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Bateau pirate - Page 2

  • La Trumpette

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    C’est bien là, le genre de « look » (féminin) qui « m’extrêm’horripile » au plus haut point !

    J’en ai le nœud qui se ratatine et se recroqueville, rentrant telle la tête d’une tortue dans sa carapace, entre les deux boules, à la vue de la « Trumpette » chapeautée « Eglise méthodiste », dont on ne voit pas le regard sous le bord du chapeau !

     

     

  • Petit "conte" de Science Fiction

    Cela se passe dans un centre de recherche et d’étude de différents virus jusque là inconnus et qui ont été « récupérés » lors de fouilles réalisées dans le permafrost de l’île de Baffin au nord est du Canada…

     

    Avec le réchauffement climatique, particulièrement accéléré durant ces dernières années passées, dans les régions de haute latitude notamment autour et au-delà du cercle polaire arctique, le permafrost fond en partie, libérant ainsi des bactéries et des virus qui, jusque là, étaient pour ainsi dire « endormis » et donc inactifs…

     

    Des ingénieurs et chercheurs (des microbiologistes) de la Silicon Valley, spécialistes en Intelligence Artificielle, viennent de « modifier » l’un de ces virus issus du permafrost, de telle sorte qu’un « programme » a été introduit dans la composition de l’organisme…

    En conséquence le virus modifié « largué à dessein dans l’air ambiant », va progressivement infecter les humains… Mais « pas n’importe lesquels »…

    Parce que le « programme introduit » est conçu pour détecter toutes les caractéristiques du « profil de personnalité » de l’individu – en particulier ses travers, ses comportements agressifs, ses inclinations à des actes de violence et de prédation – et, plus généralement tout ce qui rend cet individu désagréable à son entourage, ou exécrable…

    Une fois l’organisme humain infecté par ce virus modifié, la personne devient en premier lieu porteuse du virus…

     

    Mais le virus ne s’active que dans l’organisme des personnes « ciblées » c’est à dire celles qu’a détecté le programme…

    L’on « imagine » des centaines de millions de personnes, de toutes conditions sociales, du « petit voyou du coin » jusqu’au grand caïd d’une mafia ou au multimilliardaire dominant prédateur – en passant par le klaxomerdeur dans un rond point ou par le vieux papy qui s’est livré à des attouchements indécents sur sa petite fille de six ans … Des centaines de millions de personnes, mourir de ce virus (un genre de fièvre éruptive et hémoragique de type Ebola) ; de nombreux hôpitaux et cliniques refusant l’entrée des malades et obligeant les ambulances à repartir, des médecins et secouristes décidant de ne pas soigner « ces malades là »…

     

    Précision cependant, au sujet de ces ingénieurs chercheurs microbiologistes et spécialistes de l’intelligence artificielle, de la Silicon valley – ou de Shangaï…

    Ce sont des « atypiques » et des « non indéodés à l’Ordre du Monde », des scientifiques qui, au départ avaient été recrutés par des directeurs de multinationales, et qui, devenus conscients d’un engagement qui leur a été imposé dans l’intérêt des dominants, ont rompu avec leur engagement et au lieu de concevoir un « programme » détecteur de « profils indésirables » (indésirables aux yeux des dominants), se sont évertués à créer un autre programme celui là détecteur de « profils de salauds »…

     

    (Au moment du recrutement – entretien d’embauche- les DRH les plus rompus aux techniques sélectives, avec l’aide, pourtant, de l’intelligence artificielle, ont été incapables de détecter lesquels de ces ingénieurs et chercheurs formés dans de grandes écoles, pouvaient être des atypiques et des résistants potentiels)… Comme quoi, l’on « mesure » les limites de l’intelligence artificielle – du moins au stade où elle se trouve aujourd’hui ( et à charge pour les résistants de donner à l’intelligence artificielle un pouvoir qui ne soit plus prédateur mais au contraire éliminateur de prédation)…

     

    Allez… ! Et ce sera ma conclusion :

    « De même que qui ne saute pas n’est de l’ELO – ou du TRUCLA – qui ne rêve pas de ce virus n’est pas de cet OTMONDE » !

     

     

     

  • Hah'men !

    Broyé entre les puissantes mâchoires d’une grosse truie, le poussin jeté dans l’auge par un gamin qui auparavant, avait incendié une fourmilière d’un million de fourmis…

    La truie, exposée dans un parc carré constitué de huit barrières métalliques sous le marché couvert de Sainte Radegonde les Mimosas, largue un long pèt silencieux mais très fleurant…

    Et à côté du parc de la truie est disposé un parc à bébé dans lequel trois marcassins plongent leur grouin dans une bouillie de nourrissons : l’un taliban et l’autre houti, tous deux broyés et réduits en marmelade…

     

    Escagassés les dés creux sans six et les lapins en porcelaine sur l’étal de Jo l’véloce hardi au négoce mais lent à la mastication d’entrecôte bordelaise au gros poivre noir… Et hélant désespérément l’escagasseur parti en courant, bousculant une mémé corpulente en futal à fleurs…

     

    Aperçu sur des briques disjointes d’un mur du marché couvert, des cryptogrammes de cartes bleues…

     

    Elton, en haut de forme tel l’astronome de Pim Pam Poum, musquait le foutre de verrat et exhibait ses fesses tatouées en se dandinant tel une chèvre pelée égarée dans la chambre froide attenante à la cuisine du restaurant Le Maître Coq…

     

    Arrivent des brocanteurs non patentés, à trottinette électrique, poussant de petites remorques à bras chargées d’asphodèles en cristal, de téléphones portables, de mini-machines à coudre, de dentiers, de godemichés et de moules à tarte… Qui s’installent sous la halle du marché, là où d’ordinaire, paradent patates, salades et navets de jardiniers bavards au beau milieu de morutiers et de charcutiers merd’soudés qu’à coup sûr vont s’entendre question pratique de politique des prix afin que les cons que nous sommes à terre puissent se relever, même de guingois ou de traviole, et surtout acheter les salades nitratées, les patates et les navets pesticidés…

     

    Hamen, rh’ah’mène’moi les anchois aux noix de cajou, les foies de chapons, les gensives de génisses, et toute la mercantepicerie du bonbon du cornichon de la mayo et de la rillette et de l’œilleton de dindon « made in Belzézobie » de l’autre côté de l’Antarktouque voire de la Loune pour peu qu’on ait jamais vu qu’avait encore un poulailler en boule derrière la Loune…

     

    Bésosi putrécanti Meloni – Orban la Trumpette et son Trumpo comme le Pihi et sa Pie – ou le merle et sa merlette, la Trumpette chapeautée Eglise Méthodiste autour du grand vase chington et avec par nuées corrosives, des cohortes d’actionnaires se disputant les services de Déhèrrehaches rompus siliconvalés changaïsés à l’Hyhia…

     

    Un mossule bourré de grenaille sur le marché couvert, et écartelée la grosse truie, et effacés les cryptogrammes, et en poussière les salades les patates et les navets pesticidés !…

     

    Et redevenues vraies et donc plus en cristal les asphodèles !

     

    Hah’men ! … Cette fois pour de bon et pour toujours …

     

     

  • Il a l'air de quoi ce type ?

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    Avec sa casquette de merde à la con, il a l’air de quoi ?

    Cette image de Donald Trump, dont la visière de la casquette efface le regard, poing levé et devant un micro ; symbolise tout ce que je hais et que je rejette de cet Ordre du Monde de surconsommation pour les uns, de misère pour les autres, de nivellement social et culturel pour quasiment tous à l’exception d’une élite dominante aux pouvoirs illimités…

    « Ce n’est pas un hasard » si, lors de son investiture le 20 janvier 2025, paradent à ses côtés, des représentants chefs de partis et de gouvernements d’extrême droite européens !

     

     

     

     

  • "Bourricot-à-versaire"

    Au premier de l’An en 2025, ce n’était point écrit sur quelque « stèle funéraire » (ou urne « en marbre de Carrare » : « Guy Sembic 1948-2024 »…

    En « toute dérision » et « iconoclasterie autant de ma personne que de mes œuvres » (rire)… Je me souhaite un « relatif » « bon bourricot-à-versaire »… Et de ne pas voir écrit, au prochain premier de l’An donc en 2026 : « Guy Sembic 1948-2025 »… (rerire)…

     

    « Si Dieu me prête vie », le 9 janvier 2048, « il me siérait fort » (j’en bande déjà de l’âme) – sous réserve que mon visage ne soit pas « trop ravagé » et que je puisse encore monter sur un vélo (un vélo « col de cygne » de préférence, parce que « lever la patte au dessus de la selle à 30 ans pas de problème mais à partir de 70 c’est « casse gueule »)…

    « Il me siérait fort » dis-je… De fêter mon centenaire en terrasse d’un bistrot parisien devant un ricard « bien tassé » (ou mieux encore d’un Spritz tout aussi bien tassé), en compagnie de « quelques amis fidèles de longue date » (même s’il en serait parmi eux, 2 ou 3 par ci par là qui « auraient bien failli me lâcher pour un pèt un peu trop de traviole – et de fragrance douteuse)…

     

    Et… Allez, je peux bien le dire… Mieux, beaucoup mieux à mon sens que le traditionnel et plantureux – et bien goûteux- gâteau d’anniversaire – assez gros pour supporter cent bougies… « Une nuée de journalistes littéraires caméra micro au poing »… (rire)…

    J’aurais alors cette répartie, à la question de l’un d’entre eux, au sujet d’une « possible postérité longue comme une éternité provisoire » : « oh vous savez, la reconnaissance implique un peu trop de concessions et de compromissions à l’Ordre du Monde, entre autre celle qui vous érige en chef de file d’une nouvelle tendance, et un Ordre reste un Ordre »…

     

    En attendant – un quart de siècle encore à traverser jusqu’au 9 janvier 2048… Juste une petite info :

    Je ne suis pas gâteau, d’ailleurs je n’aime pas en langue Française le mot gâteau – ça me fait penser à gâteux (et à la part de gâteau entamée dont la crème coule dans l’assiette, au dessert, à la maison de retraite)…

    En revanche, n’étant point gâteau – ni chocolats ni confiseries - je suis poule au pot, pot-au-feu, petit cochon à la broche, poulet-à-la-Mamy…