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  • Il, elle, eux

    Quand la pente s’incline et devient abrupte, en un mot quand ça ne va plus très bien et que ce n’est plus comme cela était il y a encore pas si longtemps… Fini les « nouvelles du jour », tout ce qu’il y avait à montrer afin de le partager, là où tout le monde va… Plus rien… La « page » s’étiole, n’est plus servie et, dans un premier temps ça passe inaperçu…

    C’est que… La vie des gens, notamment la vie des gens que l’on connaît, dont on suit ce qu’ils nous montrent, est loin d’être « un long fleuve tranquille » !

    C’est… Une santé qui n’est plus « florissante », un proche dont on se soucie, un emploi perdu et donc le revenu que l’on tirait de cet emploi qui disparaît, une activité – un travail- que l’on ne peut plus exercer dans des conditions favorables dans un monde de plus en plus dur, un deuil, une séparation douloureuse, un choix difficile à faire entre deux ou plusieurs options qui se présentent mais dont aucune de ces options n’est la meilleure…

    L’on ne voit, l’on ne sait, de l’autre, des autres, que ce qui paraît, que ce que l’on croit, que ce que l’on imagine…

    Et c’est des « il devrait faire ceci, cela »… C’est des « on ne le voit plus », et « qu’est-ce qu’il devient » …

    Si les mots – mais lesquels ?- pouvaient être des mains tendues… Ils le sont oui parfois… Mis c’est du vide qu’on étreint, du silence, de l’absence…

    Ou bien… Quand ça va plus du tout, au contraire tu les vois qui rappliquent… Et quand ça reva, plus personne ! Juste bonjour bonsoir et encore !

    Drôle d’expérience que la vie qu’on vit, drôle d’expérience que celle de la relation à l’autre !

    « Si j’aurais su j’aurais pas venu, je m’aurais suicidé dans le ventre de maman » ! Pourrait-on dire !

    Mais à vrai dire – c’est ce que je dis et que je dirai jusqu’à la fin de mes jours - « si c’était à refaire je sauterais à pieds joints sans aucune hésitation dans la même mare et en sachant que je pataugerai dans les mêmes boues »…

    Il n’y a ni paradis ni enfer, il n’y a que des gens et du monde – la mare en somme – qu’on ne peut faire autrement que de prendre tels qu’ils sont, les gens, le monde… Et de témoigner de ce que l’on trouve de mieux sans pour autant se taire au sujet de ce qui désenchante, déçoit, horrifie, écrase, déchire…

    Muet si tu deviens, ou pas vus les mots que tu as écrits sur les murs, il te reste ton regard… Mais c’est difficile des yeux voyants avec les yeux aveugles qu’on a ! C’est difficile les mots qui ont du pouvoir – je veux dire en fait les mots qui ne déchirent pas parce que ceux là, oui ils ont hélas du pouvoir, trop de pouvoir !…

     

     

  • "Comme sorti un lapin d'un chapeau", les mêmes refrains !

    Tous ces gens en France et ailleurs en Europe, et partout dans les pays Occidentaux, qui ne considèrent pas le Hamas et le Hezbolah comme des organisations terroristes, qui vont même jusqu’à les soutenir implicitement, qui pensent que les Ayatolahs d’Iran peuvent être des interlocuteurs et qu’il serait trop dangereux de s’en prendre à eux comme le fait Israël…

     

    Tous ces gens donc (on leur « pardonnerait presque » cependant, lorsque quand même ils soutiennent l’Ukraine – quoi que… mais sans pour autant vouer Poutine aux gémonies)…

     

    Tous ces gens sont ceux aussi qui sortent comme un lapin d’un chapeau, « ces colons Israéliens implantés en territoire palestinien – Cisjordanie » brandissant le « lapin » comme « un diable de sa boîte », un « diable bien cornu pointu acéré et aux pieds fourchus crochus et crachant du feu »… Ces « colons » qui, soit dit en passant, existaient déjà bien avant la création de l’état Israélien, du temps de l’Empire Ottoman, et qui n’étaient pas tous loin s’en fallait, des Juifs, mais des Levantins, des Arabes, des Turcs… Tous de grands propriétaires terriens…

     

    Ah, quand on parle des colons et des colonies et de leurs milices qui agressent, violentent et tuent des Palestiniens considérés indésirables et posant problème, c’est tout de suite la « levée de boucliers » et tout le monde convient que ces colons ce sont des salauds… Peut-être… Et même certainement…

    MAIS… Les colons « en général » ils sont partout dans le monde, et des pires qu’en territoire Palestinien Cisjordanie ! Et à eux tous, les colons, ils représentent 1 % de la population mondiale soit 80 millions de personnes !

    Qu’est-ce que c’est que Jeff Bezos, que Bil Gates, et autres géants du Web, de l’industrie, de l’agro-alimentaire, de la pharmacie, de la chimie, du numérique, de l’énergie… ?

     

    Et de surcroît, nous tous ou presque, qui trouvent "salauds" ces colons Israéliens implantés en territoire Palestinien Cisjordanie... Consommons leurs avocats, leurs agrumes, oranges, clémentines, produits dans leurs grandes exploitations...

    En effet, à "Grand Frais, Intermarché, Leclerc, Carrefour..." Aux étalages fruits légumes, on voit affiché au dessus du plateau " Israël" pour la provenance... Peut-être que "l'idée" ça serait d'acheter "produit en Israël" par soutien à Israël - quand on est "pro Israélien" ? Pro Israélien oui je suis, archi suis... Mais... Pour autant, je n'achète point des avocats, des oranges, des clémentines venant d'Israël.... Car n'est point dans les "modestes kibouzz" bien dans les frontières d'Israël que sont produits pour l'exportation, ces avocats, ces oranges, ces clémentines...

     

    Et, encore soit dit en passant, "parce que c'est moins cher - enfin un peu moins - et qu'en plus la livraison est dans le prix »... Tout le monde ou presque en commande achat en ligne, passe par Amazon... C'est que - il faut dire - question "pour notre confort et pour notre mode de vie et de consommation, pour notre porte-monnaie », on fait avec ceux qui dominent le marché, sont partout, ont tout, et font des promos à gogo!