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  • Réforme des retraites (réflexion)

    … Il est à mon sens, indécent, que des personnes ayant cessé leur activité professionnelle, récemment ou depuis plusieurs années, et n’étant plus dans la réalité au quotidien, du monde du travail ; fassent savoir autour d’elles qu’elles sont pour le passage à 64 ans, de l’âge de départ en retraite…

    Ce sont les actifs, ceux et celles qui exercent des métiers, occupent des emplois, qui sont concernés et peuvent dire s’ils sont pour ou contre le passage à 64 ans de l’âge de départ en retraite, argumenter, débattre, exposer leurs raisons…

    Que vaut l’avis d’une personne de – mettons 70 ans – qui a cessé son activité âgée entre 55 et 60 ans, et de surcroît perçoit une pension de retraite d’environ 2000 euro par mois, qui se déclare publiquement favorable au passage de l’âge de départ en retraite à 64 ans ?

    Le silence, sur cette question de l’âge de départ à la retraite, de la part de cette personne, me semble la meilleure attitude à adopter (ou du moins, préférable à adopter)…

     

     

    … Il faut reconnaître – et là je pense que beaucoup seront d’accord avec moi – que les problématiques de la vie au quotidien ne sont plus les mêmes pour les retraités, que pour les actifs (les problématiques liées à une activité rémunérée, avec un chef, un patron, un supérieur hiérarchique autoritaire, des objectifs de développement, des horaires, une durée de présence au travail, des déplacements aller retour pour se rendre au travail, la dificulté d’obtenir des congés à sa convenance, etc. … Plus rien de tout cela en effet, pour un retraité!)… Donc une vie au quotidien qui pour un retraité n’est plus du tout la même (disparition des contraintes et obligations liées à un emploi rémunéré, en conséquence, bien plus de liberté d’organiser sa vie, ses activités, ses loisirs, que pour un salarié)…

    C’est la raison pour laquelle un retraité qui serait « pour » la retraite à 64 ans (voire 65) ça me surprend ! Ou alors il faut que ce soit pour des « boulots » qu’on aime faire, où il n’y a pas toutes ces problématiques de contraintes, d’horaires, de relation avec des chefs, de trajets en bagnole, train, bus, métro… Qui finalement sont les problématiques de 9 salariés sur 10…

     

    Je n'arrive pas à comprendre la nécessité de cette réforme des retraites, argumentée par ceux et celles qui pensent que la question d’être « pour » ou « contre » ne se pose pas (du fait de l’allongement de la durée de vie , de la réalité démographique et de part plus importante prise par la population vieillissante) …

    Peut-être n'ai je pas étudié suffisamment la question?

    Peut-être n'ai je pas toutes les données ? (qui les a, vraiment, d'ailleurs?)...

    J'en suis toujours à me demander comment des gens qui ne sont plus en activité (et qui ont eu la chance de pouvoir cesser leur activité professionnelle avant 60 ans) peuvent envisager de voir les générations qui les précèdent travailler jusqu'à 64 ans et en être satisfaits...

    Ce qu'il a de sûr dans cette affaire là, c'est que pour un gouvernement qui doit gérer un budget dans un pays, la France en l'occurrence, payer des pensions de retraite à partir de 64 ans au lieu de 62 et 60, ça fait gagner en masse d'argent à distribuer (d'ailleurs financé non seulement par les cotisations des actifs, mais en partie par de la dette... Et jamais par une remise en cause des profits réalisés par les géants de l’économie et des dividendes versés aux actionnaires)…

     

     

  • 1177 av-JC, le jour où la civilisation s'est effondrée, de Eric C.Cline

    Éric C.Cline, professeur d’histoire et d’anthropologie, né le 1er septembre 1960, Américain (USA), de l’université Georges Washington ; ayant participé à de nombreuses fouilles en Grèce, Crète, Chypre, Égypte, Israël et Liban .

     

    ... Un texte d'une rigueur scientifique notable, qui repose en grande partie sur la découverte de milliers de tablettes d'argile recouvertes d'une écriture qui était celle de la langue commune pratiquée dans le monde méditerranéen et moyen-oriental dans les échanges entre empires et états : l'Akkadien...

    En effet, dans le monde Égéen (en gros de -3000 à -1200 âge du Bronze), s'il se parlaient de nombreuses langues et dialectes dans les cinq grands empires et leurs provinces, du monde Égéen ; pour les échanges commerciaux, les traités, les lois et prescriptions internationales, la correspondance et les messages entre chefs d’état, princes, rois ; pour la culture, l’art, la littérature, les échanges par écrit se faisaient en Akkadien, langue commune, universelle, dans tout le monde Égéen…

     

    Ce texte retrace une période qui se situe entre le 14 ème et le 12 ème siècle avant JC, en gros sur trois siècles, à la fin de l'âge du bronze... Mais comme on peut le lire au début du livre, est évoquée une période précédente, de 1700 à 1550 AV-JC...

     

    Lorsque commence le 12 ème siècle AV-JC, dans les années -1190/-1180, toutes les civilisations de méditerranée grecque et orientale, se sont rapidement effondrées, le point culminant de l’effondrement étant une conjonction de plusieurs causes (invasion de peuples, destructions de villes et de cités, changement climatique/sécheresse, guerres, conflits, révoltes, rupture des échanges commerciaux) en l'année -1177... Causes auxquelles s'ajoute une importante activité sismique due à la faille en profondeur du bassin méditérranéen, entre les plaques africaine et eurasienne, une activité sismique qui, durant plusieurs dizaines d'années autour de -1200, a provoqué une série de séismes dévastateurs en Grèce, Anatolie, moyen orient)...

     

    Le monde "globalisé" (politique, économique, culturel, échanges internationaux, routes terrestres et maritimes) était constitué, à cette époque entre -1400 et -1200, de cinq grands empires et royaumes :

     

    -À l'ouest, la Grèce continentale avec Mycènes, Tirynthe et Pylos ; une partie des îles de la mer Egée et la Crète, les minoens, avec Cnossos pour capitale.

     

    -L'empire Hittite avec sa capitale Hattusa au nord de l'Anatolie, qui s'étendait cet empire Hittite sur une grande partie de la Turquie actuelle.

     

    -Le voisin, à l'est de l'empire Hittite, le royaume de Mitanni avec pour capitale Assur, une région comprise autour du cours nord du Tigre (nord de l'Irak actuel).

     

    -Au sud du royaume de Mitanni, la Babylonie des rois et des princes Kassites, située entre le Tigre et l'Euphrate dans la partie sud de ces deux fleuves, et jusqu'au Golfe persique.

     

    -L'empire Égyptien, de basse et haute Égypte, tout le long du Nil, et s'étendant au nord au delà du Sinaï, dans ce qui est aujourd'hui Israel et le Liban, avec Memphis et Thèbes (Égypte) et Megiddo, Tyr, Biblos (côte méditerranéenne).

     

    Tous ces empires, royaumes, sociétés, à cette époque, étaient connectés, avaient une langue commune (l'Akkadien), échangeaient de nombreux biens tels que des céréales, des tissus, de l'or, du cuivre, de l'étain, et les artistes, les marchands, circulaient librement d'un bout à l'autre de ce monde "globalisé" où la diplomatie, les traités, les codes, les correspondances par messages sur des tablettes d'argile ou par des cadeaux offerts, les alliances entre états, était la règle commune plutôt que le rapport conflictuel (quoi qu'il y eût, il faut dire, quelques guerres notamment entre Égyptiens et Hittites, Hittites et Mitanniens)...

     

    En dehors ou en deçà de ce monde "globalisé", il y avait aussi d'autres peuples, mais qui étaient moins reliés entre eux et peu reliés au monde méditerranéen et moyen oriental : Ibères, Celtes (ouest Européen), Etrusques (nord de l'Italie) et plus loin en Asie orientale, les peuples de Chine et d'Inde ... Sans oublier les peuples d'Afrique, d'Amérique, d'Océanie Pacifique...

     

    ... La période obscure qui s'étend entre -1200 et -800/-700 après l'effondrement de la civilisation méditérranéenne et moyen orientale de la fin de l'âge du bronze, peut être comparable à la période qui, entre les 4ème et 7ème siècle après JC, a suivi la chute et le déclin de l'Empire Romain (Empire qui avait duré de -200 environ à 450 après JC, du moins pour sa partie occidentale)...

     

    Cependant, après l'effondrement des empires et royaumes Grec mycénien Hittite Mittanien Babylonien Égyptien ; du 12 ème au 9ème siècle avant JC, la civilisation n'a pas pour autant disparue et des états, des royaumes se sont constitués, avec beaucoup moins de liens entre eux ; le monde méditérranéen et moyen oriental étant alors devenu une mosaïque de pays, où le commerce, l'artisanat, les échanges, se faisaient non plus à grande échelle mais par des entrepreneurs privés, indépendants et sur des distances moins longues, et sans règles communes...

     

     

    Il a fallu attendre l'arrivée du monde Grec que nous connaissons (l'antiquité grecque que l'on enseigne à l'école aujourd'hui, qui débute vers -700); puis l'Empire Perse, et ensuite l'Empire Romain à partir de la chute de Carthage, pour retrouver de grandes civilisations généralisées sur une vaste étendue territoriale...

     

    ... Il y a quelques correspondances dans le monde globalisé (en gros, la civilisation dite "occidentalisée") que nous connaissons aujourd'hui (depuis les années 1990) avec ses traités de libre échange, sa mondialisation de l'économie marchande, ses alliances entre grandes puissances telles que celles de l'OTAN, la dominance des lobbies de l'industrie, de l'agriculture et du commerce, les transports sur de grandes distances... Avec le monde de la fin de l'âge du bronze tel qu'il était alors entre -1400 et -1200... En ce sens que les "problématiques" sont à peu près les mêmes : celles d'un changement climatique (qui cette fois, est davantage lié à l'activité humaine sur la planète) , de désordres, de conflits, de mouvements migratoires consécutifs à des guerres et à de la misère dans des pays appauvris, de rupture ou de modification de traités d'échange, d'insécurité politique, de constitution de blocs de grandes puissances qui s'opposent, déstabilisant ce monde globalisé qui commence à se fragmenter, pour ne pas dire à voler en éclats...

     

    Un autre point commun entre notre monde et celui de la fin de l'âge du bronze, et peut-être le plus déterminant aussi combiné qu'il soit avec une série de causes multiples telles que celles citées plus haut ; c'est le niveau de complexité atteint, dans l'un et l'autre monde, pourtant séparés par 3200 ans d'histoire...

     

    En effet le monde de la fin de l'âge du bronze, de ces sociétés, états, empires royaumes, dans la civilisation grecque égéenne hittite mitannienne babylonienne égyptienne, avait atteint vers -1200 un niveau de complexité tel, que le moindre "rouage" défectueux dans le "système", par effet de domino, pouvait faire s'écrouler le système...

    Nous sommes de nos jours, avec notre civilisation mondialisée et ses technologies, dans une complexité encore plus grande...

     

    Autrement dit, plus une civilisation, plus une société est complexe, et plus elle devient fragile et donc exposée lorsque l'un des "rouages" du système se "grippe" entraînant toute sortes de dysfonctionnements...

     

    ... La différence qu'il y a -la plus manifeste à mon avis- entre le monde globalisé du début du 21ème siècle après JC et le monde globalisé de la fin de l'âge du bronze (3200 ans d'écart)... C'est qu'aujourd'hui... Les tablettes d'argile sur lesquelles on écrivait tout (y compris ce qui se passait au niveau de la vie quotidienne des gens) ont été remplacées par des documents texte image numérique, tout cela stocké dans des "data center" ou sur des supports informatiques ou espaces de stockage internet, sur des blogs, des sites, sur Facebook, sur Twitter... Enfin sur des supports qui sont dématérialisés... Et dont les futurs archéologues du 4 ème millénaire (s'il y en a encore) ne retrouveront rien, rien de rien... Tout aura disparu depuis longtemps, et notre civilisation avec...

     

    Mais cela ne veut pas dire qu'il n'y aura pas, au 4 ème millénaire, une autre civilisation dont on a pas idée, aujourd'hui, de ce qu'elle sera ni comment et quand elle aura commencé...

     

     

  • Un drôle de rêve

    ... J'étais invité (à quel titre je n'en sais rien, peut-être en tant "qu'écrivain témoin de son temps et publiant régulièrement"?) dans une sorte d'immense Conférence Universelle Spatiale (regroupant des représentants mandatés de plusieurs systèmes stellaires ou planétaires de diverses galaxies)... Cette réunion (capitale pour le devenir de centaines de milliards d'êtres humains ou humanoïdes sur des dizaines de planètes de notre galaxie et des galaxies voisines) devait se dérouler dans une cité géante et capitale de la "planète siège" de la Confédération Universelle...

     

    J'arrive dans le hall d'accueil (à perte de vue) du grand bâtiment principal, il n'était pas encore l'heure d'arrivée de la foule des délégués et c'est à peine si déambulaient de ci de là dans ce hall d'accueil, quelques "humains" et bien sûr quelques hôtesses (au curieux visage cosmétiqué et piercingué, et arborant des coiffures "impossibles" aux couleurs criantes et lumineuses)... Tous ces gens me semblaient "d'apparence humaine" et chose curieuse, je reconnus des personnes qui faisaient partie des forums du Net mais qui avaient disparu de ces forums depuis assez longtemps...

     

    Aussi, quelle ne fut pas ma surprise de les trouver là, ces "disparus" (qui semblaient "officier" dans ce hall d'accueil et accueillaient les premiers délégués)... Et ces premiers délégués, qui arrivaient en petits groupes, semblaient encore tous, d'apparence "humaine" (si l'on peut dire quoiqu'ils avaient de drôles de visages)...

     

    L'une de ces "disparues" (que je reconnus et qui était M---) me dit "tu vas voir, tout à l'heure, la tête qu'ils ont, certains de ces délégués et tu risques d'être plié de rire en les regardant"...

     

    En effet, lorsque j'arrivai au premier étage du grand immeuble, s'étendait à perte de vue un immense salon dont on ne discernait pas les extrémités, et là, il y avait des centaines de "drôles de gens" (et tout aussi drôlement vêtus) dont un en particulier, qui avait des sortes de défenses d'éléphant à côté des lèvres, un nez en trompette très évasée, un crâne pointu avec des oreilles en chou-fleur applati... Et tous ces "gens" ressemblaient d'ailleurs à mes "shadocks" (ceux que j'ai dessinés) et c'était "tordant" de les voir, dans leurs accoutrements, avec leurs visages "impossibles" à en crever de rire, leurs attitudes, leurs comportements, la manière dont ils se saluaient (certains se "sentaient le derrière")...

     

    Je ne voyais pas comment, en ces moments de gravité aussi "solennels", aussi sérieux, et où on allait débattre de sujets aussi importants, j'allais pouvoir étouffer ces éclats de rire qui me venaient spontanément à la vue de ces "guignols" aux visages si divers et si étranges... Et plus les délégués avaient "d'importantes fonctions, un gros statut, et paraissaient être d'éminents scientifiques et intellectuels", et plus ils avaient des "têtes à en crever de rire"!

     

    ... Et je me fis la réflexion suivante :

     

    Sur notre toute petite planète, La Terre, perdue dans l'immensité de la Confédération Universelle regroupant des millions de planètes réparties dans plusieurs galaxies ; il existe déjà une infinie diversité de cultures, de peuples, de sociétés, de régions, de pays, de modes de vie et d'êtres aux apparences physiques différentes ... Mais en définitive, ces différences et cette diversité que j'observe déjà sur une seule planète, ma planète, sont "sans commune mesure" avec les différences et la diversité que l'on peut observer à l'échelle de l'univers, que ce soit en ce qui concerne l'aspect physique des êtres qu'en ce qui concerne les cultures, les modes de vie, les sociétés... Et ça donne le vertige !

     

    ... Et je devais, puisque j'avais été invité pour cela, interwiever l'un et l'autre de ces délégués, afin de faire connaître d'où ils venaient et de préciser leur appartenance à tel ou tel mouvement culturel ou politique ou associatif...

    Mais réaliser ce "reportage" en conservant "un minimum de sérieux" se révélait impossible car je devais en même temps "étouffer ma crise de fou rire comme l'on retient la propulsion bruyante d'un bouchon de bouteille de champagne en le serrant très fort entre les doigts et le tournant doucement jusqu'à ce qu'il sorte du goulot et fasse au final, un bruit ressemblant à un pet étouffé"...

     

    ... Je ne me suis jamais autant marré au sortir d'un rêve !... Mais en même temps, il m'était venu une réflexion emplie de gravité...

     

     

  • Sur le Grand Mur

    Nos détracteurs bien souvent, ne sont pas des détracteurs au sens de ce que doit vraiment être un détracteur c’est à dire un interlocuteur critique ; mais des emmerdeurs ou des aboyeurs…

    Merci à toutes celles, à tous ceux d’entre vous, de tous lieux, de toutes conditions, qui, sur ce « grand mur » qu’est Facebook, contribuent à leur manière, à donner au débat (à tout débat), plus de sens, plus de pensée réfléchie, plus d’humanité, et postent des textes, des images, qui suscitent du questionnement, qui appellent à réflexion…

    Merci également à toutes celles et à tous ceux d’entre vous qui sont des interlocuteurs critiques, donc de vrais détracteurs…

    L’on ne peut pas empêcher les emmerdeurs et les aboyeurs de s’exprimer (liberté d’expression)… Mais l’on peut, les « tagueurs de paysages » et les « montreurs de beauté » , les penseurs et les poètes que nombre d’entre nous sont, en prenant davantage de place sur le « mur », battre à la course les emmerdeurs et les aboyeurs…

     

  • J'espère ...

    En cette année 2023, mais à vrai dire je le pensais aussi en 2022 et avant, et je le penserai d’ailleurs jusqu’à la fin de mes jours…

     

    J’espère qu’il y aura sur cette terre, du temps qu’il me reste à vivre et encore pour longtemps après que je sois « parti dans les étoiles »…

     

    Assez de gens pour, en promenade le long d’un chemin, remettre un bousier sur ses pattes…

     

    Se baisser pour éviter de déchirer une toile d’araignée dans un passage étroit…

     

    Pour ne pas donner un coup de tatane ou de balai à un minou errant…

     

    Pour saisir entre ses doigts une salamandre se mouvant au milieu d’une route et la déposer au bord, là où elle ne risque plus de se faire écraser…

     

    Pour regarder un trisomique ou un autiste sans se foutre de sa poire…

     

    Pour exprimer de son regard ou de son sourire – encore mieux les deux à la fois – toute l’attention que l’on porte sur des personnes inconnues que l’on croise dans un lieu public (soit dit en passant plus personne ou presque ne regarde personne dans les lieux publics très fréquentés, dans les trains, dans les tramways, dans les bus)…

     

     

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