du 12 au 13 mai 2025

    NOTE préalable :

     

    Dans la quasi totalité de ces « rêves bizarres » que je fais, généralement en fin de nuit vers 3 ou 4h du matin, qui sont le plus souvent des cauchemars, je retrouve- toujours, systématiquement, les deux mêmes caractéristiques :

     

    -L’histoire se déroule sur plusieurs plans – d’époque, de lieu, d’environnement- superposés, entremêlés, du passé, et pour partie du temps présent… Et les personnages eux aussi qui apparaissent dans l’histoire, sont, mêlés dans une sorte de « présent reconstitué » de personnes que j’ai connus dans le passé à des époques différentes, et ces personnes sont aujourd’hui décédées depuis, pour certaines, il y a assez longtemps , personnes de ma famille ou amis ou connaissances à telle ou telle époque…

    Et ce qui est curieux, c’est que tout cela – les époques, les lieux, les environnements, les personnages – s’imbriquent de manière à constituer un « scénario » (un « film » en somme) relativement cohérent ; le « scénario » (ou le film) étant celui d’une situation aussi dramatique que stressante – et souvent sans issue…

    Très dramatique, très stressante, et d’une sensibilité extrême question situation de relation vécue… Toujours, l’histoire …

     

    -Le personnage central que je suis dans l’histoire est presque toujours soit un très jeune homme ou un adolescent, soit un jeune adulte de 20 à 25 ans, soit encore un homme âgé de 30 à 45 ans… Plus rarement (mais cela arrive) une personne de mon âge actuel ou de ma génération…

     

    Cependant, le rêve que j’ai fait dans la nuit du 12 au 13 mai 2025, contrairement aux autres précédents, se déroule celui-là dans un même espace de temps, de lieu et d’environnement -donc sans mélange, sans superpostion- et il n’y a dans l’histoire là, que des personnes inconnues, que je ne vois que pour la première fois…

     

    Voici :

     

    Je suis un voyageur à vélo effectuant chaque jour des étapes d’une centaine de kilomètres – en France et en Europe- lourdement chargé de grosses sacoches, et j’arrive dans une grande ville (peut-être en Allemagne), j’ai sur une feuille de papier pliée en 4, le nom de mon hébergeur mais l’adresse de mon hébergeur est mal précisée…

     

    Il est 4h de l’après midi, on est en été, les jours sont encore longs, donc je dispose de plusieurs heures devant moi en cas de recherche difficile pour arriver chez l’hébergeur… Je me doute que ça va être coton pour trouver, dans cette grande ville de plus de cent mille habitants (avec les périphéries, les boulevards extérieurs, la complexité du réseau de voies de circulation, etc.) l’endroit où demeure mon hébergeur…

     

    Je « débarque » sur une place assez animée avec tout autour des boutiques, des bars, des restaurants, des gens assis à des terrasses de café… Mon vélo sur béquille d’arrêt, je sors mon smartphone sur lequel figure l’application « Wase » et déjà je me pose cette question «  est-ce que Wase ça marche ailleurs qu’en France, est-ce que ça va me causer en Français, et de toute manière il faut que j’inscrive l’adresse exacte de la personne dans la zone de saisie de l’adresse ; il me faut donc d’abord rechercher sur internet Google ou annuaire, l’adresse précise de mon hébergeur…

     

    Et puis, autre problème : avec les mains sur le guidon et pédalant (sinon je peux aussi pousser le vélo, « à pattes » mais dans ce cas « bonjour la distance à parcourir à travers la ville ») il me faut le smartphone accessible et ouvert, je n’ai rien pour l’attacher au guidon, et pas de cordelette avec petite sacoche pour le mettre attaché autour du cou sur la poitrine… Parce que de toute évidence il me faudra suivre les indications vocales de Wase « prenez voie de gauche et tourner à droite cent mètres après vers... » et voir sur l’écran pour visualiser la position… Il ne faut donc pas que le smartphone soit dans la poche du pantalon ni dans une sacoche du vélo…

     

    Dans le déroulement du rêve je n’arrive pas au moment crucial de savoir si oui ou non Wase ça fonctionne en dehors de la France, et j’en suis à me demander comment faire si Wase marche pas, pour demander mon chemin, mon allemand n’étant plus qu’un lointain souvenir de lycée classe de seconde ou de première et j’étais pas très bon en Allemand…

     

    Me viennent immédiatement à l’esprit les énormes difficultés, la galère que ça va être, les heures à passer, naviguant dans cette grande ville dans un environnement inconnu et hostile, que je ne maîtrise pas du tout, les dangers encourus liés à une circulation d’une complexité extrême… Juché sur mon vélo et chargé comme un bourricot, sur des trottoirs, dans des petites rues (le réseau de voies cyclables étant très sommaire) dans la densité de la circulation d’autobus, de tramways, de camions de livraison, de voitures… Et pour finir, la nuit venant, en être réduit à passer toute la nuit dehors, assis par terre je ne sais où… Ayant abandonné la recherche épuisante et sans résultat, de l’adresse de l’hébergeur…

     

    Du coup la première chose que je fais en me réveillant, c’est de demander à « Copilote » intelligence artificielle, si Wase ça marche en dehors de la France et si oui, si ça te cause dans ta langue maternelle…

     

    La réponse est oui.

    Toutefois en 4/5 G ondes hertziennes, encore faut-il que ton abonnement internet Orange, SFR ou autre ; prenne en compte une option Europe, DOM/TOM, international (sinon on peut faire en dehors de la France avec des cartes prépayées de 10, 50 Go ou plus)…

     

    Bon, cela dit, même avec Wase qui fonctionne à l’international – et dans ta langue d’où tu viens – réglage dans les paramètres de Wase… « Vélo-globe-trotter » dans des rues de Beijing-Pékin ou de San Fransisco, ou de Hambourg ou de Berlin ou de Varsovie ou de Téhéran… C’est galère !

     

    Et, encore autre problème en itinérance compliquée : le rechargement de la batterie du smartphone (aléatoire dans certains lieux, accès à des prises, etc.) Par exemple dans un camping hors de question de laisser branché plusieurs heures sans surveillance ton smartphone à 800 euro voire 1300 à une prise dans le bloc des sanitaires lavabo douche WC…