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idées

  • Liberté et combat

    Aux États Unis d’Amérique de Donald Trump (ce type, n’étant pas loin s’en faut un « cadeau » pour la planète) l’on peut manifester dans la rue, l’on peut écrire et publier un livre contre la politique et contre l’ordre en place (et à ce titre risquer d’être victime de violences qui ne sont pas des violences policières mais des violences faites par des opposants à ce que l’on exprime) … Mais on ne va pas en prison pour ses idées, comme dans la Russie de Vladimir Poutine, comme en Chine de Xi Jinping, comme en Corée du Nord de Kim Jong Un, comme en Turquie de Recep Erdogan, comme en Iran des Mollahs…

    Et il en est de même en Israël même sous Benyamin Netanyaou au vu des nombreux manifestants qui critiquent la politique de ce dernier, et idem dans les pays de L’Union Européenne ainsi qu’au Royaume Uni de Grande Bretagne… (même « gangrénés les pays de l’UE, par des partis d’extrême droite)…

    C’est la raison pour laquelle, quels que soient des régimes y compris ceux avec lesquels je suis en désaccord, aux USA, en UE, en Israël et dans tout le monde occidental ; je serai toujours du côté où l’on ne va pas en prison pour ses idées, du côté où l’on ne censure pas un site, un blog, un forum, une page Facebook jusqu’à la suppression pure et simple…

    Lorsque l’on n’est pas d’accord avec une idée, une opinion, exprimée par quelqu’un ou par un certain nombre de personnes, on la combat par la parole, par des actions menées autrement que par la violence pure et encore moins armée, par l’art, par le dessin, par la caricature, par la littérature, par la musique… De manière à la rendre minoritaire à défaut de l’éradiquer…

    Quoique éradiquer le Poutinisme, l’Islamisme, l’antisémitisme, la voyoucratie, la mafiacratie, les multi milliardaires et tous les obscurantismes… « Cela me conviendrait »…

     

  • À propos des partis d'extrême droite

    Dans les années 1940 – 1944 en France – et dans les autres pays d’Europe envahis par les Allemands – notamment dès le début de l’Occupation Allemande – il y avait des gens d’extrême droite qui furent des « résistants de la première heure »… Peu, certes, mais il faut le savoir et le reconnaître…

    De nos jours, en 2024, en France, il y a des gens du Rassemblement National – peu, certes – qui ne correspondent pas tout à fait au « profil » que j’ai présenté précédemment dans mes notes, c’est à dire des gens qui, sincèrement peut-on dire, sont pour la défense des Ukrainiens et contre Vladimir Poutine et sa politique… Et qui un jour, pourraient être des « résistants de la première heure » dans le cas où la Russie, forte de sa victoire en Ukraine, envahirait l’Europe…

    Cela dit « je déteste l’extrême droite » question « ordre d’idée et projet de société » mais pas forcément toutes les personnes d’extrême droite (question « côté humain et comportemental honnête)…

    Cela dit, encore, du fait que, dans nos relations (au travail, en famille, dans des activités associatives) il y a des personnes avec lesquelles on doit compter et faire, et que par conséquent on est amené à fréquenter, à œuvrer avec ; s’il y a manifestement (ou probablement) une divergence de « vision du monde et de la société, d’idée, de sensibilité politique, de culture, de croyance)… Entre ces personnes et nous-mêmes… Cela est « à prendre en considération et à gérer au mieux »… (En politique notamment internationale on appelle ça « diplomatie »… Mais c’est vrai aussi dans la relation avec les gens autour de soi, notamment quand on doit « faire avec eux »… Cependant cela ne veut pas dire « faire avec », que l’on doive soi-même « faire profil bas », demeurer silencieux, renoncer à ce qui caractérise notre personnalié, notre singularité, en face de « quelqu’un de différent » de nous…