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buse

  • La buse Uhlémane

    « Et je vis en rêve la buse Uhlémane engluée sur un piquet de clôture, ses pattes prises dans la glu dont avait enduit l’Imam Salafar la tête du piquet… La malheureuse buse engluée ne pouvant s’envoler, l’Imam Salafar arrosa d’essence la buse Uhlémane et mit le feu à la buse…

    Cette buse Ulhémane que j’aurais seulement empêchée de voler au dessus de mon poulailler, l’effrayant de quelque épouvantail de ma fabrication »…

     

    Un récent sondage IFOP révèle que 45 % des musulmans en France, pensent – et disent – que le Hamas n’est pas une organisation terroriste… Et que parmi les pratiquants et fervents musulmans ne se rendant pas pour autant dans les mosquées salafistes, autant dire dans les mosquées telles que celle de Paris… Ce pourcentage s’élève à 66 %…

     

    « Tiens tiens »… Ça me rappelle qu’en 1941, 1942 et 1943 – un peu moins en 1944 avant le débarquement du 6 juin 1944 en Normandie – une grande majorité de Français sous le gouvernement de Philippe Pétain et de Pierre Laval, pensaient et disaient que les auteurs d’attentats contre les occupants allemands, et que les maquisards «étaient des terroristes »…

    Les temps ont changé depuis… Et en 2023, les terroristes ne sont plus les mêmes et ceux et celles qui ne les qualifient pas de terroristes ne sont plus les mêmes non plus…

     

    Déjà, avant la publication de ce sondage de l’IFOP faisant état de 45 % des musulmans en France ne considérant pas le Hamas comme une organisation terroriste, je ne me sentais guère trop « bienveillant » à l’égard de la religion musulmane et de ses fidèles (Maghrébins, Africains du Sahel, Egyptiens et Moyen-Orientaux et Afghans) du fait de la place – à l’écart – de la femme dans la société selon leur vue (leur vue formée sur le Coran – lequel Coran soit dit en passant, au sujet des femmes dans la société, est « assez proche » de ce que l’on peut lire dans la Bible et dans la Torah)…

     

    Et, outre la place « pas la meilleure loin s’en faut » de la femme dans la société – dans la religion musulmane mais aussi encore de par le monde en certains pays de religion chrétienne – il y a chez les musulmans même peu pratiquants, cette interrogation que l’on se fait lorsqu’on est appelé à recevoir chez soi un ami musulman « est-ce qu’il fait le ramadan » (si on est dans la période) « est-ce qu’il ne faut pas mettre des assiettes à table, qui n’ont jamais servi – donc, pas dans lesquelles on a servi du porc » … Et – encore bien plus « problématique » - si tu as, âgé de 65/70 ans que tu es, un fils qui vient de « refaire sa vie » avec une femme musulmane croyante pratiquante ; est-ce que tu te voies, à l’intermarché du coin dans la bourgade où tu résides et as des connaissances, en compagnie d’une belle fille voilée ?

     

    Désormais quand je vois dans la rue ou dans un espace public, un musulman (sachant qu’il est musulman) je vais me dire « y’a 1 chance sur 2 pour qu’il pense et dise que le Hamas n’est pas une organisation terroriste »…

     

    J’en reviens à ma « buse Ulhémane » : je ne rejoins pas l’Imam Salafar qui englue la buse sur le piquet et y fout le feu – c’est un fait : l’ennemi le plus éliminateur et le plus dur d’un musulman c’est un autre musulman – et « je veux juste que la buse ne vienne pas tournicoter autour de mon poulailler, sans pour autant la canarder mais en la faisant déguerpir en mettant un épouvantail à côté du poulailler… (en revanche, l’Imam Salafar je le canarderais bien)…

     

     

     

  • L'appel de la buse Uhlémane

    Et retentit par delà les monts les crêtes les plaines les vallons et par dessus les paysages autoroutés péri-urbanisés jusqu’au désert de Gobi depuis l’Atlantique en passant par toutes les sahélies pré-endoctrinées… L’appel de la buse Uhlémane qui, de la périphérie des Cités maugréhabines mais aussi des plus petits blédaillons aux clochers effondrés par le dernier Cinthia en terre bretonnante, soulevait des hordes de croisés d’upercules et de spongicules, d’humanuscules métissés, de crapinuscules mordorés scandant des airs minés et jetant de ci de là dans les jardins de blédaillons ou dans les entrées d’immeubles des Cités, des escarcelles enflammées sur les élituscules et sur les inconvincuscules…

     

    Et Primogénix, le fakir de La Roche sur Jaretelle dans le Morpionant, interpelle la Buse en ces termes : « tais toi et t’occupe pas de la couleur de l’âne qui me véhicule, ma femme courbée sous le fardeau de mes zeuvres et me suivant attachée peinant à suivre l’âne ; c’est pas parce que t’es née Ulhémane que tu dois proscrire le sens de ma déambulation ! »…

     

    Primogénix dont l’épaule carapaçonnée luisait de cire et de vernis à ongle, griffée par les serres de la Buse s’abattant parfois en chantanfiantant, argumentait les citoyens rencontrés afin que les suspicieux, les mordus de la baise, des packs de bière, de la rappe insolente, du smartphone aux chiottes et des instagram’storie’s ; que les saoûlographes et les zésitants, les padamalgames et les indifoireux, ainsi que les combattants de la Foi vésiculaire, consentent à enfoncer dans leurs oreilles des boules quiès ou des suppositoires à la menthe dans leurs orifices anaux…

     

    Et la buse Ulhémane s’envolant, son appel se répandant par delà les paysages et les hordes de pèlerins en migrations forcées sur les routes fracassées en traversant des blédaillons quasiment tous occiécroulés ; les ânes s’accroupirent, refusant de supporter sur encore tant de lieues gauloises, Primogénix imprécantant, haranguant ses congénaires zapizappant indiférendus…