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  • Combien y-a-t-il de policiers musulmans en France ?

    « Il n’est peut-être pas de bon ton » de poser cette question, dans le cadre de la législation française spécifiant que tout citoyen de notre pays, y compris un policier, un gendarme, un engagé dans l’Armée Française, peut être libre de croyance religieuse, et peut pratiquer sa religion dans la mesure où il demeure dans la discrétion, où il ne fait pas de prosélytisme, où il n’affiche pas publiquement, ostensiblement sa foi, par des signes apparents, des prières en son lieu d’exercice, de travail…

    Bien que cela ne soit pas « de bon ton » je la pose quand même cette question, car « je n’ai aucune confiance en un policier, en un gendarme musulman »…

    Il y a actuellement en France 19 fonctionnaires du Ministère de l’Intérieur qui sont suspectés et suivis au titre de radicalisation islamiste, et une trentaine d’autres répertoriés…

    Que font dans la police, dans la gendarmerie, dans l’armée, ces gens là ; que n’ont ils été licenciés, « virés » pour « dire les choses » nettement ?

    Est-ce qu’un policier, est – ce qu’un gendarme peut être musulman – de naissance et de par sa famille, ou – ce qui pose encore plus problème – converti, passé de baptisé catholique de naissance à musulman à l’âge adulte et devenu policier ?

    Il est vrai que depuis quelques années en France, « il ne fait pas bon » pour un policier ou pour un gendarme, d’être de religion musulmane et d’origine maghrébine de surcroît…

    D’ailleurs d’eux-mêmes ces gens là, d’origine maghrébine et de religion musulmane ne devraient pas envisager d’entrer dans la police…

    Quant à des « bien blancs bien d’une généalogie qui remonte à des ancêtres tous de même origine de quelque terroir français » qui se sont convertis à l’Islam (il doit y en avoir) ceux là, ne sont pas les bienvenus dans les rangs de la police, de la gendarmerie, de l’armée ! Et, bon sang de bon sang, qu’est-ce qui a pu les pousser à se convertir à l’Islam ?

     

    J’avais envisagé pour ma part, de me faire radier du registre des baptêmes, ne pouvant que nier de toute la force de mon âme de non croyant et de réfractaire à toute religion, ce baptême du bébé que je fus en 1948, qui n’a d’ailleurs pas été suivi de cathéchisme, de communion, de mariage à l’église du fait que mes parents, mes très chers parents étaient athée (c’est ma grand-mère à Linxe, un petit village des Landes où je suis né, qui, « pour respecter la tradition qui prévalait à cette époque » avait conçu que je fusse baptisé comme tous les gosses à l’époque…

    La démarche qui consiste à se faire radier du registre des baptèmes existe, officiellement avec formulaire, signature et tout…

    J’ai cependant renoncé à accomplir cette démarche parce que je me suis dit «  si je le fais, ça va paraître suspect et je risque d’être soupçonné de vouoir me convertir à l’Islam » (ce qui évidemment n’arrivera jamais)…

    En effet, de nos jours, avec toutes ces données de la vie de chacun qui sont enregistrées dans les data center et centrales de milliards de milliards de données de toute nature, ça peut être noté, faire l’objet de quelque fichier numérisé…

     

     

  • Le Contrat n'a rien résolu

    Que les Grands Intellectuels – les plus « nobles et épris d’humanisme » d’entre eux ; que les Grands Penseurs, que les légistes et personnages de grande autorité morale et philosophique des Grands Textes fondateurs, que toutes les personnes de très/très bonne volonté de par le monde qui œuvrent pour une société meilleure et croyent en l’inexistence du Mal Absolu en dépit de la réalité évidente du Mal Absolu… « Mettent un bémol » à leurs « belles et nobles idées » car dans le contexte actuel qui est celui des attentats terroristes islamistes et de l’attaque du Hamas contre Israël, du fanatisme religieux, des désordres dominants, de la guerre en Ukraine, des tensions entre grandes puissances et de la violence des individualismes forcenés dans la société toute entière sous l’empire des dérives de la « consommation de masse »… L’heure n’est plus à l’apaisement, à la haine de la haine, à « l’apprivoisement » de l’araignée géante carnivore aux énormes mandibules !

    L’heure est à présent au combat sans merci, sans négociation, contre le Mal Absolu « pluri visage » (dont quelques uns de ces « visages » sont des « masques caramélisés » il faut dire)…

    L’heure est à la haine du Mal Absolu, l’heure est au coup de burin dans le marbre, au coup de hache dans le contrat car le « petit coup de canif » dans le même contrat qui « choquait quelque peu » ne suffit plus…

    Le contrat n’a rien résolu, il a au contraire donné plus de prise, plus de pouvoir, de puissance, de domination, au Mal Absolu Grand Vengeur et recruteur de troupes dans le vivier d’une part de la Grande Misère, et d’autre part dans les marais luxuriants et peuplés de sirènes de la Grande Marchandisation qui a profité un peu à tout le monde sauf à quelques uns que l’on a laissé s’enliser à dessein…

     

  • Liberté intellectuelle

    «  Je n’ai jamais vu aussi peu de liberté intellectuelle qu’à notre époque. L’opinion dominante n’a plus d’ennemis »…

     

    De Pierre Manent, philosophe Français né le 6 mai 1949 à Toulouse. Normalien, agrégé de Philosophie en 1971 – à l’âge de 22 ans – spécialisé en philosophie politique. A été assistant de Raymond Aron au Collège de France.

     

    Cette liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent, n’est pas, loin s’en faut, celle de bon nombre d’intellectuels d’aujourd’hui, que l’on voit, invités dans des émissions de télévision, et dont on lit les « best-sellers », les livres qu’ils écrivent et que le « Grand Public » achète comme n’importe quel « produit de consommation » en étalage dans les « grandes surfaces de la culture et multimédia » avec entrée dans les galeries marchandes…

    La liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent est devenu « une denrée rare » de telle sorte qu’elle n’a plus guère d’ennemis, parce que cette liberté là, celle de l’indépendance d’esprit, qui s’appuie sur des bases culturelles réelles, sur du travail de recherche, sur de l’analyse et sur de la réflexion et qui ne se laisse jamais dominer par des courants d’opinion, ni non plus acheter ni pervertir… Est, le plus souvent « zappée » ou considérée « suspecte » ou encore dit-on d’elle qu’elle est « à côté de la plaque », ou qu’elle est l’affaire de gens qui se sentent « supérieurs » et donc « très au dessus du citoyen lambda qui galère… Ce qui, en quelque sorte, pour celui ou celle qui a cette liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent, est pire que d’avoir effectivement des ennemis déclarés, des opposants déterminés, des contradicteurs, des interlocuteurs difficiles – mais qui eux, au moins, réagissent avec l’intelligence qui est la leur, avec leurs arguments, leurs armes entretenues en somme, tout ce dont ils sont capables et qui vient de leur vécu, de leurs idées, de leurs propres réflexions…

    Effectivement l’opinion dominante n’a pas d’ennemis, elle a des suiveurs, des admirateurs, et c’est elle, l’opinion dominante (LES opinions dominantes) qui « font le buzz » sur les réseaux sociaux (pas la « vraie » liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent, et qui ne s’acquiert pas dans la facilité, dans le « tout venant », dans ce qui « braie », « clingue », se partage avec des centaines de gens en 2 secondes aussi bien autour de soi à cent kilomètres à la ronde que d’un bout à l’autre de la planète…

    La liberté intellectuelle dont parle Pierre Manent implique de devoir mener un combat sans merci, déterminé, constant, de toute une vie… Contre les ordres dominants mais aussi contre les désordres eux aussi dominants à leur manière…

     

     

  • La question qui fait débat sur le principe de liberté et de droits

    La question – qui « dans les textes » - est inscrite dans la Constitution Républicaine de la France, qui, également l’est aussi « inscrite dans les textes » sur les droits de l’homme et du citoyen et des libertés de l’Union Européenne (et même en droit international)… La question donc, de laisser en liberté (surveillée ou pas) et, en conséquence de ne pas emprisonner ni éliminer physiquement une personne « hyper potentiellement dangereuse n’ayant pas encore commis ni attentat ni meurtre ni agression – mais pouvant à tout moment « passer à l’acte »… Fait débat, ne cesse de faire débat et « est mise en avant » par les associations et organisations humanitaires, certains partis de gauche, qui, tous autant qu’ils sont se réfèrent au droits de l’homme, au principe de liberté… et qui, en quelque sorte refusent de reconnaître la dangerosité potentielle très proche du passage à l’acte des terroristes, des fichés « S » islamistes et autres, tous des criminels en puissance qui, certes ne sont pas encore passés à l’acte mais y passeront quasi sûrement…

     

    Qu’il y ait une Constitution, républicaine, européenne, avec des textes de loi qui spécifient que « ... » et qui inscrit dans ses textes des droits humains, le droit à la liberté etc. … D’accord, entièrement d’accord…

    Mais est-ce qu’une Constitution avec des principes aussi fondamentaux qu’ils soient, est-ce que des droits imprescriptibles édictés, est-ce que des droits de l’homme, est-ce que des textes de loi… Est-ce que tout ça c’est « inscrit dans le marbre » ?

     

    Dans des situations périlleuses, de guerres, d’insécurité publique, de troubles graves dans une société menacée, de péril, de danger réel où la vie de nombreuses personnes est en jeu… Il me semble, « il me semble » - pour ne pas dire que cela me paraît aussi évident que certain – que le « marbre » il faudrait alors le rayer au burin (et quand je dis « rayer au burin » c’est tout autre chose qu’un simple « coup de canif dans le contrat »)…

     

    Autrement dit, les « fichés S » et Compagnie, personnes potentiellement très dangereuses proches d’un passage à l’acte et, soit relâchées de quelque détention occasionnelle pour faits reprochés, soit simplement soupçonnées et « logées »… Devraient être enfermées, isolées sans durée définie (à vie si nécessaire) ou encore « plus expéditif » éliminées physiquement – ou conduites à devoir mettre fin elles mêmes à leurs jours… (Il s’agit de savoir si l’on est en état de guerre ou pas, parce que si l’on est en état de guerre, les « lois » ne sont pas les mêmes qu’en temps de paix, rappellons que la guerre c’est des armes, c’est tuer, c’est se défendre, et ça implique de « ne pas faire dans la dentelle » sinon, y’a plus de guerre on est dans le « bizounours avec des opinel à lame émoussée, des petits queucœurs rourouges plaqués sur les fesses et des mamours aux fragrances de foutre…

     

  • Petite histoire - ou petite nouvelle si l'on veut - de "terreur épouvante"

    Sciage.jpg

    « Totalement imaginaire » qui m’est venue – d’emblée - à la connaissance de l’attentat commis contre un professeur au lycée d’Arras…

    J’ai donc « inventé cette histoire » (absolument horrible) :

     

    Cela se passe dans une localité Vosgienne où il y a une entreprise de sciage en long…

    Cette localité est assez importante pour avoir un lycée (ou un collège)… Et il y a aussi un commissariat de police, ainsi qu’une gendarmerie…

    Les habitants de cette localité, qui jadis « votaient plutôt à gauche » depuis 2017 votent en majorité pour le Rassemblement National, mais en vérité ces gens sont « paisibles », « pas particulièrement plus violents ou plus agressifs qu’ailleurs » - du moins pour certains d’entre eux (ceux qui « enragent vite fait » et peuvent avoir des comportements « un peu limite »)  ; ont en général une « vie de famille » tout à fait « normale », sans « histoires »… (Des « braves gens » en somme, dont on peut comprendre – sans les approuver- qu’ils votent pour le Rassemblement National )…

     

    Un jour, un jeune professeur de Français (comme on dit « de Lettres Modernes » du lycée ou collège de la localité, très aimé, très « charismatique », et très respecté de la population locale, de par sa culture « étendue et hors du commun » et qui, de surcroît est un artiste et un écrivain, dont le comportement dans sa vie quotidienne et dans son entourage – familial, connaissances – est « exemplaire »… Est assassiné, égorgé, la tête tranchée, par un terroriste islamiste hyper-radicalisé et déjà « fiché S »…

     

    L’émotion dans la localité, est énorme…

     

    L’assassin ayant tenté de s’enfuir après avoir tué le professeur, est neutralisé par des policiers dont l’un d’entre eux (ils étaient quatre) avait pointé son arme, tiré sans l’atteindre… (soit dit en passant, ce policier s’il avait atteint et tué le terroriste – qui n’était armé que d’un couteau- aurait-il été poursuivi et inquiété par les « bœuf-carotte » et suspendu de ses fonctions?)

     

    L’assassin est conduit en garde à vue, isolé dans une cellule du commissariat local.

    Toute la population du bourg, mobilisée et formant une troupe d’environ une centaine de personnes, investit le commissariat – mais sans pour autant s’en prendre aux gendarmes et à commettre des dégradations…

    Les autorités, se sentant quelque peu « débordées » et – il faut le dire aussi – sensibilisées par cet attentat commis dans des conditions absolument horribles – laissent pénétrer les gens dans le commissariat ; l’assassin est tiré de sa cellule, il est ligaturé pieds et poings liés, et conduit par la foule à la scierie locale, couché jambes écartées en face de la lame de scie à ruban verticale…

     

    L’assassin est « coupé scié en long » vivant de l’entre jambes jusqu’à la tête tout le long de son corps, du sang giclant à gros bouillons, la tripe projetée, la cervelle tranchée en deux… Une « scène d’horreur » digne d’un film de science fiction horreur épouvante, encore plus terrifiante que les films du genre « massacre à la tronçonneuse »…

     

    « Rappel » : les gens de cette localité Vosgienne où il y a une entreprise de sciage en long, ne sont pas « plus violents ni plus méchants ni plus ceci/cela » que partout ailleurs en France, ce sont des gens « normaux » qui pour beaucoup d’entre eux sont « attachés à des valeurs », leurs gosses ne sont pas plus qu’ailleurs des « gosses difficiles » (ils disent même bonjour dans la rue)…

     

    Ces gens qui ont investi le commissariat et se sont emparés du terroriste assassin, ont agi « sous le coup d’une très forte émotion, d’une très grande colère, dans l’immédiateté… S’il n’y avait pas eu dans cette localité, d’entreprise de sciage en long, peut-être que l’assassin aurait été pendu à une branche d’un gros arbre sur la place du bourg, ou lynché, battu à mort par la foule…

     

    Bon voilà « l’histoire » ! …

     

    Cela dit… Vais- je passer pour un « barbare » parce que j’ai « imaginé » cette « histoire » ? Est-ce que par exemple, Charlie Hebdo (ou Sinézone ») aurait-pu publier une telle histoire ?

    En littérature, « on peut tout écrire »… Reste la question de la forme, du style, du vocabulaire employé, du contenu (de l’histoire imaginée), de la portée que cela peut avoir sur un lectorat…

    Ne faudrait il écrire que de « belles histoires », drôles, émouvantes, qui finissent bien, très « morales » ?

    Faudrait-il sans cesse veiller ne pas froisser, indisposer, choquer des gens en particulier, « plus ou moins à cheval sur des principes de bien et correct pensance ?

    La littérature – tout comme d’ailleurs l’humour – ou toute forme d’art – en particulier l’art de la caricature… N’aurait-elle pas pour l’un de ses objectifs d’expurger, d’exorciser l’impensable, l’horreur absolue, l’inavouable ?… De telle sorte que l’on puisse se dire « c’est tellement horrible, tellement impensable, que je ne le ferai jamais en vrai » … (Quitte à se dire qu’il y a un risque à ce que ça se fasse)…

    De toute manière, l’art, la littérature, impliquent une « prise de risque » …