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  • Un jeu complexe d'alliances, une situation mondiale explosive

    Avec 20 degrés à Strasbourg et à Clermond Ferrand, 21 à Biarritz et autour de 19/20 degrés dans plusieurs villes du Sud Ouest et du midi de la France, au 31 décembre/1er janvier ; le 31 décembre 2022 pourrait-être la journée, à cette époque de l’année, la plus douce du siècle jamais enregistrée…

    Faut-il voir là un « présage » pour 2023, en matière de climatologie en France et ailleurs… Mais aussi en matière d’événements, d’actualités qui vont survenir en 2023, du fait d’une situation politique, sociale, économique, aussi tendue, aussi incertaine, aussi dangereuse dans le monde entre grandes puissances – Chine et USA notamment – et avec l’évolution que va prendre la guerre en Ukraine, ainsi que l’évolution prévisible des autres conflits locaux au Moyen Orient et en Afrique ?

    Car ce qui est prévisible dans ces conflits (dont la guerre en Ukraine) c’est ce qui se joue (un jeu très complexe d’alliances ) entre La Chine, les USA et l’Union Européenne et les pays théâtres de guerre et de conflits… Un jeu complexe d’alliances, d’engagements et de soutiens sur fond d’opportunisme et d’intérêts des uns et des autres (par exemple ce qui ressemble à une alliance entre la Russie et la Chine « sans en être vraiment une » d’une part… Et la relation d’ordre politique et économique entre la Chine et la Corée du Nord d’autre part)…

    Et à tout cela s’ajoute l’enjeu que représente Taiwan, un territoire que la Chine revendique dans un processus historique de reconstruction nationale et d’effacement des humiliations subies par la Chine entre 1840 et 1949 ; alors que pour les USA, le soutien indéfectible, idéologique et d’ordre stratégique et économique, à l’indépendance formelle de Taiwan, implique de la part des USA un engagement militaire en cas d’intervention de la Chine pour reprendre Taiwan… (On ne voit guère comment une situation aussi explosive pourrait se régler dans une impossible négociation, les deux parties adverses ayant leurs raisons (chacun de leurs raisons faisant figure d’un dogme intangible)…





    Peut-être que le problème de Taiwan pourrait se régler de la manière suivante :

    L’île de Taiwan devient – ou redevient – une province Chinoise

    En contre partie, les habitants de Taiwan, désormais Chinois donc, continuent de vivre selon le mode occidental (mais dans une liberté d’expression telle qu’elle existe dans le monde occidental, une liberté cependant subordonnée à ce qui est fondamental et de base dans le régime Chinois) ce qui implique en conséquence pour le régime Chinois, un « assouplissement » de l’autorité et des contraintes (une sorte de « pérestroïka »)…

    Bien évidemment dans cette « solution » les autres provinces de la Chine continentale verraient leurs citoyens aspirer au statut dont bénéficierait Taiwan… (logique)…

    Du coup, cette sorte de « pérestroïka » s’étendrait à toute la Chine (le régime Chinois aurait tout à gagner à cela en stabilité, en perspective économique de marché)…

    En contre partie, aussi, la Chine et les USA dans les intérêts qu’ils ont dans cette partie du monde (Pacifique Nord Oriental) envisagent de trouver un équilibre « viable » de telle sorte que les uns et les autres puissent poursuivre leurs politique économique de développement selon les règles qui régissent toute relation naturelle, intemporelle (sachant que la relation est toujours naturellement difficile – comme dans l’ordre de la nature)…





  • Des interventions abrégées, de préférence ?

    Dans l'univers de communication (parole, écrit, image, photo, animation video) qui est celui d'aujourd'hui (et où prime le bref, le court, le laconique, accompagné ou non de photo, d'image, de séquence vidéo)... Il est certain qu'une production écrite de quelque 15, 20 lignes ou davantage, dérange plus qu'elle n'intéresse...

    ... Pour des interventions abrégées, je pense que Tik Tok (800 mille utilisateurs dans le monde) et Instagram (1,2 milliards d'utilisateurs dans le monde) conviennent mieux, bien mieux en fait, que les forums, et même que le plus utilisé des réseaux sociaux Facebook (2,7 milliards d'utilisateurs dans le monde)...

    Au moins sur Facebook contrairement à Tik Tok et à Instagram, on peut faire aussi bien 3 phrases qu'un texte de 15 ou 20 lignes - c'est selon - (ainsi d'ailleurs que sur les forums)...

    Tiens... Je "suggère" de se livrer à l'exercice qui consiste à développer "un sujet grave" en trois ou quatre phrases "bien choisies et aussi porteuses d'un contenu et d'un sens profond, qu'un texte de 20 lignes"...

    L’ « idéal » serait – peut-être – de pouvoir s’exprimer de son regard, de transmettre par le regard que l’on porte à l’autre ou aux autres autour de soi, ce que l’on leur dirait de vive voix prenant par exemple dix minutes, ou ce que l’on leur écrirait qui emplirait une page…





  • Fautes d'orthographe et fautes d'humanité

    « Je préfèrerai toujours les gens qui s’expriment en faisant des fautes d’orthographe à ceux qui les jugent en faisant des fautes d’humanité » [ Claude Semal ]



    Le problème aujourd’hui c’est que de plus en plus de gens qui font des fautes d’orthographe en s’exprimant par écrit – ainsi que des fautes de langage – sont aussi des gens qui font des fautes d’humanité… Et que les fautes d’humanité du plus grand nombre, emplissant l’espace de communication – tant au bistrot du coin qu’autour de la table familiale ou qu’entre connaissances au quotidien, ou encore sur les réseaux sociaux du Net – ne font jamais l’objet d’une aussi grande et générale « bronca » de tous, que celle, de « bronca », qui s’exerce contre quelques intellectuels dédaigneux imbus de leur personne (ou supposés tel)… Dont certains de ces intellectuels d’ailleurs, font, outre des fautes d’humanité, aussi, des fautes d’orthographe et de langage…



  • Le timbre en « prioritaire » à 1,49 euro et… Numérique (à partir du 1er janvier 2023)

    La « jolie carte » de Nouvel An, de fête, d’anniversaire… Choisie par la gentille cousine ou la très chère amie de longue date, avec amour (et qui n’est, ni la cousine ni l’amie) pas forcément accro des Nouvelles Technologies High Tech qui séduisent les gens de moins de 40 ans « hyper pro » dans l’utilisation au quotidien de toutes sortes d’appareils connectés et s’y connaissent en tout par internet… La jolie carte donc, insérée dans une belle enveloppe avec un BEAU timbre acheté à la Poste… Et que le facteur déposera dans 24 ou 48h dans la boîte aux lettres… N’est « plus trop dans l’actualité »…

    D’autant plus qu’à partir du 1er janvier 2023, la Poste pour les envois de lettre ou de document en « Prioritaire » demandera à l’usager (pardon, au « client ») de se rendre sur internet afin d’obtenir un « timbre numérique » (donc exit le « beau » timbre)… Ou de déposer au guichet de la Poste la lettre qui sera « numériquement timbrée » par l’employé…

    Soit dit en passant, avec Internet, le numérique, l’informatique, les claviers d’ordinateurs, de smartphones et de tablettes, les SMS, les « e-mails » (en Français « courriels »), Messenger, Whatshap… Sans compter aussi, les « jolies cartes » virtuelles et animées/musicalisées que l’on choisit sur internet… Le beau papier à lettre, le beau stylo plume, et en général la plupart des articles d’écriture vendus en Papéthèque, cessent d’être d’actualité…

    Bien que n’étant pas loin s’en faut, un « nostalgique » de la jolie carte insérée dans une enveloppe avec un beau timbre ; ni un « nostalgique » non plus, d’écriture au beau stylo plume (ni d’ailleurs au crayon ou au Bic) sur une feuille de papier blanc ou dans un cahier ou un carnet… Je compatis très sincèrement à ce que peut éprouver la « chère cousine » ou la « très chère amie » (et en général toute personne « attachée aux traditions » et donc, écrivant de « vraies lettres » à la main, et mettant un « beau timbre » sur l’enveloppe contenant la feuille de papier couverte d’une écriture stylisée)…

    Cela dit… Cela dit…

    Dans ce monde internétisé pour tout/tout/archi tout au quotidien, dans ce monde de domotique, d’automatisme, d’électronique, de puces, de robotique, de numérique, de toutes sortes de démarches administratives et autres, et achats, commandes de produits, à effectuer  « en ligne » dont billets de train, d’avion, de cinéma, de théâtre, d’entrée de musée, de réservations d’hôtels, restaurants, locations de vacances, les rendez vous médicaux, les abonnements de ceci/cela, les innombrables applications sur smartphone…

    Dans ce monde entièrement internétisé applicationné, il est évident que pour celui ou celle qui, soit ne maîtrise pas un certain nombre de « manières de faire », soit n’a pas internet chez lui et ne téléphone qu’avec un « fixe » ou un simple « portable » basique ; n’accomplit ses démarches que par courrier postal ou par téléphone (ces numéros surtaxés en 08 souvent)… C’est « une galère », un « parcours du combattant » dès lors qu’obligation est faite de « passer par internet » !



    Mais il faut tout de même reconnaître – si l’on n’est pas pour autant « accro » de « tout par internet » ou par des applications – que pour se rendre lors d’une traversée de la France en voiture, dans un Campanile récemment ouvert situé dans une nouvelle zone de ZAC proche d’une grande ville (bretelles de sorties, rond-points, voie de gauche puis suivre en direction de …, etc.)… Avec, plutôt qu’un GPS Garmin qu’il faut mettre à jour périodiquement en se connectant sur internet (un téléchargement payant)… Une application « WASE » sur son smartphone, c’est bien mieux, sans mise à jour payante à faire (y’a qu’à suivre la voix – intelligence artificielle- qui te guide dans le moindre détail, le plus clairement du monde ! …

    Imaginez la même recherche pour arriver à ce Campanile, avec une carte Michelin « de l’année », du plan de la ville et de la périphérie de cette ville…



  • Journal de bord inachevé

    Une œuvre d’écrivain, de témoin de son temps qui raconte…

    L’œuvre de tout homme ou femme de ce monde qui, sa vie durant, porte à la connaissance de personnes de son entourage (et, par extension, dans un espace de relation et de communication plus élargi) tout ce qu’il, elle exprime, écrit…

    Une œuvre d’artiste…

    L’œuvre dans ses divers registres et dans son évolution époque après époque et qui ne cesse de se construire…

    Œuvre de toute une vie…

     

    Toute œuvre s’édifiant jour après jour par le travail et par ce qu’il y a de déterminé, de permanent en nous, et de passion (et parfois d’inné)…

    Toute œuvre demeurera inachevée

    Sera comme un bagage laissé sur le quai avant que nous soyons poussé dans le wagon d’un train dont la destination nous est inconnue

    Portera en elle tout ce qui n’aura pas été dit, écrit, joué, dessiné, peint … Et qui existait avant que nous le disions, l’écrivions, le jouions, le dessinions, le peignions

    Sera ce journal de bord inachevé d’un cosmonaute naufragé devenu silhouette de poussière dans une capsule-canot en errance dans l’espace…

     

    Dieu ou ce qui ressemble à dieu

    Ou l’extraterrestre archéologue explorateur de vestiges et de traces de vie, découvreur bienveillant et voyant…

    C’est l’Interlocuteur que le cosmonaute naufragé tout seul dans sa capsule-canot, imagine jusqu’à le faire exister, tant qu’il peut encore écrire dans le journal de bord…

     

    Mais sur la Route avant la gare, avant le quai d’embarquement

    Il y avait déjà tous ces humains le long de la route

    Qui étaient Dieu ou ce qui ressemblait à dieu

    Ou qui étaient l’archéologue découvreur parfois voyant et attentionné parfois pas trop bienveillant mais qui était l’Interlocuteur…