Cœurs froissés
Fleurs glacées
Zappes incessantes
Tambourinements vociférations et invectives
Fulgurances jutées au feutre noir
Sur des consignes de sécurité d’ascenseur
Sur des pans de murs
Éveils poisseux dans ces humeurs de soi que l’on se sent
Éveils dégringolés de rêves qui ont luminé haleté de visages imaginés
Nuits sans étoiles
Aubes crépitantes de pluie froide
C’est l’histoire qui se fait de tant de vies
Engloutissant d’ improbables purgatoires