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droits

  • Conditions de vie et de droits

    Je veux bien croire que les conditions de vie et de salaire, ainsi qu’en matière de droits sociaux et d’ « ascenseur social » des palestiniens et populations arabes vivant en Israël, soient « meilleures » - si l’on veut – que celles de bon nombre d’immigrés dans les pays européens (en général exploités en tant que main d’œuvre « bon marché »)… À condition cependant qu’en Israël les palestiniens en tant que travailleurs et salariés et bénéficiant de droits, ne soient pas des « perturbateurs » ou des « aspirants terroristes »…

    Sans être un « modèle de société équitable » Israël est en effet, de par son régime politique et social – et Républicain - (hors extrême droite, ultra religieux et côté de Benyamin Netanyaou) un état « mieux placé » en matière d’organisation sociale, que bien des états de l’Union Européenne ou des Etats Unis d’Amérique…

    Mais il est vrai aussi que, depuis les attentats du Hamas en Israël du 7 octobre 2023, et dans le contexte actuel de guerre contre le Hamas, les palestiniens et les arabes vivant et travaillant en Israël, ne soient plus les bienvenus et donc en quelque sorte « stigmatisés » et soupçonnés de sympathie ou d’allégeance au Hamas…

    Ce qu’il y a de sûr, de malheureusement sûr – et cela depuis la création de l’état d’Israël en 1948 (et d’ailleurs aussi avant 1948 depuis la fin du 19 ème siècle en Palestine sous mandat Britannique après 1919 et précédemment sous autorité Ottomane jusqu’en 1918), c’est que les populations palestiniennes et arabes dans les colonies implantées dans l’actuelle Cisjordanie et avant 1948 en Palestine sous mandat Britannique, n’étaient pas – et le sont encore moins de nos jours - « bien traitées » par les colons grands propriétaires exploitants et dominateurs…

    C’est « toujours la même histoire » : qu’ils soient Juifs, Musulmans, Chrétiens, quelle que soit leur culture, leur Histoire, d’où qu’ils viennent, Qu’ils soient Noirs ou Blancs ou Jaunes, les grands propriétaires dominants exploitants sont les mêmes partout dans le monde, en matière de traitement des gens qu’ils font travailler pour leur compte et à leur profit ! (L’humanisme, les droits, l’égalité dans la considération, l’« ascenseur social »… Tout ça ils s’y assoient dessus!)…

    Et « il se trouve » que le gouvernement de Benyamin Netanyaou (qu’un Donald Trump applaudirait s’il était élu en novembre 2024) en déployant ses forces armées pour « protéger les colons grands propriétaires dominants exploitants » a dégarni la région d’Israël surtout occupée par une population de gens modestes de travailleurs, région militairement dégarnie et s’étant trouvée exposée à l’attaque du Hamas le 7 octobre 2023…

    « Il ne faut donc pas chercher bien loin » - que ce soit de nos jours ou par le passé – les causes de toutes les guerres, de tous les conflits, de toutes les révoltes… (Ce qui ne veut pas dire pour autant que les révolutionnaires soient forcément des « enfants de chœur »)…

     

     

  • Certitudes et droits

    Ces certitudes et ces droits accompagnés de vision et de sensibilité – et de « culture » - personnelle, en lesquels s’ancrent – et se crispent- les gens du « commun des mortels » si nombreux dans notre pays, de toutes générations dont en particulier les « moins de 30 ans » qui eux, ont « hérité » des droits conquis par leurs grands-parents (et n’ont donc en aucune façon, combattu pour acquérir ces droits)… M’exaspèrent…

    Se sentant « forts de ces certitudes et de ces droits » les gens du « commun des mortels » vivant pour beaucoup d’entre eux dans un monde de consommation, de gabegie, de profusion de produits et de sevices en matière de loisirs, dans un monde d’individualisme encouragé, programmé, entretenu ; dans le culte de l’apparence et de la visibilité… Deviennent de plus en plus agressifs, « assènent » leurs certitudes, leurs droits, leurs croyances, autour d’eux, dans leur famille, dans leur entourage de connaisances, dans les activités qu’ils exercent où ils sont en relation avec les autres… Avec constance, détermination, persistance et répétition…

    La plus grande part de tout ce qui s’exprime, s’affiche, se diffuse, se partage, sur les réseaux sociaux « à longueur de journée » en tous lieux et smartphone à la main écouteurs aux oreilles – jusque dans les chiottes – n’est fait que de cela : les apparences, la visibilité, la recherche de l’impact immédiat, de ce qui sera relayé, de ce qui sera partagé et rejoindra l’opinion commune au sujet de ceci, de cela… Photo, vidéo, story à l’appui (avec le moins de texte possible)…

    Toutes ces certitudes, ces droits, ces croyances en lesquelles on s’ancre – et auxquelles on s’accroche « poing ou opinel levé », font de notre environnement un univers hostile où il « ne fait plus bon vivre » et où l’on se heurte à une agressivité ambiante et généralisée…

     

  • La question qui fait débat sur le principe de liberté et de droits

    La question – qui « dans les textes » - est inscrite dans la Constitution Républicaine de la France, qui, également l’est aussi « inscrite dans les textes » sur les droits de l’homme et du citoyen et des libertés de l’Union Européenne (et même en droit international)… La question donc, de laisser en liberté (surveillée ou pas) et, en conséquence de ne pas emprisonner ni éliminer physiquement une personne « hyper potentiellement dangereuse n’ayant pas encore commis ni attentat ni meurtre ni agression – mais pouvant à tout moment « passer à l’acte »… Fait débat, ne cesse de faire débat et « est mise en avant » par les associations et organisations humanitaires, certains partis de gauche, qui, tous autant qu’ils sont se réfèrent au droits de l’homme, au principe de liberté… et qui, en quelque sorte refusent de reconnaître la dangerosité potentielle très proche du passage à l’acte des terroristes, des fichés « S » islamistes et autres, tous des criminels en puissance qui, certes ne sont pas encore passés à l’acte mais y passeront quasi sûrement…

     

    Qu’il y ait une Constitution, républicaine, européenne, avec des textes de loi qui spécifient que « ... » et qui inscrit dans ses textes des droits humains, le droit à la liberté etc. … D’accord, entièrement d’accord…

    Mais est-ce qu’une Constitution avec des principes aussi fondamentaux qu’ils soient, est-ce que des droits imprescriptibles édictés, est-ce que des droits de l’homme, est-ce que des textes de loi… Est-ce que tout ça c’est « inscrit dans le marbre » ?

     

    Dans des situations périlleuses, de guerres, d’insécurité publique, de troubles graves dans une société menacée, de péril, de danger réel où la vie de nombreuses personnes est en jeu… Il me semble, « il me semble » - pour ne pas dire que cela me paraît aussi évident que certain – que le « marbre » il faudrait alors le rayer au burin (et quand je dis « rayer au burin » c’est tout autre chose qu’un simple « coup de canif dans le contrat »)…

     

    Autrement dit, les « fichés S » et Compagnie, personnes potentiellement très dangereuses proches d’un passage à l’acte et, soit relâchées de quelque détention occasionnelle pour faits reprochés, soit simplement soupçonnées et « logées »… Devraient être enfermées, isolées sans durée définie (à vie si nécessaire) ou encore « plus expéditif » éliminées physiquement – ou conduites à devoir mettre fin elles mêmes à leurs jours… (Il s’agit de savoir si l’on est en état de guerre ou pas, parce que si l’on est en état de guerre, les « lois » ne sont pas les mêmes qu’en temps de paix, rappellons que la guerre c’est des armes, c’est tuer, c’est se défendre, et ça implique de « ne pas faire dans la dentelle » sinon, y’a plus de guerre on est dans le « bizounours avec des opinel à lame émoussée, des petits queucœurs rourouges plaqués sur les fesses et des mamours aux fragrances de foutre…